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Le pacte Russie-Chine et la conspiration Marx-Rothschild par Ivo Sasek :
La Chine – ce système de domination nous menace tous ! |
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31.08.2024 | www.kla.tv/30301
Ivo Sasek : Merveilleux, merveilleux. Notre prochain conférencier va nous parler avec un décalage horaire de six heures depuis les Philippines et lui aussi partage, diffuse ces informations et ouvre les yeux à des milliers de personnes. Je demande aux techniciens, est -ce que la connexion vers les Philippines fonctionne? Oui, on a une image. Donc je dis au nom de tous les spectateurs, de tout le monde, dans le monde entier, merci pour ta contribution pour la AZK. Et c’est M. Tillmann Knechtel qui va parler. On voit maintenant sa biographie. Biographie : Tilman Knechtel, né en 1987 à Filderstadt, Allemagne, est écrivain et journaliste d'investigation. Tilman Knechtel s'est déjà consacré en détail à la famille Rothschild, à l'industrie de la musique occulte, au kabbalisme et à la stratégie communiste à long terme. Parmi les livres qu'il a publiés, on trouve « Les Rothschild : une famille domine le monde » et « Les Rockefeller : un cauchemar américain ». Tilman Knechtel exploitait la chaîne YouTube « Ne faites pas confiance aux célébrités », qui comptait plus de 130 000 abonnés. Aujourd’hui, celle-ci a été supprimée de YouTube et se trouve désormais sous le nom « Ne faites pas confiance à une célébrité 3 ». Également disponible sur Telegram sous « Ne faites pas confiance à une célébrité officielle ». Il travaille également comme rédacteur pour le journal suisse Express-Zeitung qui a déjà documenté les développements politiques, sociaux et historiques de notre époque dans plus de 60 éditions. En partant des événements mondiaux actuels, l'Express-Zeitung crée une base pour la compréhension globale de grands ensembles de thèmes brûlants. Tilman Knechtel est un invité apprécié dans les émissions télévisées des médias indépendants en raison de ses connaissances étendues et approfondies de la politique mondiale. Tilman Knechtel s'exprime aujourd'hui sur le thème : « La Russie et la Chine - ennemies ou alliées de l'Occident? » Tillmann Knechtel : Oui, bonjour. Je suis content d'être ici. Comment on entend? J'espère que oui. Je me réjouis d’être ici, même sous une forme un peu différente de celle où j’ai appris à connaître cette conférence pour la première fois. On m'a donné une demi -heure pour mon exposé, ce que je trouve formidable parce que je ne suis pas un homme de délire. C'est une longue introduction et le sujet n’est pas trop complexe pour ne pas pouvoir être transmis en une demi -heure. Je n'ai donc pas besoin de tourner autour du pot et j'entre directement dans le vif du sujet. J'étais rédacteur chez le journal suisse Express Zeitung et le sujet aujourd'hui, c’est « La Russie et la Chine, ennemis ou alliés de l’Occident? » Point d'interrogation. Je pense que pour certains qui sont actuellement très déçus par notre politique occidentale, cela vaut la peine de jeter un coup d’œil supplémentaire pour voir si on trouve des alternatives dans ces pays. Malgré tout, je dois être bref. C’est pourquoi je réponds tout de suite au thème de la présentation. La Russie et la Chine ne sont pas des amis, mais des ennemis de l’Occident. Je parle ici clairement des régimes et non de la population normale. Ce sont des choses très différentes. Et l’animosité, on peut la voir très facilement. Vladimir Poutine et Xi Jinping poursuivent des objectifs communistes. Et je suppose qu’il n’y aura pas tant de communistes que ça ici à la ZK, que je dois convaincre que le marxisme n’est pas quelque chose de si génial. J’espère donc que mon travail de persuasion sera simple. Commençons par Vladimir Poutine. Les médias occidentaux le présentent comme un méchant chien conservateur, de sorte que les présentes soi -disant éveillées pensent qu’il va se venger de l’empire américain et que tout ira mieux ensuite, qu’il va créer une nouvelle situation. Je ne peux que dire que ce n’est pas l’image que partagent généralement les chrétiens, des gens critiques en Russie. Au contraire, il y a des voix très critiques au sein de la Russie qui le voient comme . . . qui le voient comme gauchiste, internationaliste ou communiste. Et ça a aussi ses raisons. On peut par exemple ressortir de l’année 2016 un discours très clair de Vladimir Poutine devant tout le front populaire russe. C’est une sorte d’organisation de lobbying de son parti. Et si on regarde le discours, tout devient clair. Dans ce discours, il souligne que son attitude envers les idées communistes n’a jamais failli. Et qu’il a toujours gardé le livre de son parti à la maison. En effet, Poutine a adhéré au parti communiste dès les années 70, ainsi qu’au service secret du KGB. C’est sans doute là que réside toujours sa loyauté. Et puis la phrase décisive du discours de 2016, Vladimir Poutine, il cite, je le cite, « J’aime beaucoup les idées communistes et socialistes et je les aime toujours. » Fin de citation. Il aime donc les idées communistes, toujours. Donc les idées des plus grands assassins de masse de l’histoire. Et aussi la chute de l’Union soviétique. Il a dit que c’était la plus grande catastrophe géopolitique du XXe siècle. Autrement dit, la chute d’un État communiste était tragique pour Poutine. Et ce n’est pas un cas isolé chez lui. C’est pourquoi ses détracteurs ont aussi des munitions. Voici un exemple très frappant. Poutine vient de prononcer un discours ce mois de mars. En mars 2024, lors de ce qu’on pourrait presque appeler un festival communiste ou antifasciste, le tout s’appelait le Festival mondial de la jeunesse. On n’en sait rien du tout ici en Occident. Ça s’est tenu en Russie. C’était un énorme événement. En surface, ça semblait plutôt innocent. Mais c’était plutôt de la propagande. Si on y regarde de plus près, on voit des jeunes organisations, des organisations. Ils sont socialistes, du monde entier. Tout est organisé par l’Alliance mondiale de la jeunesse démocratique. Et c’était une sorte d’organisation faîtière pour d’autres organisations communistes. Et qui est financée par la Russie elle -même et le représentant de l’Allemagne au sein de l’Alliance mondiale de la jeunesse démocratique. Et c’est une organisation à côté du Parlement. C’est le Parti communiste allemand. Et que ce soit en 2017 ou 2024, ils avaient un arrière -plan antifasciste. Donc ce sont justement les personnes qui seraient diamétralement opposées à Poutine. Nous, on croit ça. Et Poutine s’est donc laissé fêter. Et ça fait vraiment sens parce qu’il y a exactement les gens qui se rassemblent, qui vont ensemble. Parce qu’antifa, ça vient d’antifascisme. Et c’est comme l’état de raison. Et ça ne veut pas dire que ce sont des. . . Ça ne veut pas dire que c’est tout simplement un nouveau code, un nouveau code ancien qu’on connaît déjà de la RDA avec les ennemis de classe. Celui qui est antifasciste n’est pas un socialiste ou communiste et doit être combattu. Donc c’était une manifestation marxiste pure et dure où Poutine est apparu et s’est fait applaudir. Mais les images ne sont pas diffusées en Occident car Poutine y est présenté comme le sauveur des conservateurs et des chrétiens, alors qu’en Russie, il s’entend bien avec les socialistes du monde entier, Cuba, Venezuela, etc. Oui, donc au cœur de la révolution, c’est le socialisme. Au cœur de l’idéologie communiste, il y a bien sûr toujours eu la création d’un gouvernement mondial. Et nous avons par exemple Vladimir Lévin qui disait « Nous sommes des internationalistes. Nous aspirons à l’union solide et à la fusion complète des ouvriers et des paysans dans tous les peuples du monde en une seule république soviétique mondiale. » De la même manière, Léon Trotski a parlé d’une fédération socialiste mondiale. C’est intéressant parce qu’on parle souvent des globalistes, mais ça, c’est vraiment le centre, c’est que c’est le communisme. Et il n’y a rien de plus globaliste que le communisme. Et dans ce sens, il y a aussi des déclarations en Russie. Poutine a par exemple dit qu’il était en faveur de l’agenda 2030, avec également BlackRock, le Forum économique mondial, les Nations Unies et bien sûr les États -Unis. Donc l’agenda 2030 a des racines socialistes. Et il y a une socialiste norvégienne qui a aussi participé du nom de Gro Harlem Brundtland. Et c’est aussi un plaidoyer indirect pour un gouvernement mondial, car le communisme et le gouvernement mondial vont de pair, comme le disaient justement les lignes. Mais on trouve des choses encore plus importantes. Plus concrètes concernant le gouvernement mondial, et ce à plusieurs reprises dans les écrits du principal stratège russe, Alexandre Dugin, qui a formulé quelque chose comme le fondement de la géopolitique. Le fondement de la géopolitique, c’est le titre de son œuvre, paru en 1997. Et il parlait d’un nouveau royaume russe. Je cite, « Selon la logique de la géopolitique, cet empire doit dépasser stratégiquement et spatialement son prédécesseur, c’est -à -dire l’Union soviétique. C’est pourquoi le nouvel empire doit être eurasien, continental et, en perspective, un empire mondial. La lutte pour la domination mondiale du peuple russe n’est pas encore terminée. » Nous avons donc là une affirmation qui est en faveur d’une puissance mondiale. Et ce qu’Alexandre Dugin a dit est vraiment important en Russie, même si beaucoup le nient. Et l’empire souhaité par Dugin doit être le successeur de l’Union soviétique. Et vraiment, on assiste à une renaissance du communisme en Russie, ce qui n’est pas surprenant, étant donné que Poutine aime les idéaux communistes. Donc, il y a de nouveau des monuments à Staline qui sont érigés. Des personnages historiques sont blanchis. On exige de réintroduire les noms soviétiques. Par exemple, Volgograd en Stalingrad. Poutine a également réintroduit l’hymne de l’Union soviétique en 2000, avec de nouvelles paroles, mais du même auteur communiste. Et de même, nous avons, concernant la liberté de la presse et de la liberté de l’expression, nous sommes revenus à une situation soviétique. La Russie a interdit, presque en même temps que l’interdiction de Compact en Allemagne, a interdit un grand média d’opposition, le Moscow Times. Nancy Faeser dit, c’est encore presque plus grossier que ce qu’elle avait dit, citation, ils ont discrédité les décisions des dirigeants russes, tant en politique intérieure qu’extérieure. Donc, c’est tout à fait contre une société libre. Et même s’il n’y a pas, on interdit ces médias et ces médias alternatifs. Et c’est typique, on s’accroche à l’opposition en Occident pour gagner des points de sympathie. Poutine essaie de gagner des points de sympathie. Et la propagande russe à l’étranger critique ce qui se passe en Occident comme étant du fascisme. Mais on fait exactement la même chose à l’intérieur du pays. Là, je ne suis ni fan de Nancy Faeser ni de Monsieur Poutine. Mais qu’est-ce qu’elle fait? Elle envoie un porte -parole du ministère des Affaires étrangères qui s’oppose à l’interdiction de ces médias alternatifs. Mais c’est exactement la même chose qui est faite des deux côtés. C’est deux facettes de la même médaille. Une autre image, vous voyez l’image qui devrait faire réfléchir certains. Poutine qui est en Corée du Nord. Et le peuple doit venir pour l’acclamer, ces deux. Et ça, ça donne une impression de communisme pur. Et Poutine a reçu un chèque en blanc de la part de Kim Jong-un, citation « Nous avons toujours soutenu et continuerons de soutenir toutes les décisions de Poutine et les décisions du gouvernement russe ». Ça veut dire qu’ils sont très proches, ces deux hommes. Et on peut dire qu’ils sont très proches, ces deux hommes. On ne voit pas du tout une société libre. On voit en Russie fortement cette influence communiste. Et je pourrais donner plein d’autres exemples. Et on peut faire la transition à Xi Jinping que beaucoup ne veulent pas voir comme étant un ami à Poutine, bien qu’il le soit définitivement pour moi. Peu avant la guerre d’Ukraine début 2022, Poutine s’est rendu aux Jeux olympiques d’hiver de Pékin. Il a déclaré « Le président Xi Jinping et moi, nous nous connaissons depuis longtemps. Nous sommes de bons amis et des hommes politiques qui partagent largement les mêmes points de vue sur la manière de traiter les problèmes du monde. Nous entretenons des contacts étroits et fréquents ». Xi Jinping est allé encore plus loin en appelant Vladimir Poutine son « meilleur ami ». Donc ils sont très étroitement liés. Ils ont les mêmes points de vue sur la manière de gérer les problèmes du monde. Ou bien au journal télévisé allemand, il y a deux mois à peine, Vladimir Poutine et Xi Jinping ont signé une déclaration commune lors de leur rencontre dans la capitale chinoise. Selon cette déclaration, la Russie et la Chine veulent approfondir leur coopération dans différents domaines tels que la logistique, les transports, l’énergie et l’agriculture. Oui, Poutine l’admet car il est déjà un pays ouvertement communiste. Mao Zedong a toujours un statut de saint quasiment, un pays où le parti unique écrit dans ses statuts « L’idéal suprême et le but final du parti est la réalisation du communisme ». Donc c’est très très clair. Et le communisme ne peut bien sûr être réalisé qu’à l’échelle mondiale, comme le constatait déjà Lénine. C’est pourquoi l’adhésion au communisme, est aussi toujours une adhésion au gouvernement mondial. L’adhésion au marxisme -léninisme et aux mêmes idées de Mao Zedong est inscrite non seulement dans les statuts du parti mais aussi dans la constitution chinoise. Mao, par exemple, est toujours conservé dans un hall commémoratif à Pékin, tout comme Lénine est toujours visible dans un mausolée sur la place Rouge. On honore ces assassins communistes. C’est comme si on avait un mausolée d’Hitler sur le Alexanderplatz en Allemagne. Là aussi, la distance avec le Troisième Reich ne serait pas très crédible. La politique Covid qui pourrait revenir à tout moment était tout aussi communiste. La Chine était probablement le pays qui a le plus longtemps et le plus intensément martyrisé sa population. Les gens étaient confinés, ne pouvaient pas quitter leur logement pendant des semaines. Il y avait des zones résidentielles entières qui étaient bouclées ou les supermarchés étaient fermés. On a vu des gens qui faisaient des signes désespérés par leurs fenêtres parce que leurs frigos étaient vides et qu’ils ne pouvaient pas sortir. Des quartiers entiers étaient complètement fermés pour un seul test PCR positif. À Pékin, on devait se faire tester de force trois fois par semaine. Les gens étaient emmenés dans des camps de quarantaine dans des containers qui ressemblaient vraiment à des cellules de prison. Les gens étaient parfois enfermés pendant des semaines. Et ce n’est qu’un aperçu de toutes ces horreurs. La terreur du Covid -19 absolue de Xi Jinping contre laquelle même nos gouvernements qui n’ont pas été tendres ont l’air gentil. Par exemple, ils ont aussi mis leur code QR sur rouge et ça les empêchait de se déplacer librement en Chine. Et la Russie s’est plutôt orientée sur l’Occident mais ne se distinguait pas non plus de manière positive comme une bonne alternative de manière d’agir. Et concernant le communisme, c’est une idéologie pour des fins que des personnes, les tireurs de fichiers, et celles -ci ont un niveau supérieur. Alors voyons comment le communisme s’est développé. En Russie, la révolution de 1917 d’octobre a été financée en coulisses par les banquiers américains de Wall Street. L’historien américain Anthony C. Sutton a écrit un ouvrage de fonds sur le sujet. Deux noms sont à mentionner en tant que financiers des communistes. Paul Warburg et Jacob Schiff. Paul Warburg était officiellement le principal fondateur de la banque centrale américaine, la Federal Reserve. À l’époque, en 1913 , lors de la création de la Fed, de nombreuses voix ont affirmé que Paul Warburg travaillait pour le compte des Rothschild, notamment un conseiller et ami du président Woodrow Wilson nommé Ellie Garrison. En outre, on sait par exemple que les Rothschild et Warburg ont lancé le mouvement pan -européen où un Warburg a quasiment agi sur l’ordre d’un Rothschild. On voit cette connexion entre la famille Schiff et la famille Rothschild, car ils se partageaient une maison au 18e siècle. Et ces deux banquiers, Paul Warburg et Jacob Schiff, étaient avec leurs banques Kuhn, Lope et compagnie et avec la Federal Reserve les banquiers de la révolution mondiale. Donc ils se sont occupés avec leur argent, leurs moyens financiers, de permettre à Lénine et Trotski de prendre le pouvoir en Russie en 1917. Et ce qui est important dans la création de la Fondation de la Federal Reserve, c’est qu’un Rockefeller a aussi étroitement participé à celle -ci. Et les Rockefeller ont, par l’intermédiaire de leur homme Henry Kissinger, initié l’ouverture de la Chine dans les années 1970, ce qui a permis à la Chine de devenir une puissance mondiale telle que nous la connaissons aujourd’hui. Et c’est à l’époque, donc dans les années 1970, que David Rockefeller s’est rendu en Chine et a rendu visite à Mao Tse -tung, qui est toujours honoré dans la Chine d’aujourd’hui. Et David Rockefeller a alors écrit dans le New York Times, alors que des millions de Chinois venaient de périr, que la Chine représentait l’une des expériences les plus importantes et les plus réussies de l’histoire de l’humanité. Si on s’y intéresse de plus près, on constate que la Chine était un véritable projet des Rockefeller et on avance de nouveau de 50 ans et on en vient au lien entre Klaus Schwab et David Rockefeller, car Klaus Schwab dit en effet qu’Henry Kissinger était en quelque sorte son mentor, Henry Kissinger. Henry Kissinger travaillait pour les Rockefeller et l’autre mentor dont parle Schwab est Maurice Strong, qui, comme Henry Kissinger, avait également travaillé avec les Rockefeller. Donc Schwab est aussi un homme des Rockefellers et aujourd’hui Klaus Schwab, l’esprit maître du Great Reset, dit dans un registre très similaire à celui de David Rockefeller à l’époque que la Chine est littéralement un modèle attractif pour un grand nombre de pays. Donc la Chine est comme modèle pour l’Occident. La Chine communiste, où nous avons appris que les Rockefeller, cofondateurs de la Réserve fédérale, ont donné le coup d’envoi de la prise de pouvoir mondiale du communisme, et donc tout s’explique. Et les Rothschild, bien qu’ils se révèlent rarement en public, ils sont également pleins d’euphorie pour la Chine communiste. En 2011, Evelyn de Rothschild, qui était conseiller financier de la REN, est apparue sur Bloomberg et a fait des louanges pour la Chine, a parlé dans des paroles sous -jacentes du renminbi, la monnaie chinoise comme monnaie mondiale, et on peut voir sur leur portail officiel, on peut les identifier facilement comme tireurs de ficelle de la révolution d’octobre. Puis nous avons aussi des relations d’affaires des Rothschild avec la Russie. Nathaniel Rothschild, qui aurait par exemple, en 2008, mis 500 millions de dollars dans le groupe d’aluminium d’un oligarque très proche de Poutine, Oleg Deripaska, ou encore Gerhard Schröder, un ami très proche de Poutine, qui a accepté un poste de conseiller auprès de la banque Rothschild, après son mandat de chancelier. De même, le lien avec Rockefeller peut être clairement établi pour Poutine, car lui et Henry Kissinger, l’homme de Rockefeller et mentor de Schwab, étaient des amis proches avant le décès de Kissinger. Donc ça donne une image très claire de la collaboration au plus haut niveau. Mais bien sûr, le lien décisif entre la Russie et la Chine et les élites financières internationales est que la Chine et la Russie tiennent toutes deux en haute esprit. Et c’est ce qu’est le communisme, qui a justement été propagé par les tireurs de ficelles mondiaux comme Rothschild et Rockefeller. J’ajoute donc ceci comme complément important pour qu’on ne pense pas que je m’attarde ici sur les symptômes. Je suis conscient que d’autres puissances déterminent le cours des choses en arrière -plan, mais ce groupe de personnes ne nous veut pas du tout du bien et n’a aucun problème avec le système communiste. Et ça semble aussi être le but à l’avenir, qu’on ait la même opinion. On veut faire un communisme mondial. Et ça se fait au moyen de l’agenda 2030. Et en Russie et en Chine, c’est plus militarisé, plus dur, mais c’est le même esprit. Et comme le communisme est le point final, on pourrait aussi parler de certaines sectes de fin des temps, mais ce serait de trop pour aujourd’hui. Et j’aimerais seulement vous dire pour l’avenir que tout va vers le communisme, qui est forcé, mis en avant des deux côtés, et qu’on se joue la balle mutuellement. Et que depuis la prison de Chine, nous avons publié une double édition dans le journal Express Zeitung. On peut se pencher de manière plus approfondie sur ce sujet de la prison numérique en Chine. Et pour conclure, la Chine et la Russie ne sont pas des alliés pour nous. Le communisme n’y a pas vraiment disparu, comme on nous l’a affirmé. Ces pays sont de mèche avec les tireurs de ficelle typiques de la haute finance. Et nous devrions nous montrer très sceptiques à leur égard. Comme je l’ai dit, les gouvernements, pas les habitants là -bas. Oui, on peut trouver en Occident beaucoup de choses destructrices et malveillantes, mais la réponse et le salut ne viennent certainement pas de Poutine et de la Chine. Voilà, c’est ce que je voulais dire. J’ai eu un plaisir et je vous souhaite une très très bonne conférence. Ivo Sasek : Merci. Hop, et ça remonte. Et tu résumes cela, tu as vraiment super bien expliqué cette image aussi avec que ces forces sont en arrière -plan et on voit qu’il y a de nouveau des gens qui sont instrumentalisés. Tu as expliqué Lénine, Trotski, Staline, tout ça c’était des francs -maçons, Poutine, et puis c’est quand même tout un club, mais la dépossession des peuples, où est -ce qu’on peut le voir mieux que dans le communisme, où on a tout dans l’État, tout appartient à l’État, et les Rothschild, on voit ça très bien. Merci beaucoup pour ta contribution. On te souhaite tout le bien pour la suite et des salutations à tout. Merci, nous t'aimons. Au revoir.
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