19e AZK : Après la tragédie mondiale de la vaccination, le régime mondial de vaccination ?

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18.11.2023 | www.kla.tv/27476

Ivo Sasek: « Avant de passer au traitement juridique de la tragédie de la vaccination que je viens de décrire, nous devons encore nous soumettre à un test de résistance. Il s'agit de savoir si toutes ces plaintes sont justifiées d'un point de vue professionnel. Et je dis que si un homme sous ce ciel s'y connaît vraiment en médecine, en immunobiologie, en microbiologie médicale ou en bactériologie, c'est le prochain orateur qui va s'exprimer. Il n'est pas seulement une sommité dans ces domaines, c'est aussi un homme de cœur. Je dirais que c'est l'amour en personne. Nous ne nous sommes certes rencontrés que dans nos lettres, mais il était impossible de ne pas glisser en un rien de temps du "vous" formel au "tu" familier. Oh, j'adore cet homme ! C'est la compétence professionnelle en personne avec autant d'intrépidité que d'amour pour tout le monde. Aujourd'hui parmi nous, depuis un studio mobile près de Kiel, nous souhaitons la bienvenue au professeur Sucharit Bhakdi ! Pouvez-vous m'entendre ? Vous me voyez ? Le voilà ! Merci mille fois de partager avec nous aujourd'hui non seulement vos précieuses connaissances, mais aussi votre retraite active et votre temps précieux. Nous nous mettons tout de suite au travail pour que vous ne manquiez pas à votre merveilleuse famille trop longtemps, encore plus longtemps. Mais nous disons aussi un grand merci à votre femme et à votre fils pour ce précieux sacrifice car ils ont été privés de vous aujourd'hui. Et pour votre biographie extraordinaire, nous allons quand même nous accorder le temps nécessaire. » Prof. Sucharit Bhakdi: « Mesdames et Messieurs, je m'adresse à vous aujourd'hui en tant que médecin et scientifique, mais avant tout en tant qu'être humain. Pas en tant qu'opposant à la vaccination, non-conformiste ou négationniste du Covid, comme on a si souvent voulu me qualifier ces dernières années. J'aimerais commencer l'exposé d'aujourd'hui par une question à votre intention. Savez-vous quelle était l'espérance de vie d'un citoyen allemand au début de la révolution médicale du 19e siècle ? Trente-huit ans. Mais si, à cette époque, dix personnes avaient fêté ensemble leur 60e anniversaire, combien d'années leur restaient-il à vivre ? La réponse, qu’on ne connaît généralement pas, est la suivante : sept ans, soit à peine moins qu'aujourd'hui. Comment cela s'explique-t-il ? À l'époque, les infections étaient la principale cause de maladie et de décès et elles touchaient des personnes jeunes. Elles ont été vaincues par la microbiologie, ce qui a permis de doubler l'espérance de vie totale. D'autres progrès de la médecine, en cardiologie, en cancérologie, en génie génétique, n'ont pas apporté autant à l'humanité en comparaison. Comment la microbiologie y est-elle parvenue ? La majorité, surtout les politiciens et les médias, s'exclameront ; "Oui, bien sûr, grâce à la vaccination !" C'est pourtant une croyance mondiale erronée qui est à l'origine de la crise actuelle. Le fait est que les vaccins ont joué un rôle beaucoup, beaucoup moins important que d'autres circonstances. C'est surtout l'amélioration des conditions de vie et l'adoption d'un mode de vie sain qui ont joué un rôle décisif dans le recul des infections mortelles. Pour atteindre ce noble objectif, ils ont créé l'OMS. Cette association privée, qui n'a pas été élue démocratiquement par le peuple, est en train de s'arroger les pleins pouvoirs sur l'ensemble des soins de santé dans les 190 États membres. L'Allemagne est l'un des grands partisans de ce projet. Dans six mois seulement, le Bundestag allemand votera définitivement sur l'octroi à l'OMS du pouvoir d'annoncer à tout moment une urgence médicale justifiant et rendant obligatoire la suspension des droits de l'homme. Cela inclut l'utilisation des nouveaux vaccins à ARN basés sur la génétique. L'OMS a déjà déclaré publiquement que ces vaccins seraient introduits pour toutes les vaccinations humaines et animales possibles. Pourquoi, selon vous ? L'argent et le pouvoir, le pouvoir et l'argent, toujours la même réponse. Certes, certaines vaccinations ont été bénéfiques. Le tétanos n'existe ainsi plus chez nous. D'autres épidémies comme la polio ont disparu, même si c'est pour d'autres raisons. La question de la réelle nécessité de nombreuses vaccinations se pose de plus en plus. Le moyen le plus efficace de lutter contre la baisse de la volonté de se faire vacciner est de rendre la vaccination obligatoire, directement ou indirectement, mais aussi de l'autoriser officiellement. Porte ouverte à l'OMS. Et il faut ensuite veiller à ce que les vaccins puissent être mis à disposition en grandes quantités. Mais c'est là qu'un problème se posait. Les vaccins précédents consistent à injecter des substances inactivées qui stimulent la formation d'anticorps spécifiques. Les vaccins contre le tétanos et la diphtérie, par exemple, doivent être produits par la main humaine. La production est relativement complexe et coûteuse. Dans le cas des vaccins à ARN, les gènes responsables sont administrés à la place des produits antigéniques et les personnes injectées produisent ensuite les vaccins proprement dits, les produits, dans leur corps. On ne peut pas faire plus avantageux. Ce qui est génial, c'est que l'OMS ordonne la vaccination. Les citoyens doivent payer les vaccins génétiques avec l'argent de leurs impôts. Ils se font injecter et se transforment ensuite eux-mêmes en usines pour la fabrication des vaccins. Comment cela fonctionne-t-il ? Le génome est l'ensemble des instructions codées par l'ADN dans une cellule. Ces livres de vie sont emballés dans des chromosomes et conservés dans le noyau cellulaire. À gauche de l'image. L'écriture de l'ADN ne comporte que quatre lettres alignées. Ce qui est génial, c'est que chaque ordre est le code d'un produit bien précis. ABCD donne le produit 1, BACD le produit 2, BADC le produit 3 etc. Avec chaque extension des mots, le nombre de produits possibles augmente de manière insoupçonnée. Il suffit de dix lettres pour créer des millions de mots ou de codes. Lorsqu'une recette est nécessaire pour un produit, le livre de la vie est ouvert à la bonne page et une copie, un calque de la recette est réalisé. Cette copie c’est de l'ARNm, qui est apporté et utilisé sur le site de production de la cellule. Le produit obtenu selon la recette, à droite, est placé sur le rebord de la fenêtre de la cellule pour vérification. La recette, l'ARNm au milieu, est ensuite éliminée rapidement et silencieusement. Avec cet ARN, vous voyez également les lettres sortir comme des petites aiguilles. Vous voyez que nous avons ici un total de 14 lettres. En fonction de l'ordre, vous pouvez faire au moins cinq millions d'ordres différents. Cinq millions de produits différents. Ici, on est en train de faire ce produit que vous voyez sur la droite. Les vaccins à ARN doivent être emballés dans de minuscules boules de graisse, appelées nanoparticules lipidiques, ici sous forme de cercles. L'emballage protège l'ARN de la destruction afin qu'il puisse atteindre tous les organes de votre corps via la circulation sanguine. Là, les boules agissent comme des chevaux de Troie. Les cellules les absorbent, leur cargaison est libérée à l'intérieur et les recettes contrôlent la production du produit génétique, qui est ensuite exposé sur le rebord de la fenêtre pour inspection. La production en masse d'ARNm nécessite la disponibilité en masse des modèles d'ADN. Comment cela peut-il être réalisé ? En principe, il y a deux façons d'y parvenir. Premièrement, les quatre lettres d'ADN, on peut aujourd'hui les acheter isolément dans des emballages en gros. Leur combinaison est réalisable dans n'importe quel ordre par ordinateur en laboratoire. Si de telles recettes d'ADN artificiel sont connues, par exemple pour le codage des protéines de spike des virus, elles peuvent être mises sur papier dans les laboratoires de génétique et utilisées ensuite pour créer les copies de l'ARN. Et c'est ainsi qu'est né le premier vaccin Covid de BioNTech, qui, avec l'aide de Pfizer, a été testé sur 20 000 personnes lors de l'essai clinique réglementaire de l'été 2020 et a reçu une autorisation conditionnelle d'utilisation dans le monde entier en raison de son prétendu succès. Le succès de l'étude d'autorisation clinique est en soi une histoire de fraude et de tromperie à grande échelle. Tout le monde peut et doit le savoir, on peut le vérifier. La grande escroquerie et le plus grand crime médical jamais commis avaient pourtant été soigneusement élaborés et planifiés à l'avance. Comme le professeur Stefan Hockertz l'a précisé dès le début de la folie vaccinale, la dynamique de la campagne de vaccination était loin d'être correcte. Normalement, le développement d'un vaccin prend de nombreuses années, car il faut effectuer des tests minutieux en laboratoire et sur les animaux pour s'assurer de l'efficacité et de la sécurité du vaccin. Les résultats de telles études préliminaires doivent être examinés par des autorités responsables, qui délivrent ensuite l'autorisation. Mais BioNTech a montré au monde qu'il est possible de faire autrement, incroyablement plus vite, si l'on dispose des bonnes connexions et des bons soutiens. Les dates clés peuvent être lues dans le livre quasi biographique "Projekt Lightspeed" de Joe Miller, écrit avec la participation des fondateurs de BioNTech. Dans ce livre, on apprend comment, juste après l'annonce de la séquence virale en janvier 2020, BioNTech a pris la décision géniale de créer le premier vaccin protecteur à ARN de l'histoire mondiale. Les tests d'efficacité n'ont certes pas pu avoir lieu selon les règles en vigueur, car BioNTech ne disposait ni du virus ni d'une installation d'expérimentation animale. En l'absence d'animaux, aucun contrôle de sécurité n'a pu et n'a dû être effectué. BioNTech a réussi à convaincre l'institut Paul-Ehrlich que tout ça ne jouait plus aucun rôle dans la situation d'urgence donnée. Il s'agissait en effet de sauver d'innombrables vies humaines. Comment, c'est écrit dans le livre "Projekt Lightspeed", à la page 218/219. Dès le début, Claudia Lindemann de BioNTech savait que cette étude devait être menée beaucoup plus rapidement. Peu après la rencontre d'Ugur Sahin avec l'autorité fédérale en février, la Commission a pu lui annoncer qu'elle pouvait rationaliser les différentes étapes du processus et le réduire à sa durée, de sorte qu'il ne prendrait plus que trois mois. Sahin n'était pas aussi satisfait qu'il l'espérait, il voulait commencer les tests cliniques dans les semaines qui suivaient. « Allez, Claudia », a-t-il dit, « nous devons trouver une solution ! » Et ils ont trouvé une solution et voici ce que l'Institut Paul Ehrlich a accepté. Dans le rapport annuel de BioNTech, publié le 14 mai 2020, on peut lire que ce vaccin ARNm, immunothérapie pour les maladies infectieuses, avec le produit candidat BNT162 contre le coronavirus, a déjà passé toutes les études précliniques et les a réussies. Avec succès ! Et c'est pourquoi ils ont pu commencer avec les premiers humains. Et pourtant, c'était un mensonge ! Un mensonge qui a néanmoins été accepté par l'institut Paul-Ehrlich. En fait, en janvier 2021, BioNTech a indiqué elle-même dans un rapport adressé à l'autorité australienne, qu'elle n'avait effectué aucun test de sécurité, aucun test sur les animaux. Cela a été fatal. Car en décembre 2021, il est apparu que cette enveloppe lipidique seule sans ARNm dedans, l'enveloppe lipidique vide, est hautement inflammatoire. Et avec cette seule enveloppe, ces chercheurs ont rendu des animaux gravement malades et les ont même tués. Des souris. En décembre 2021 au plus tard, l'institut Paul-Ehrlich aurait dû interdire immédiatement toute nouvelle administration. Non, il ne s'est rien passé. Vous pouvez lire tout cela, Mesdames et Messieurs, dans un livre que je vous recommande vivement. Il a été écrit par Madame Brigitte Röhrig, avocate. Et elle a consigné dans un travail minutieux tous les tenants et aboutissants, dans ce livre « La conspiration du Covid ». Le titre n'est pas heureux et je pense qu'il pourrait peut-être être modifié. Mais le sujet est traité ainsi. Je pense qu'on ne peut pas faire mieux. C'est ainsi que l'autorisation d'urgence pour le vaccin a effectivement été accordée. Mais six mois avant l'autorisation, c'est-à-dire en juin 2020, nous nous sommes levés, ma femme et moi, pour essayer d'avertir que le vaccin était hautement dangereux. Car ce que tout le monde doit savoir, et que vous saurez pour toujours dans quelques minutes, c'est qu'il y a des gardes de sécurité autour de chaque cellule. Tout va bien lorsque quelque chose est fabriqué selon une recette tirée de son propre livre de vie. Mais malheur à vous si la recette provient d'un livre étranger. Les forces de sécurité, notre système immunitaire, attaquent alors immédiatement ces cellules. Sur la page de gauche, vous voyez en noir des produits issus de notre livre de vie. Là, le système immunitaire n'attaque pas. En rouge sur la droite, lorsqu'une protéine virale ou une protéine étrangère est produite, le système immunitaire attaque et détruit cette cellule. La capacité du système immunitaire à reconnaître et à détruire les cellules qu’il n’a pas fabriquées lui-même est donnée à la naissance et prend fin à la mort. Pensez au rejet des greffes. Vous recevez mon rein, vous rejetez mon rein ! Même au sein de la même espèce humaine, ce qui n’est pas fabriqué par soi-même n'est pas toléré. Et si, après le premier échec, une nouvelle tentative est faite, vous recevez (par exemple) mon deuxième rein, un rejet impitoyable s'ensuit. Encore plus vite et beaucoup plus violemment. Le même principe est à la base de l'intensité toujours plus grande des événements indésirables qui surviennent à la suite d'injections d'ARN de rappel. En effet, le système immunitaire est constitué de nombreux composants et lors d'une vaccination de rappel, surtout si des anticorps sont déjà présents, on assiste alors à une attaque de la cellule par ces anticorps nouvellement formés et à l'activation de ce qu'on appelle le système du complément, écrit au-dessus. C'est cette grande flèche noire. Le système du complément tue la cellule. Tout cela me ramène 40 ans en arrière, car j'ai eu la grande chance de découvrir en 1978 cette solution magique qu'est le système du complément et d'expliquer comment il agit en premier lieu. N'oubliez pas que le nombre de copies d'ARN enrobées qui sont administrées à chaque injection est tout simplement gigantesque. D'innombrables attaques immunitaires sont déclenchées dans tout le corps et ne s'arrêtent que lorsque la production de la protéine étrangère est terminée. Combien de temps cela prendra-t-il ? Quelques jours seulement, comme les fabricants de vaccins, les fournisseurs de vaccins et les politiciens ne se lassent pas de le dire ? En tout cas, il nous a semblé, à Carina et à moi, que le risque était démesuré, que la quantité et la durée de production de la protéine Spike soient suffisamment importantes et longues pour déclencher elles-mêmes des mécanismes d'attaque de type maladies auto-immunes. Et en fait, nous craignions (ici nous regardons un vaisseau sanguin) que si un paquet arrivait dans la circulation sanguine et que ce cercle rond au milieu du vaisseau avec un Z, c'est l'ARNm, il serait absorbé. C'est-à-dire que deuxièmement, vous voyez que ces nanoparticules lipidiques vont dans la paroi cellulaire, troisièmement, vous voyez que la production commence dans la paroi cellulaire, des cellules qui tapissent les vaisseaux, et puis vous voyez qu'il y a une attaque. Cinquièmement, les cellules meurent, il y a une fuite et ces vaccins s'échappent ensuite dans les tissus et sont absorbés par les cellules du foie, du cœur, du cerveau et les mêmes mécanismes d'auto-attaque se produisent ensuite dans tous les organes. Et nous avons dit que nous craignions que les premières cibles soient les plus petits vaisseaux du corps, et ce partout. Oui, en effet, l'année dernière, une découverte des plus alarmantes est apparue. Des semaines, voire des mois après les injections, on a constaté chez les personnes vaccinées la présence de protéines spike et d'inflammations de multiples organes. Cela était combiné à des maladies graves et souvent mortelles. Nous devons cette découverte au travail de scientifiques pionniers allemands, je le dis avec un peu de fierté. Le premier à s'être levé est un professeur à la retraite, Arne Burkhardt, qui est tragiquement décédé dans un accident il y a quelques mois. Il travaillait avec son grand ami, le professeur retraité Walter Lang, pathologiste. Le cercle des premiers examinateurs comprenait le Dr Michael Mörz de Dresde et le professeur Peter Schirmacher, chef de l'Institut de pathologie de l'Université de Heidelberg. Et finalement, ils ont tous fait les mêmes constatations. Vous voyez ici les vaisseaux du cerveau. Vous voyez que le cerveau est parcouru d'innombrables vaisseaux. 20 % de l'oxygène que vous consommez est utilisé par le cerveau. C'est incroyable. Chaque vaisseau alimente des cellules qui ont un besoin urgent d'oxygène. Si un vaisseau est abimé, s'il est bouché parce que des caillots se forment ou parce qu'il fuit, les cellules autour de ce vaisseau meurent. Et les cellules cérébrales mortes ne peuvent pas être remplacées. C'est pourquoi notre grande crainte, dès le début, était qu'il y ait des lésions cérébrales diffuses. Des lésions cardiaques, des lésions cérébrales. Et celles-ci auraient alors des conséquences irréparables. Ceci est tiré du premier travail de Michael Mörz, le pathologiste de Dresde, qui a été publié le 1er octobre de l'année dernière. Cela fait donc plus d'un an, Mesdames et Messieurs, que ces résultats sont connus dans le monde entier, qu'ils ont été publiés dans une revue de pointe et qu'ils continuent d'être tout simplement ignorés par la Société allemande de pathologie, par les hommes politiques allemands et par les journalistes. Ce que Michael Mörz a trouvé, c'est que vous voyez ici deux vaisseaux, l'un à gauche dans le cerveau antérieur et l'autre dans une autre partie du cerveau, c'est-à-dire différentes parties du cerveau. Et dans les deux, Michael Mörz a pu démontrer la présence de cette protéine virale spike à l'aide d'une technique particulière. La protéine Spike prend alors une couleur brune. Et il a trouvé la protéine spike sur la paroi des vaisseaux et de temps en temps aussi dans le cerveau lui-même. Flèche bleue. Lorsqu'il essayait de démontrer la présence d'une autre protéine virale, il n'y parvenait pas. Il n'y avait donc pas de virus. Il n'y avait que la protéine spike et cela ne pouvait venir que du vaccin. Autour de ces vaisseaux, Michael Mörz a trouvé quelque chose de si effrayant, de si terrifiant : il voit des cellules nerveuses mourantes et mortes ! Une. Beaucoup d'autres. Puis il voit des cellules immunitaires, deux et trois, qui n'en font pas partie. Étonnamment, chez le même patient décédé, il trouve les mêmes modifications dans les vaisseaux du cœur. C'est sensationnel. Il voit également dans le cœur une inflammation du muscle cardiaque, d'une inflammation des petits vaisseaux. De nouveau la protéine spike, brune. Dans deux vaisseaux ici. Parallèlement, Peter Schirmacher a fait le même constat. Et il l'a publié dans un travail vraiment très important. Cette année, en 2023, le groupe universitaire autour de Peter Schirmacher - et je vous le dis, Peter Schirmacher est l'un des pathologistes les plus connus et les plus respectés au monde - a dit très clairement que c'était ainsi. Il est possible que ces spikes du vaccin, ce vaccin, soient absorbées par le cœur, dans le cœur, et provoquent une myocardite mortelle. C'est écrit ! Et la myocardite peut être mortelle ! C'est-à-dire qu’on sait, Mesdames et Messieurs, que ce vaccin peut tuer. Maintenant, les gens qui veulent encore croire à ce vaccin viennent dire : « Oui, mais c'est tellement rare ! » L'encéphalopathie, l'encéphalite, se produit avec une incidence d'1 pour 100 000 personnes-années. Cela signifie qu'1 personne sur 100 000 est atteinte d'encéphalite chaque année. De toute façon. Et pour la myocardite, c'est 1 personne sur 10 000 qui tombe malade chaque année. De sorte qu'il est clair que… c'est très regrettable, mais l'incidence, l'apparition après la vaccination n'est pas plus élevée que chez les personnes non vaccinées. Mais c'est une conclusion erronée, Mesdames et Messieurs. Et cela peut être lu dans ce travail de Michael Mörz. En effet, il faut réaliser ce qui suit : si deux maladies rares apparaissent chez une même personne, alors la probabilité de leur apparition conjointe, la multiplication des incidences individuelles, est dans ce cas de (1 sur 100 000) fois (1 sur 10 000). Et cela donne une incidence de 1 pour 1 milliard de personnes-années. Cela signifie que pour chaque milliard de personnes, la probabilité que les deux se produisent en même temps, la même année, est de 1. Et ce que tout le monde, y compris nos dirigeants politiques, les médias, tout le monde, sait probablement, c'est que dans toute l'Europe, il y a moins de 500 millions de personnes. Mais cette combinaison d'encéphalite et de myocardite a été trouvée à maintes reprises. Par le professeur Arne Burkhardt principalement. Il n'y a pas de hasard, ce n'est pas une coïncidence, c'est une causalité, c'est prouvé. Il n'y a pas d'autre explication. Quelle raison pouvait-il et peut-il y avoir pour une production aussi catastrophique et prolongée d'une protéine codée par ARN ? Remarquez, quelques milliards de recettes d'ADN générées artificiellement, donc en laboratoire, à partir d'un ordinateur, pour vacciner 20 000 personnes dans le cadre d'un grand essai clinique avant l'autorisation, c'était encore faisable. Mais pour vacciner des milliards de personnes, les fabricants ont dû revenir à la nature. Voici maintenant le deuxième grand temps fort pour vous. Nous y revenons. L'ADN doit être présent pour que l'ARN soit produit. Pour l'autorisation du vaccin, cet ADN a été créé en laboratoire de manière informatisée, à partir de la séquence qui avait été rendue publique. Mais cela n'aurait pas suffi. Cela aurait été beaucoup trop cher pour vacciner des millions de personnes. Retour à la nature donc. Cet ADN, qui a été utilisé pour fabriquer l'ARN vaccinal qui a ensuite été administré, en décembre 2020, à des millions de personnes à travers le monde, en Amérique, en Europe, en même temps, provenait de bactéries ! C'est-à-dire que cet ADN, ces chromosomes, venaient de bactéries ! Et ce qui est génial avec ces bactéries, ces chromosomes, c'est qu'ils sont faciles à obtenir, ils s'appellent des plasmides. Et c'est évidemment un peu malheureux, parce que le commun des mortels ne sait pas qu'un plasmide est un chromosome bactérien. Et il ne sait pas que ces plasmides bactériens sont beaucoup plus petits que les nôtres. On peut les isoler, on peut les acheter emballés, en masse, et on peut les modifier. On peut insérer des gènes étrangers. Par exemple, le gène de la protéine spike du virus peut être facilement inséré, puis on peut les laisser se multiplier, les bactéries, on peut les extraire, et ensuite ces ADN plasmidiques sont utilisés pour faire de l'ARN. Et ensuite, votre corps fait aussi la protéine. Mais « Stop ! » vous exclamez-vous ! « C'est quand même différent de la procédure approuvée par les autorités ! » Question donc : l'utilisation des chromosomes bactériens pour la fabrication de vaccins a-t-elle déjà été testée et approuvée en termes de sécurité quelque part dans le monde ? La réponse se trouve dans des livres récemment publiés. Le livre de David Fischer, qui vient de paraître, s'appelle « Souillé ». Et il raconte justement comment tout cela s'est passé. Je le recommande vivement. Et Brigitte Röhrig a également raconté toute l'histoire dans son livre et les histoires se recoupent. ... Donc, Mesdames et Messieurs, les histoires sont vraies. Et les deux disent la même chose. Non, ils n'ont jamais été testés, ni sur le contenu ni sur la sécurité. Les autorités d'homologation les ont simplement approuvés et autorisés. Et je cite explicitement l'Institut Paul-Ehrlich, car la sécurité de ces vaccins relève de la responsabilité de chaque pays. Cela signifie qu'on ne peut pas se référer à la Commission européenne EMA, mais que lorsqu'il s'agit de la vie du peuple allemand, de la protection de notre vie, c'est l'Institut Paul Ehrlich qui est compétent. A ce stade, un petit puzzle pour égayer le tout. Une histoire si étonnante que si on ne l'avait pas entendue, on n'y croirait pas. D'où venaient ces matrices d'ADN, ce chromosome bactérien à partir duquel BioNTech et Pfizer ont produit les vaccins à ARN, par millions ? Et quand ont-elles été produites, quand et où ? Vous savez que ce vaccin est commercialisé sous le nom de BioNTech. BioNTech-Pfizer est un partenaire de BioNTech, depuis toujours. Maintenant, je vais vous dire que si quelque chose est introduit en Allemagne pour être utilisé dans des travaux de génie génétique, comme par exemple cet ADN bactérien, le bureau importateur a besoin d'un certificat. Et il existe un certificat qui a été délivré à BioNTech. Et ce certificat a été délivré en octobre, je crois que c'était le 1er octobre 2020. Et pour quoi était-ce ? C'était pour l'importation, pour l'importation de l'étranger de BNT162. Fragment d'ADN-PCR pour la production du vaccin. Mon Dieu, on ne peut que s'asseoir et dire : « Qu'est-ce qui s'est passé ? » Deux mois plus tard seulement, ce vaccin issu du chromosome bactérien était disponible à des millions d'exemplaires dans le monde entier. Et pourquoi BioNTech devait-elle importer ce plasmide ? On est stupéfait, on soupçonne presque une entreprise étrangère d'être impliquée. Je ne citerai pas de noms. Je pense que c'est quelque chose qui devrait occuper les journalistes et les juristes à l'avenir. Mais ce qui est clair, c'est que l'Institut Paul Ehrlich savait dès le début que cette intervention était planifiée longtemps à l'avance. Et a renoncé en toute connaissance de cause à vérifier le produit final. Un tel contrôle pour sauver des vies, votre vie, Mesdames et Messieurs, par des autorités compétentes n'a eu lieu nulle part dans le monde, Mesdames et Messieurs. Cela révèle une fraude à grande échelle, organisée en haut lieu. Et maintenant, je vais vous dire quelles sont les conséquences monstrueuses de ce crime commis conjointement par les fabricants et les autorités. Lors de la fabrication du vaccin, les bactéries, les minichromosomes, doivent être retirés de l'emballage de l'ARNm produit. Sinon, ils sont également emballés. Kevin McKernan, chercheur américain, a découvert que cette étape cruciale de l'élimination de l'ADN plasmidique n'avait pas été effectuée consciencieusement. D'énormes quantités d'ADN plasmidique, sous forme emballée, ont été trouvées. À droite, à côté de l'ARN emballé. La réussite de leur livraison était assurée grâce à cet emballage dans les cellules. La découverte de Kevin a depuis été confirmée dans plusieurs autres laboratoires à travers le monde, y compris en Allemagne. De grandes quantités d'ADN contaminant ont été trouvées dans les 27 lots analysés jusqu'à présent. De l'ADN plasmidique. Il y a quatre semaines, même l'autorité médicale canadienne a confirmé la découverte d'ADN plasmidique. Toutefois, les Canadiens n'y voient pas une raison suffisante pour retirer l'autorisation de mise sur le marché. D'ailleurs, l'autorité fédérale, l'Institut Paul-Ehrlich, s'est-elle déjà penchée sur la question après cette découverte ? Réponse : Non. Après sept mois : pas vraiment ! Cela, Mesdames et Messieurs, doit avoir des conséquences juridiques. Car cela mérite la peine maximale. L'ingestion de bactéries, de chromosomes, modifie l'ensemble de l'ADN dans la cellule et équivaut à une modification du génome. Il faut noter qu'à chaque division cellulaire, l'enveloppe protectrice du noyau se dissout, de sorte que l'ADN étranger se retrouve à proximité immédiate des chromosomes et est ensuite inclus dans les noyaux nouvellement formés des cellules filles. Une production continue de protéines étrangères peut avoir lieu, ce qui entraînera des inflammations et des dommages organiques à long terme dans tout le corps. Les parois des vaisseaux sanguins sont endommagées, les hémorragies et la formation de thromboses sont des conséquences inévitables. Les tissus mourront par manque d'oxygène. Le cœur est un organe qui ne peut pas remplacer les cellules mortes. Qui n'a pas entendu parler de ces mystérieuses morts subites d’origine cardiaque qui se produisent dans le monde entier ? Elles ne sont que la partie émergée de l'iceberg. Les maladies cardiaques provoquées par les vaccins sont aujourd'hui à l'ordre du jour des jeunes et des moins jeunes. Comme c'est important, je le répète. Pour sauver l'honneur de la science allemande, le professeur de renommée mondiale Peter Schirrmacher, directeur de l'Institut de pathologie de l'Université de Heidelberg, a publié une étude qui prouve sans aucun doute le lien de cause à effet entre la vaccination et les dommages cardiaques. C'est tellement important ! Personne ne peut dire que nous ne savions pas. Personne. Le deuxième organe qui ne peut pas remplacer ses cellules mortes est le cerveau. En fonction de l'endroit où les dommages causés par la vaccination se produisent, des maladies neurologiques et psychiatriques très diverses peuvent apparaître. Défaillances nerveuses et paralysies, mais aussi démence, psychoses, changements de caractère sont à l'ordre du jour chez les personnes vaccinées. Les vaccins s'accumulent également dans les organes reproducteurs. Il faut craindre une grave diminution de la fertilité. L'absorption d'ARN et d'ADN circulant dans le sang par des cellules du placenta peut entraîner des enfants mort-nés. Les vaccins sont détectés dans le lait maternel. La perméabilité intestinale est élevée dans les premières semaines après la naissance, de sorte que l'allaitement entraînera probablement une transmission directe des vaccins dans le sang du bébé. L'incroyable histoire d'horreur ne s'arrête pas là. Des fragments d'ADN hachés ont été retrouvés en masse comme contaminants de vaccins. Les séquences d'ADN fragmentées ont une tendance accrue à être intégrées dans les chromosomes. Les conséquences possibles sont infinies, il peut y avoir une perturbation du réseau finement réglé qui contrôle la division et la différenciation cellulaires. Le cancer et les troubles du développement peuvent en être les conséquences. Des mutations dans les spermatozoïdes et les ovules fécondés pourraient rendre des caractéristiques modifiées héréditaires. Mesdames et Messieurs, il n'existe pas de méthodes peu coûteuses permettant de séparer de manière fiable l'ARN produit en masse des plasmides. L'élimination complète serait beaucoup trop coûteuse. C'est pourquoi les chromosomes bactériens ont été retrouvés dans tous les lots de vaccins étudiés jusqu'à présent. Notez que la contamination par l'ADN plasmidique sera la règle et non l'exception pour tous les vaccins à ARN, pas seulement pour le Covid, tous les vaccins à ARN. Avec mon ami et proche allié Michael Palmer et quelques autres, nous avons publié un livre où nous interprétons tout cela, scientifiquement, comment les vaccins à ARN fonctionnent, pourquoi ils sont toujours dangereux et pourquoi ils tueront toujours. Il est disponible pour vous en téléchargement gratuit. (Applaudissements) Mesdames et Messieurs, ceux qui font l'éloge des vaccins ARN comme étant sûrs et efficaces, ceux qui prétendent que la vaccination ne produit que très rarement des effets secondaires graves, sont soit incroyablement ignorants, soit endoctrinés. Je voudrais ici recommander vivement un autre livre. Le livre du Dr Michael Nehls, qui vous explique comment un cerveau peut être endoctriné et comment cela s'est produit au cours des dernières décennies, voire plus longtemps encore, au sein de la population mondiale. Lisez ce livre, vous comprendrez pourquoi cette plandémie et pourquoi la prise de pouvoir par l'OMS sont tout simplement réalisables et je vous dis avec Ivo Sasek : Levez-vous maintenant. C'est à vous de jouer ! Vous devez empêcher cela ! Personne d'autre ne peut le faire. C'est vous ! Et dans ce livre, vous lirez également ce que vous devriez faire, vous-même, afin de devenir suffisamment fort pour le faire. Je recommande ce livre. Ou bien, si vous l'avez fait et que vous êtes quand même du côté de la vaccination, que vous recommandez quand même et que vous effectuez la vaccination, je dois malheureusement dire que vous êtes infiniment mauvais. Et vous commettez une infraction pénale. Tout comme tous ceux qui pratiquent et préconisent cette vaccination, activement ou passivement. Car il est aujourd'hui scientifiquement prouvé que la vaccination ne peut avoir que des effets négatifs, et ce dans des proportions qui mettent la vie en danger. Pour finir, le message positif. La découverte décisive sur l'ADN n'a été faite qu'il y a quelques mois. Avant cela, personne ne pouvait deviner que les lots de vaccins étaient contaminés par des chromosomes bactériens. C'est pourquoi, chers collègues médecins, vous pouvez encore vous sauver. Vous avez été trompés. Vous avez été abusés. Vous ne pouviez pas imaginer ce qui se passait. Mais maintenant, vous le savez. Et il est encore temps de revenir sur la voie d'Hippocrate. Ne prenez plus jamais en main une seringue avec un produit génétique. Sauf si vous êtes vraiment sûrs qu'elle ne contient pas d'ADN bactérien. Mettez un terme à cette OMS dédaigneuse. Dans le même contexte, politiciens du monde entier, tous partis confondus, vous aussi, vous pouvez vous sauver en refusant la dictature de la santé. Vous ne pouviez pas savoir tout cela. Vous aussi, vous avez été trompés et abusés. Vous aussi, vous pouvez encore vous sauver et sauver votre honneur. Sortez votre tête de l'ornière le plus vite possible. Bientôt, il sera trop tard. Car le monde commence à comprendre les manœuvres. Vous ne pourrez pas dire que l'appel au réveil ne vous a pas atteints. Agissez maintenant ensemble pour votre peuple. Décidez qu'aucune autre injection d'ARN ne doit être administrée tant que les questions vitales en suspens n'ont pas été résolues. Et sachez que tout contrat de vente fondé sur la fraude et la tromperie peut et doit être déclaré nul et non avenu. Les cinq derniers milliards de doses de vaccin. Ce contrat est nul et non avenu. Avec ou sans Mme van der Leyen. Exigez maintenant que les fabricants de ces produits frauduleux remboursent l'argent de votre peuple. Et faites parvenir ces milliards à votre propre peuple. En particulier aux victimes les plus pauvres de la vaccination et à leurs proches. Chers concitoyens, la division de notre société a creusé de profonds fossés. Retrouvons maintenant notre unité. Dites non à tous ceux qui sont devenus des marionnettes du pouvoir et de l'argent. Retrouvons maintenant notre unité. Dites oui à notre communauté solidaire, qui seule peut et doit reconstruire ce pays, comme en temps de crise auparavant. Donnons-nous la main et avançons maintenant vers un avenir meilleur en tant que nation unie. Mesdames et Messieurs, après l'ouverture du procès principal à mon encontre il y a un an, il m'est venu à l'esprit que je devais coucher sur le papier une explication de mes étranges actions. C'est ainsi qu'est née mon autobiographie, qui vous fait voyager à travers ma vie et donne le statut actuel du Covid en mars 2023. Le livre est paru presque exactement le jour du verdict, le 23 mai. Incroyable mais vrai. Le juge Dr. Grundmann du tribunal d'instance de Plön m'a acquitté devant Mme Füssinger, la procureure en charge de la plainte. Je cite les noms maintenant, car ils réapparaîtront. La joie s'est répandue non seulement en Allemagne, mais dans le monde entier. L'honneur de la justice allemande était sauvé, dans un premier temps. Eh bien, le livre était en fait destiné à être mon cadeau d'adieu pour vous. Ça n’était probablement pas nécessaire. Puis vint le mois de juillet et l'annonce que le parquet avait fait appel de l'acquittement. Au début de l'année prochaine, je serai donc probablement devant le tribunal de grande instance de Kiel. Je devais encore une fois devenir actif. Le livre est devenu un livre audio. Ce livre audio vient de sortir. Je crois que c'est aujourd'hui. Et la prochaine édition du livre est en préparation. Il y aura une mise à jour. De septembre 2023, une mise à jour sur le Covid. Elle contiendra également l'histoire de la contamination par l'ADN plasmidique, comme je l'ai racontée aujourd'hui. Et maintenant, time to say good bye. C'est délibérément que je ne dis pas au revoir. Non, je dois et je veux me retirer maintenant. Car j'ai dit et fait tout ce qui était en mon pouvoir. Et quand un scientifique a tout dit et tout fait, il doit s'arrêter. C'est pourquoi je vous dis adieu avec beaucoup de remerciements et portez-vous bien. Je vous souhaite à tous le meilleur. » Ivo Sasek : « Nous t'accordons ce repos, cher Sucharit, et nous prions pour toi afin que tu puisses trouver le repos, qu'on te laisse en paix. Tu nous as transmis, comme tu l'as dit, tout ce qui pouvait être transmis. Tu es une sommité, tu es un trésor en or, tu es un don de Dieu à cette humanité. Il faudrait que tu te répètes sans cesse. Nous avons bien compris. Et tu mérites d'avoir une retraite. Tu as partagé ta retraite avec nous jusqu'à maintenant. Je crois que tu as 78 ans. Sois vraiment béni en tout. Pour moi, je dirais, la composante technique de tes explications était, bien sûr, comme pour un planteur de pommes de terre entrant dans une conférence donnée par des médecins du plus haut niveau. Mais tu n'as pas parlé uniquement pour les profanes, mais aussi pour les professionnels. Nous l’emportons avec nous. Je sais aussi ce que je vais écouter dans ma voiture lors de mon prochain voyage. C'est le livre de ta vie, l'histoire de ta vie, ta biographie. Mais nous avons compris une chose, peu importe notre niveau, nous les profanes : le plus grand crime de tous les temps a été commis et continue de se commettre, à l'instigation des plus hautes sphères de la société. Et je dirais que nous t'avons invité donner une véritable expertise, pour notre test de résistance. Je crois que nous l'avons réussi. D'après tes déclarations, c'est ce que j'ai compris. Tu l'as dit avec tes propres mots, nous pouvons continuer. Et je promets devant le ciel et devant toi que nous continuerons. Nous garderons de toi le meilleur des souvenirs. Nous t'aimerons, nous prierons pour toi de toutes nos forces. Merci, cher et bien-aimé Sucharit Bhakti. Nous t'aimons, nous te serrons dans nos bras et nous te souhaitons toutes les bénédictions nécessaires. Au revoir ! »

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