„50 Voices of Ritual Abuse“ en version intégrale https://www.50voices.org/ La secte du sang – 27 victimes, 27 témoins (de Lois Sasek) www.kla.tv/24016 Secte du sang II - 111 victimes 50 témoins 50 coupables (de Lois Sasek) www.kla.tv/27305 REUPLOAD : Scandale SRF et Robin Rehmann – Satanic Panic (avec prise de position de Kla.TV sur les menaces de SRF) www.kla.tv/26446 Le scandale médiatique suisse n'est que la pointe de l'iceberg : dissimulation mondiale d'abus rituels sataniques www.kla.tv/26579 |
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30.04.2024 | www.kla.tv/28929
Parmi de très nombreux survivants, 50 personnes de différents pays ont rendu publique la violence rituelle qu'elles ont vécue. Explication : le thème de la violence rituelle satanique concerne les crimes les plus cruels commis par les membres de groupes occultes, souvent dans le cadre de cérémonies sataniques. Dans le monde entier, des milliers de survivants, de victimes, de témoins et de thérapeutes font état d'abus sexuels, de tortures et même de sacrifices rituels. Selon leurs dires, il s'agit de crimes commis par un cercle d'auteurs élitistes, bien organisés et disposant d'un bon réseau, qui savent bien se protéger. En collaboration avec les producteurs du projet "50 voix de violence rituelle", ces 50 survivants décrivent dans leurs vidéos leurs expériences très personnelles. Ces témoignages ont ainsi donné lieu à une dizaine d'heures de film. Dans cette émission, nous souhaitons donner un aperçu succinct de ces nombreux destins individuels et pourtant toujours similaires. Les rapports montrent que ces choses ne se limitent pas à des pays lointains. Au contraire, il est clair que ces actes de violence se produisent sur presque tous les continents. Même près de chez nous, ici en Allemagne, en Suisse et dans toute l'Europe. Nous avons marqué sur une carte du monde les lieux dont parlent les 50 témoins. Nombre d'entre eux n'ont pas été abusés rituellement ou soumis à des procédures cruelles de contrôle mental, à un seul endroit, mais ont été déplacés dans plusieurs pays. C'est pourquoi de nombreux noms de survivants apparaissent à plusieurs endroits sur cette carte. Rien qu'en observant cette carte du monde et ces noms, il est évident que les auteurs doivent souvent être dans des réseaux internationaux bien connectés. Il convient de préciser d'emblée que les brèves descriptions et énumérations qui suivent ne reprennent qu'une petite partie des choses que les victimes - les survivants de ces atrocités - ont dû subir selon leurs propres descriptions. Vous pouvez voir l'intégralité du contenu sur le site web "www.50voices.org". Le lien se trouve sous l'émission et dans le générique de fin. À quel âge les témoins ont-ils vécu ces abus ? La plupart des 50 témoins survivants de rituels sataniques et occultes ont subi le martyre très tôt. Beaucoup ont été abusés sexuellement alors qu'ils étaient encore bébés ou jeunes enfants. Pour ceux qui n'ont pas été abusés dès leur plus jeune âge, le recours permanent à la violence, à la torture, aux abus sexuels et à la manipulation, a commencé au plus tard à l'âge de huit ou neuf ans. La raison de cela : le dédoublement de la personnalité basé sur le traumatisme n'est possible qu'à un certain âge. C'est de cette manière que les enfants deviennent la prochaine génération d'agresseurs et sont conditionnés pour s'occuper des tâches spécifiques comme la prostitution enfantine. Qui a introduit les survivants dans les cercles d'abus ? Un très grand nombre de ces personnes sont nées directement dans des familles ou des clans de culte occulte, pédophile ou satanique. Dans ce contexte, il est plusieurs fois question de francs-maçons, comme par exemple chez Pia de Suisse. Carina, d'Allemagne, parle de membres de loges par l'intermédiaire desquels elle a été introduite dans les cercles de culte. Nessja témoigne que son père était sataniste. Rike Schwan, d'Allemagne, a également grandi dans une famille qui vénère le diable. Haze est également née en Allemagne dans une puissante famille de culte. Selon elle, les membres de sa famille étaient fiers de leur lignée. C'était tous des juges, des avocats, des officiers de police judiciaire, etc. Son grand-père était psychologue et sa grand-mère a même enseigné la psychologie à l'université. Plus tard, Haze a été envoyée en Grande-Bretagne et en Irlande. Le témoignage de Kaya est également un exemple parmi tant d'autres d’une enfance dans une famille de culte satanique : "Les deux côtés de ma famille sont de sang royal, en particulier celui de mon père, qui est anglais et assez haut dans la lignée royale. Je pense que c'est l'une des raisons pour lesquelles j'ai été choisie. Et ma famille a des liens politiques des deux côtés. Il y a donc de nombreuses possibilités sur la manière dont tout cela a commencé. Et je pense que cela remonte probablement à plusieurs générations." Anneke, de Belgique, parle d'un couple qui s'était rapproché de la famille. Ceux-ci l'ont ensuite amenée à un intermédiaire international pour les réseaux sataniques. Un témoin de la région de Francfort raconte qu'elle est entrée dans les cercles sataniques par l'intermédiaire de l'employeur de son père. Cet employeur était le chef d'une grande banque allemande. En Suisse, dans le cas du témoin Eva Frey, c’est des emplotés de l'hôpital de Lausanne où elle avait été admise qui l’ont initiée aux cercles sataniques. D'autres parlent de parents adoptifs, d'éducateurs ou de personnes travaillant dans l'enseignement, d'ecclésiastiques qui les ont initiés à des cultes sataniques. Glorification du satanisme ? Que se passe-t-il actuellement dans le monde ? Les survivants parlent souvent de cercles satanistes, de rituels sataniques, de familles de culte satanique dans lesquelles ils sont nés ou dans lesquelles ils ont été introduits. Dans ces cercles, les atrocités les plus abominables et les plus inimaginables sont commises, jusqu'aux sacrifices humains cruels. Et en ce moment même, partout dans le monde, on tente de présenter le satanisme comme fascinant et attrayant. Sur Internet, les offres de vêtements à motifs sataniques, d'accessoires occultes et de tatouages diaboliques pullulent. Des clips musicaux et des films montrent des scènes sataniques totalement abjectes et des rituels horribles à l’extrême, sans que ces vidéos soient censurées ou bloquées d'une quelconque manière. Dans nos parlements sont exposés des tableaux d'artistes extrêmement douteux comme deux de la Suédoise Lena Birgitta Cronqvist Tunström ou de Bernhard Prinz. Tous deux ne reculent pas devant la représentation de la violence rituelle dans leurs œuvres. Depuis des années les représentations aberrantes et perverses de "l'artiste de performance" serbe et sataniste de haut grade Marina Abramović sont également présentées comme de l'art par les médias. On pourrait dire, en minimisant les choses, que ce n'est que de l'art et de la mode, que ce ne sont que des vêtements, des images, des tatouages, des vidéos, etc. Mais les témoignages de 50 survivants de rituels occultes sataniques montrent ce qui se cache derrière l'idéologie satanique. C'est pourquoi nous ne cachons pas à notre public les atrocités subies par les victimes de "50 Voices". D'où notre avertissement : ces descriptions ne sont pas destinées aux personnes sensibles et surtout pas aux enfants et aux jeunes de moins de 18 ans ! Qu'ont dû subir les témoins eux-mêmes en tant que victimes ? Pour tous les témoins, il s'agissait avant tout d'abus sexuels, rituels, de viols, de menaces de mort et très souvent de torture. De nombreux témoins ont également été victimes de viols collectifs lors de grands rituels. Beaucoup d'autres, comme Chantal Frei de Suisse, Luna des États-Unis ou Nathalie d'Allemagne, racontent les horribles chasses aux enfants auxquelles ils ont survécu de justesse. Celles-ci étaient généralement organisées dans les forêts par des personnes appartenant à des cercles d'élite. David a été ballotté en Europe et a vécu de telles scènes de chasse dans des tunnels souterrains dans la région de Westminster. Il a été vendu à l'âge de quatre ans comme esclave sexuel et maltraité, notamment au Vatican. D'autres, comme Christine des États-Unis, ont dû servir d'esclaves sexuels à des prêtres pendant leur enfance. Asia Raine est également originaire des États-Unis et a été désignée comme "possession" d'un mormon de haut rang. Elle y a subi des cérémonies et des rituels extrêmement cruels, allant de l'abus sexuel à la noyade presque à mort. De même, Elisa E. désigne l'élite dirigeante des mormons comme étant les auteurs de ces actes. De nombreux enfants, comme Hajar et Thies des pays germanophones, Kaya des États-Unis, Erika de Suisse ou Rachel d'Australie, ont été utilisés pour des films pornographiques. Certaines ont été impliquées dans des expériences, ont été violées et mises enceintes - parfois sur des autels dans des églises et des châteaux - et elles ont dû mettre au monde leurs enfants sous la torture. Sarah et de nombreuses autres adolescentes ont été contraintes de travailler en Californie en tant que "maman-porteuse", c'est-à-dire, mettre au monde des bébés pour des sacrifices. Et elle a dû regarder son propre bébé être jeté dans un précipice. Diana, des États-Unis, raconte que des expériences de reproduction ont été faites sur elle. « Et j'ai été utilisée pour la technique de fécondation in vitro. J'ai servi de cobaye pour cela. J'ai été utilisée pour le projet du génome humain, pour ce genre d'expériences. Je me souviens avoir été transportée en avion à différents endroits. La zone 51, l'université de Stanford, la Forêt Noire en Allemagne et, comme je l'ai dit, l'abbaye de Westminster et l'institut Tavistock, les tunnels en dessous de Londres, en Angleterre. J'ai également donné naissance à des jumeaux dans le bâtiment Skull and Bones de l'université de Yale. Je me souviens aussi de plusieurs bases militaires souterraines sous Washington, DC." D'autres témoins ont été offerts ou "loués" à diverses personnes lorsqu'ils étaient enfants. C'est le cas par exemple de Hajar, qui a été mise à la disposition de sadiques et de satanistes par son père pédophile. Elke, originaire d'Allemagne, a également été "vendue" à un réseau pédophile. Jeannette Archer a été témoin de la façon dont des bébés et des enfants ont été découpés pour obtenir leur sang et leur chair. Elle a été forcée de manger des organes. Elle appelle cela un "scénario rituel typique". Isabelle, d'Allemagne, a été violée lors d'un rituel, allongée sur un autel, tandis qu'on la poignardait dans le dos et les épaules. Kaya, des États-Unis, raconte elle aussi avoir été violée sur des autels dans des châteaux. Au cours de tels rituels, elle a été mise enceinte et l'accouchement a été provoqué par la force avant la fin de la grossesse régulière. Kaya a ensuite été contrainte d'ôter la vie au nouveau-né. D'autres, comme Haze ou Katy Groves aux États-Unis, ont dû participer à des « snuff movies ». Les snuff-vidéos sont des enregistrements en direct de mises à mort, d'assassinats, de sacrifices humains ; dans ce cas, il s'agit principalement de films en direct d'infanticides. Katy Groves, nous aimerions le mentionner, est désormais réduite au silence, selon les producteurs de 50 Voices. Qu'ont vécu les survivants en tant qu'observateurs – où devaient-ils être présents ? Le témoin Anneke Lucas a vécu une expérience terrible dans le cadre de la réunion Bilderberg de 1972 en Belgique. Pendant qu'elle était violée, un autre enfant était égorgé dans la même pièce. De nombreux autres témoins ont également vu des enfants torturés, violés lors de rituels ou parfois tués de manière bestiale. Le témoin allemand Elisabeth Schäfer raconte comment un nouveau-né a été mutilé, pendu, battu, fouetté, plongé dans de l'eau chaude et scalpé avant de mourir. Christine, de Louisiane, au Canada, raconte le sacrifice d'un bébé au nom de Satan par un « Monseigneur » et un prêtre. Lily a été témoin d'atrocités dans des églises catholiques, des châteaux et des palais. Elle a assisté à l'ouverture du ventre de femmes enceintes et vivantes, à l'extraction de leur bébé, puis à leur éviscération. Dans les milieux ecclésiastiques notamment, Marie a dû assister à la torture cruelle d'enfants. Phillippa, de Nouvelle-Zélande, a dû assister à l'arrachage de la peau du corps de certaines personnes en guise de punition. Sue, de Californie, a assisté dans un camping à la mise à mort d'un enfant dans les flammes d’un bûcher. La plupart des 50 témoins ont dû assister au sacrifice d'autres enfants. Parfois, on leur arrachait le cœur ou d'autres organes alors qu'ils étaient encore vivants. Lors de ces rituels sataniques, le sang était bu et les organes mangés par les personnes présentes, généralement enveloppées dans des robes. On faisait également bouillir des enfants, la viande et les organes n’étaient consommés qu'ensuite. Un témoin, Max Lowen, originaire d'Italie, a assisté au sacrifice d'enfants dans une installation située en dessous du Vatican. Ils ont été découpés vivants et là aussi, les personnes présentes ont bu le sang des enfants et mangé leurs organes... "Les expériences auxquelles j'ai vraiment du mal à m’y faire maintenant [...], ce sont les soirées adrénochrome auxquelles j'ai dû participer et au cours desquelles ils ont littéralement brutalisé des bébés et de très, très jeunes enfants pour développer l'adrénaline dans leur sang. Et puis j'ai vu qu'ils tuaient ces enfants et ces bébés pour obtenir leur sang. Ils le buvaient ou les plus coriaces se l'injectaient. Et c'est une chose vraiment horrible à laquelle je dois faire face." Un témoin suisse, Svali, raconte qu'elle a dû renoncer à sa foi chrétienne : "Un jour, je suis entrée dans une pièce et tous ceux que j'aimais étaient accrochés à une croix. Ils m'ont dit qu'ils les tueraient un par un jusqu'à ce que je renie ma foi. J'ai alors vu six d'entre eux être torturés à mort sous mes yeux." Elle s’est ensuite sentie obligée de renoncer à sa foi pour sauver six autres êtres chers... Des choses ont-elles été faites sous l'influence de tiers par les témoins eux-mêmes ? Evelyn, de Suisse, a dû découper de la chair humaine dans la cuisine d'une église. Plusieurs témoins des États-Unis ont été formés à être des assassins sous l'influence de tiers. Le témoin Anneke de Belgique a été formée pour servir d'appât à des violeurs d'enfants. Les hommes ont ensuite été filmés en train d'abuser d'enfants afin de les rendre vulnérables au chantage. La plupart des jeunes enfants n'ont pas survécu aux rapports sexuels avec ces hommes. Karin, une Suissesse, raconte qu'elle a dû couper le pénis de 20 à 30 jeunes réfugiés vietnamiens avec la complicité initiale des agresseurs. Les autres détails de ce rituel satanique sont d'une telle cruauté inimaginable que nous ne voulons pas les décrire davantage ici. Les garçons sont tous morts par la suite. Doug, d'Australie, raconte comment, à l'âge de trois ans, il a dû tuer une fillette de son âge avec un couteau. L'un des agresseurs guidait sa main. Chantal Frei, de Suisse, a été forcée de tuer avec un pistolet une amie qui est ensuite morte dans d'atroces souffrances sous ses yeux. Son père, un homme de culte, l'a également forcée à tuer sa propre sœur. Dieu merci, celle-ci a survécu à des blessures très graves. Elisabeth Schäfer, originaire de Hesse, et Lily, également originaire de régions germanophones, ont dû assassiner des nouveau-nés. Laura, originaire de Bavière, a été contrainte, un pistolet sur la tempe, de tuer un bébé encore attaché à son cordon ombilical, - un meurtre rituel satanique, comme elle explique. Haze raconte : "Ils voulaient que je prenne un couteau et que je fasse du mal à l'un des enfants. Finalement, c'est mon grand-père qui m'a tenu les mains et a tué cet enfant." Mary Sparrow, des États-Unis, raconte quelque chose de similaire : "On m'a donné un couteau et on m'a dit que je devais aider à tuer le garçon. J'ai refusé alors ils m'ont dit : « Si tu n'obéis pas, nous continuerons à tuer des enfants comme ça jusqu'à ce que tu le fasses." "J'avais donc le sentiment que je devais aider, sinon d'autres enfants allaient mourir." Phillippa, de Nouvelle-Zélande, devait boire du sang sacrificiel et manger la viande cuite des victimes. Après le rituel, elle devait tout nettoyer parfaitement et enterrer les dépouilles sur le site du rituel. Nina, originaire de Suisse, a parfois dû aider à découper les cadavres des victimes de violences rituelles avant de les jeter dans des tonneaux remplis d'acide. Elle dit qu’ils possèdent tout un équipement avec lequel ils se débarrassent des enfants. Comment pousse-t-on des enfants à commettre des actes aussi horribles ? La plupart des survivants parlent d'abus et de violence dès le plus jeune âge. Il s'agit notamment de manipulation, de pressions psychologiques, de tortures telles que des chocs électriques et de simulacres de noyade, de passages à tabac et de violences, de menaces de mort, de viols, d'enfermement dans des cages - souvent sans manger ni boire pendant des jours. L'utilisation de drogues a également souvent été évoquée. Il existe encore un autre moyen d'amener les enfants à commettre des actes qu'ils ne feraient en fait jamais : les agresseurs exercent une pression énorme sur les enfants en les menaçant de faire violence aux animaux ou aux personnes qu'ils aiment. Cela va jusqu'à tuer leurs animaux préférés ou torturer cruellement et tuer des personnes proches si les enfants ne font pas ce que les agresseurs leur ordonnent. La faute est alors attribuée à l'enfant choisi selon la formule: "Si tu avais obéi, cette souffrance aurait été épargnée à cet enfant ou à cet animal." Et c’est répété autant de fois que nécessaire jusqu'à ce que l'enfant finisse par obéir. Allie Harrison, qui a elle-même subi des abus sexuels et des violences dès son plus jeune âge, résume ainsi les témoignages de nombreuses victimes avec lesquelles elle a travaillé : "Quand j'entends ces témoignages, l'une des choses les plus terribles pour moi est de réaliser que ces jeunes enfants sont en fait des victimes de la traite des êtres humains. Ils ont été violés par plusieurs adultes dans leur monde, par des adultes qu'ils aimaient et en qui ils avaient confiance. Je veux dire, c'étaient leurs seuls protecteurs, les gens qui étaient censés les protéger et les défendre étaient précisément ceux qui en ont profité et abusé." Dans quel contexte les actes ont-ils eu lieu ? De nombreux survivants citent régulièrement les installations ecclésiastiques - bâtiments administratifs, maison des novices, les églises elles-mêmes et les voûtes situées en dessous ainsi que les sacristies - comme lieux des crimes. Des bases militaires, parfois souterraines – par exemple la McDill Air Force Base - sont décrites comme des lieux de crime. Des hôpitaux comme à Lausanne ou par exemple l'hôpital de Valley Forge Army aux États-Unis, jouent toujours un rôle dans les rituels ou les tortures de contrôle mental. Des locaux situés sous des universités et des collèges aux États-Unis sont également mentionnés, tout comme des locaux situés sous la vieille ville de Soleure en Suisse. Aux États-Unis, en Nouvelle-Zélande et en Australie, de grands domaines isolés sont souvent décrits comme des scènes de crime. Gloria Masters décrit par exemple un grand domaine maçonnique à West Auckland, en Nouvelle-Zélande. "Ensuite, nous avons été emmenés dans la chambre principale. Et là, on nous allongeait selon un schéma rituel, comme une boussole avec des points dessus, et les chants commençaient. C'était un exemple typique pour moi. Cela arrivait très souvent, une fois par mois chez les francs-maçons. Et puis à d'autres moments de l'année, lors de certains événements qu'ils organisaient. C'était alors plutôt dans les régions rurales." En Europe, ce sont plutôt les châteaux forts et les châteaux qui sont régulièrement cités dans les témoignages. Le château de Wewelsburg et le château de Heidelberg sont souvent mentionnés. L'abbaye de Westminster et le réseau de tunnels qui se trouve en dessous sont également cités par plusieurs survivants. De même, une propriété de la couronne britannique joue manifestement un rôle plus important dans les rituels sataniques. Le Vatican et ses installations souterraines sont mentionnés à plusieurs reprises comme lieu du crime. Svali, Max Lowen et David y ont ainsi fait de terribles expériences. Les villas, les grandes maisons somptueuses ainsi que les pavillons de chasse isolés jouent également un rôle récurrent dans les descriptions faites par les survivants des cérémonies rituelles sataniques et des sacrifices. Venons-en aux agresseurs – qui sont-ils ? Outre les membres de la famille, les agresseurs sont pour la plupart des représentants de haut rang de l'Église, de la politique, de l'économie et des milieux académiques. Mais les témoignages font également très souvent référence à la haute noblesse, voire à la royauté. Des personnes sont nommées, du prêtre catholique à l'ancien directeur de Pro Familia, en passant par un archevêque et des évêques. Les mormons, les jésuites et l'Église catholique sont régulièrement mentionnés. Même des hauts fonctionnaires du Vatican figurent dans la liste des tueurs rituels. Le directeur d'une grande banque allemande est également désigné comme coupable, tout comme des personnes issues du monde du pétrole et des célébrités du monde de la musique et du cinéma. Rachel Vaughan, une survivante australienne, a désigné son propre père comme étant l'auteur du crime, franc-maçon et rosicrucien qui travaillait pour les services secrets australiens. Rachel explique ainsi pourquoi si peu de choses sont révélées, alors que beaucoup sont au courant de ces choses horribles : "Lors d'un rituel, un bébé a été assassiné puis mangé. Il y avait une cinquantaine d'adultes présents, et probablement environ neuf de nos enfants. Et les gens trouvent cela difficile à comprendre : Comment est-ce possible ? Il faudrait qu'il y ait une grande conspiration derrière tout ça pour que tous ces adultes gardent le silence. Eh bien, c'est un rituel qui les unit tous. Ils ont tous des informations les uns sur les autres. Ils ont ce matériel compromettant. [...] Les noms des personnes impliquées sont connus de tous. Des hommes d'affaires très haut placés, des juges, des médecins influents. Ils n'ont jamais eu à rendre de comptes." D'autres auteurs issus du monde politique sont cités : par exemple un ministre belge de la Défense, des vice-présidents et des diplomates américains, un Premier ministre de Grande-Bretagne ainsi que des hauts fonctionnaires du gouvernement, par exemple d'Irlande et de Nouvelle-Zélande. La reine a également été impliquée dans un meurtre rituel. Il est souvent fait état de réseaux mondiaux. Cela confirme le fait que les victimes sont souvent déplacées d'un pays à l'autre et ont subi les mêmes manipulations de contrôle mental. Les loges maçonniques, les rosicruciens et d'autres groupes occultes jouent très souvent un rôle important dans ce processus. "J'ai passé quelques nuits avec un baron. Et j'y ai survécu - par pur hasard, complètement par hasard. À l'âge de neuf ans, une situation très étrange m'a fait changer de position, pour ainsi dire. Quelqu'un du réseau mondial - jusque-là, j'avais été un enfant "jetable" dans le réseau belge - et le chef de ce réseau, ... , il était alors ministre de la Défense, m'a passé à un membre du réseau international. C'était dans le cadre de la réunion Bilderberg de 1972, j'avais neuf ans." Quel a été le pire pour les victimes ? Nous prenons deux exemples qui montrent que ces choses ont eu lieu et continuent d'avoir lieu dans les plus hautes sphères : "... l'autre chose la plus dure pour moi a été de voir comment les enfants étaient sacrifiés au Vatican. Les voir entrer et se faire ouvrir, et voir tous ces VIP dans la salle. Ils font ces rituels de sacrifice pour inviter des entités démoniaques à les habiter. (...) Et c'était pour moi... Voir le mal lui-même était quelque chose qui me hante encore aujourd'hui." "Boire du sang et manger la chair d'un autre être humain, c'était assez horrible. Enfin, pas assez horrible, mais vraiment horrible. Et l'odeur de la chair brûlée, je ne l'oublierai jamais. Ils ont aussi brûlé les corps. Et puis spécialement un événement où la reine a coupé la tête d'une fille. Elle avait le même âge que moi. Et puis de savoir que si je n'obéissais pas, si je ne participais pas, j'étais la prochaine." Conclusion : Bien qu'il y ait eu depuis des décennies de nombreux témoignages, comme dans le documentaire 50 Voix, on tente toujours par tous les moyens de garder ces crimes atroces sous silence. Les producteurs de "50 Voix" écrivent parfaitement à ce sujet : "En 2022/23 - des cercles de responsables de ces crimes ont à nouveau tenté, cette fois depuis la Suisse, de manipuler l'opinion publique et de décrédibiliser les victimes de ces crimes violents en utilisant la méthode “éprouvée” de la propagande panique satanique / faux souvenirs." Explication : La stratégie de la propagande "panique satanique" signifie que la globalité du sujet de la violence rituelle satanique est nié depuis des décennies déjà et qu'il est taxé d'alarmisme satanique ou d'hystérie. Avec la deuxième approche stratégique de la propagande des "faux souvenirs", on ne cesse également de propager depuis longtemps l'idée que les abus rituels sataniques n'existent pas. Les thérapeutes ne feraient que convaincre les patients qu'ils ont vécu de telles atrocités dans le cadre de rituels sataniques. Ces milieux n'expliquent pas pourquoi les thérapeutes du monde entier devraient agir de la sorte. [https://www.kla.tv/26579 Le scandale médiatique suisse n'est que la pointe de l'iceberg] Actuellement, une nouvelle vague de propagande médiatique déferle, également à partir de la Suisse, et cette fois encore avec une approche différente : divers médias suisses et allemands parlent de plus en plus du groupe des Citoyens du Reich, dont les membres auraient tenté de renverser le gouvernement allemand. Ces personnes subversives auraient pour cela imaginé des théories du complot scabreuses afin d'inciter la population à renverser le gouvernement : Les médias qualifient de « théories absurdes » les rapports sur les tunnels souterrains dans lesquels des enfants auraient été abusés en masse par des cercles élitistes. Ici, la thématique de la violence rituelle satanique est associée, au-delà du ridicule, à un mouvement lié à des projets de renversement du gouvernement. [www.kla.tv/28859 Réseaux élitistes pédophiles] Parallèlement à la propagande médiatique insistante, le satanisme est introduit de manière agressive dans la société comme une tendance à la mode. Le satanisme est considéré comme branché et tendance, fascinant et inoffensif. Mais les témoignages des survivants entendus dans le documentaire "50 voix de violence rituelle" ne sont pas les seuls à prouver que le satanisme est tout sauf inoffensif. Rien que dans deux films documentaires, Loïs Sasek a donné la parole à 137 victimes et 77 témoins. Les survivants ont en outre nommé 50 agresseurs. Si la société ne réalise pas sous peu que derrière la façade polie de l'idéologie satanique se cachent une violence inimaginable, des perversions et des excès cruels, les conséquences seront très probablement fatales. Enfin, selon les témoignages de survivants, les cercles sataniques influents poursuivent un plan à long terme qui nous concerne tous et menace notre liberté... Ainsi, par exemple, le fondateur de l'église satanique et franc-maçon du 33e degré Albert Pike, en tant que "général de brigade" et "grand commandant" de l'armée suprême, a planifié et ordonné la première et la deuxième guerre mondiale il y a 145 ans déjà. Les objectifs des deux premières guerres mondiales ont déjà été atteints avec précision. La première devait détruire le pouvoir du tsar en Russie afin de transformer ce pays en une forteresse du communisme athée. La Seconde Guerre mondiale permettrait d'établir des différences entre les fascistes et les sionistes afin de détruire le nazisme (c'est-à-dire les nazis) et de renforcer le sionisme politique. "L'objectif de la Seconde Guerre mondiale serait la création d'un État d'Israël". Et ce sataniste a également annoncé une troisième guerre mondiale. "Une Troisième Guerre mondiale doit être déclenchée entre les sionistes politiques et les Palestiniens, c’est-à-dire les dirigeants du monde islamique...". L'influent sataniste Aleister Crowley l'exprime ainsi à la page 88 du quatrième volume de sa série de livres "La magie en théorie et en pratique" : "La planète entière doit être baignée dans le sang. Cette grande guerre doit être menée, car il s'agit d'une opération magique de la plus haute importance..." Dans le même livre, le sataniste écrit, à la page 87 : "Le sacrifice de sang a toujours été la partie la plus médiatisée de la magie. [...] Pour obtenir le plus grand bénéfice spirituel, il faut donc choisir un sacrifice qui possède la force la plus grande et la plus pure. Un enfant mâle d'une innocence parfaite et d'une grande intelligence est la victime la plus satisfaisante et la plus appropriée. [...] Pour presque tous les buts, le sacrifice humain est le meilleur. " Kla.tv lance un appel urgent à prendre au sérieux les témoignages de "50 voix de violence rituelle" et nos documentaires, et à ne pas se laisser prendre au piège de la propagande sataniste. Diffusez ces émissions et ces documentaires auprès de vos amis, de vos connaissances et de vos proches, afin qu'un large réveil de toute la population puisse mettre un terme à cette folie. Pour finir, nous souhaitons donner du courage à toutes les personnes concernées, voire aux survivants de la violence rituelle satanique et à toutes les victimes d'abus. Le courage de partager leurs expériences avec des personnes qui les écoutent et les prennent au sérieux et volontiers aussi avec notre rédaction.
de mwi.
https://www.youtube.com/@50voixdeviolencerituelle/videos
Lettre de Pike https://unwiderlegbarefakt.wixsite.com/wahrheitsiegt/post/ein-brief-von-albert-pike-aus-dem-jahr-1871-enth%C3%BCllt-den-plan-der-illuminaten-f%C3%BCr-den-3-weltkrieg
Eglise de Satan https://de.wikipedia.org/wiki/Church_of_Satan
https://www1.wdr.de/stichtag/stichtag-church-of-satan-100.html
Fête satanique https://www.xn--stverstuuv-fcb.de/satanischer-kalender.php
Mode satanique https://www.etsy.com/de/market/satanic_shop?ref=pagination&page=2
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