REUPLOAD : Scandale SRF et Robin Rehmann – Satanic Panic (avec prise de position de Kla.TV sur les menaces de SRF)

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01.07.2023 | www.kla.tv/26446

Visiblement, Kla.TV touche de plus en plus le cœur du problème avec ses émissions bien documentées et révélatrices. En effet, quelques heures seulement après la diffusion de l'émission intitulée « Satanic panic : scandale autour de la chaîne SRF et de Robin Rehmann », Kla.TV a reçu une lettre de menace du service juridique de SRF. Dans cet e-mail, reçu par Kla.TV le dimanche 18 juin après-midi peu avant 16h00, la directrice adjointe du service juridique de SRF exigeait que Kla.TV retire l'émission de la page principale et de toutes les autres plates-formes avant 18h00 ce dimanche-là. SRF a-t-elle peur que d'autres faits soient révélés, pour réagir avec une telle panique ? Dès que SRF a réagi, la désignation satanique de l'ami Facebook de Rehmann a disparu sur le site web de la communauté sataniste en question. Ce « Francis Dollarhyde » n'est soudain plus un grand prêtre sataniste, mais un simple « PDG ». Heureusement, il existe de bonnes archives web, ce qui permet de suivre avec précision tout ce qui s'est passé sur le web pendant ce court laps de temps après la diffusion de l'émission de Kla.TV intitulée Satanic panic : scandale autour de la chaîne SRF et de Robin Rehmann. Il s'avère une fois de plus que Kla.TV sauvegarde ses sources bien documentées de manière professionnelle, ce qui en vaut la peine ! A propos : sauvegardez immédiatement cette émission sur votre ordinateur et veillez à ce qu'elle soit téléchargée le plus rapidement possible sur autant de chaînes indépendantes que possible. En effet, comme nos téléspectateurs de Kla.TV l'ont sans doute remarqué, l'émission en question a été retirée de notre site Internet le mardi 20 juin à 18 heures, après un nouvel ultimatum du service juridique de SRF. Maintenant que notre service juridique a méticuleusement vérifié toutes les menaces proférées par SRF et que l'auteure de l'émission a répondu aux accusations, Kla.TV rediffuse cette émission dans son intégralité. Les faits mentionnés dans cette émission sont très importants et fondés, de sorte qu'ils ne doivent en aucun cas être dissimulés à la population. Selon la directive 10.5 du code des journalistes, il est en outre de notre devoir journalistique de publier les menaces proférées par SRF à l'encontre de Kla.TV. Je cite : « Les journalistes défendent la liberté d'information en cas d'atteinte effective ou de menace d'atteinte par des intérêts privés (...). Les menaces ou les boycotts doivent en principe être rendus publics. » Le public doit savoir comment Kla.TV est menacé par SRF suite à cette émission de révélation. C'est pourquoi nous publions également la lettre de menace du service juridique de SRF et les réponses de l'auteure de Kla.TV, Loïs Sasek, à la suite de l'émission. Soyez témoin des accusations infondées de SRF et écoutez comment Kla.TV les réfute et donne ainsi beaucoup plus de poids au documentaire. Aidez-nous à dénoncer cette injustice - en informant le plus grand nombre possible de connaissances sur le scandale de SRF et en diffusant largement cette émission. Continuez également à faire des recherches pour votre propre compte, afin que ce réseau de criminels ne puisse plus se protéger mutuellement. Au début de cette année 2023, la chaîne de télévision suisse SRF a diffusé la sixième partie d'une série intitulée « Satanic Panic ». Le journaliste de SRF Robin Rehmann y conteste l'existence d'une secte satanique pratiquant des abus rituels sur les enfants. Robin Rehmann : « Ce n'est pas possible ! … une absurdité totale ! » Selon Rehmann, toutes les victimes, les témoins, les policiers et les thérapeutes ont été victimes d'une « théorie du complot » ou ont été « convaincus » par des thérapeutes. Dans cette émission, Kla.TV, examine les antécédents du journaliste de « Satanic Panic », Robin Rehmann, avec qui il est en relation et quel objectif il poursuit pour le compte de SRF. Kla.TV a reçu un grand nombre d'images sur lesquelles le journaliste de la SRF Robin Rehmann se montre, par exemple sur son canal Facebook, maquillé en créature diabolique. Avec son groupe « Krank », il chante des paroles de violence et des obscénités, à tue-tête et parfois couvert de sang. Robin Rehmann « chante » : « …Ont toujours été des victimes, peuvent bien comprendre les coupables ! » // « Un sourire sur le visage quand la bombe explose !!! » // Rehmann se montre volontiers avec un symbole de Baphomet, un symbole utilisé surtout par les adorateurs de Satan ou les membres de sectes sataniques. Sur les photos, il tire la langue entre ses doigts écartés et pose entre autres avec un pénis d’un mètre de long. Le fait que le journaliste de la SRF se présente publiquement de manière aussi scandaleuse inspire-t-il la confiance dans le journalisme ? Et comment interpréter le fait que Robin Rehmann porte un T-shirt avec une tête de mort dans son émission SRF « Satanic Panic » ? Dans ce contexte, quelle est la crédibilité de sa négation véhémente de l'existence d'un culte satanique commettant des abus rituels est-il crédible ? Qui EST vraiment ce journaliste de SRF, Robin Rehmann ? Après l’émission de Kla.TV sur 27 victimes et 27 témoins de violence rituelle satanique, Kla.TV a reçu une réponse à cette question. Hajar, une autre victime de violence rituelle, a contacté Kla.TV. Hajar a déjà donné plusieurs interviews à des chaînes de télévision indépendantes sur toutes les atrocités rituelles sataniques qu'elle a dû subir depuis son plus jeune âge. Elle y apparaissait courageusement montrant son visage et son nom. Suite à cela, une journaliste d'une chaîne du nord de l'Allemagne a tourné une longue interview avec elle. Hajar : « En fait, j'ai dû me rendre jusqu'à Berlin pour l'interview. Elle était déjà prête à être diffusée. Les téléspectateurs et les abonnés de cette chaîne, cette très grande chaîne, pouvaient aussi poser des questions et j'ai enfin pu parler de mon enfance et de ce qui m'était arrivé. Robin Rehmann est alors intervenu, en son nom. La chaîne m'a assuré que c'était vraiment très inhabituel, y compris ce qu'il leur reprochait dans cette lettre. Ils m'ont répondu que c'était trop risqué de publier mon interview, qu'ils me croyaient quand même mais qu'ils devaient malheureusement me décommander et que l'interview ne serait finalement pas diffusée. Il me semble que c'est arrivé une seule fois chez eux, et justement sur ce thème, qui est en fait très important. J'ai trouvé ça très grave. En fait, je ne le connaissais pas du tout, ce Robin. » Attendez, Robin Rehmann, c'est bien ce journaliste apparemment insignifiant de la télévision suisse ! Qu'est-ce qu'il vient faire dans le nord de l'Allemagne et comment se fait-il qu'il réussisse à demander l'arrêt de cette émission ? N'est-il peut-être pas aussi insignifiant qu'il y paraît ? Comment se fait-il qu'il ait autant d'influence, surtout si on considère que Rehmann, selon son profil officiel LinkedIn, n'a même pas une solide formation de journaliste à son actif ? Le parquet et la police ont même ensuite été envoyés aux trousses d’Hajar, la victime déshonorée, vraisemblablement pour lui faire peur et faire pression sur elle. Il est intéressant de noter que le parquet a été activé par le journaliste allemand Bernd Harder, sur lequel nous reviendrons dans un instant. Hajar a d'ailleurs fait la même expérience une autre fois avec une autre chaîne publique : alors que la direction avait déjà donné son accord pour la production d'un documentaire sur sa terrible histoire, la cheffe du chef est soudain intervenue et a empêché la diffusion déjà prévue. C'est exactement ce qui est arrivé à Anneke Lucas, la victime belge de violences rituelles, et à de nombreuses autres victimes d'abus. Revenons au journaliste de SRF Robin Rehmann : dans quelle mesure son déni véhément d'un culte satanique commettant des abus rituels est-il crédible ? Sur Facebook, la liste officielle des amis de Rehmann comprend un grand prêtre satanique (!). Il est indiqué comme étant le grand prêtre sur le site officiel de cette association sataniste. Lors de ses apparitions publiques sur Internet, il ne montre jamais son visage et cache sa véritable identité derrière un pseudonyme. Cet ami Facebook de Rehmann utilise un pseudonyme qui est, de manière significative, le nom d'un cruel tueur en série : Francis Dolarhyde. Il s'agit d'un personnage de film qui tue brutalement ses victimes la nuit, en leur ouvrant la gorge, en y enfonçant ses dents acérées, en les étouffant à mort et en faisant d'autres choses que nous ne voulons pas mentionner ici. Kla.TV dispose d'images dans lesquelles Dollarhyde, ce grand prêtre satanique, pose très officiellement avec des masques sataniques inquiétants et des crocs diaboliques. Sur l'une de ces horribles photos, sous le titre « Our GodReigns » en français « Notre Dieu règne », il est assis en diable cornu entre deux personnages sataniques masqués tenant des bébés poupées dans leurs mains. Juste à côté de la poupée de droite, on peut lire sur le T-shirt l'inscription « black blood », c'est-à-dire sang noir. Sur le canal YouTube de cette communautésatanique, on trouve en outre une vidéo intitulée « Cave d’adrénochrome ». Qu'est-ce que l'adrénochrome ? Selon des témoignages, le sang d'enfants torturés est bu comme une drogue enivrante, enrichi d'adrénochrome en raison des souffrances endurées. Dans la vidéo « Cave d’adrénochrome », on voit des couloirs souterrains qui mènent à une cave lugubre avec des bougies, sur fond de musique menaçante. Des croix sont brûlées. Dans les publications de la communauté satanique, Jésus est condamné comme belliciste et instigateur de meurtres de masse. Ce grand prêtre satanique, Francis Dollarhyde, dispose d'un bon réseau et connaît notamment une activiste allemande qui donne depuis des années des conférences dans lesquelles elle nie l'existence des abus rituels sataniques. Il s'agit de la psychologue criminologue Lydia Benecke. Dans l'une de ses manifestations, Francis Dollarhyde intervient en tant qu'« expert » – comme toujours masqué. La psychologue criminologue Benecke, qui fait figure de proue dans le milieu, défend avec véhémence le point de vue selon lequel les abus rituels sataniques sont une théorie du complot et que le satanisme n'est qu'une « philosophie de vie inoffensive ». Parmi ses publications, on trouve toutefois des livres tels que : « Sadiques : Amour mortel – Histoires de la vraie vie » et « Vampires parmi nous ! » Dans la publicité du livre, Benecke promet au lecteur que de véritables vampires prendront également la parole... Et c'est justement elle qui figure aussi sur la liste d'amis du journaliste de SRF Robin Rehmann et qui, bien entendu, ne peut manquer d'intervenir en tant qu'« experte » dans sa série de SRF « Satanic Panic ». Lors de son interview, elle porte de manière provocante un collier avec le symbole du crâne de corbeau, qui joue un rôle central dans la sorcellerie et le vaudou. A ce sujet, cela vaut la peine de savoir que le petit collier en forme de croix d'une présentatrice de télévision a été banni de SRF au motif que la chaîne considère que les « symboles religieux » ne sont pas appropriés. La psychologue Lydia Benecke pose en public aux côtés du journaliste Bernd Harder devant une photo sur laquelle une femme nue est découpée en morceaux. Cela donne l'impression d'une orgie cannibale. Le cannibalisme est une composante importante du satanisme, des centaines de témoins et de victimes d'abus décrivent de manière crédible des rituels cannibales. Pourquoi ces personnes, qui nient les tortures et les mises à mort rituelles sataniques, posent-elles devant des images montrant des pratiques déviantes comme le cannibalisme ? Revenons aux contacts douteux de Rehmann. Dans sa série d'émissions « Satanic Panic », il a interviewé un « témoin » qui a affirmé dans l'émission de SRF que son psychiatre avait toujours voulu lui faire croire à des abus rituels sataniques. Ce « témoin » insiste sur ce point dans l'émission, sans aucune preuve ! Or, ce témoin a justement écrit un livre intitulé « Le dictionnaire de Belzébuth ». « Belzébuth » est un autre terme pour « diable ». Quelle est la crédibilité d'un tel témoin ? Alors que la télévision suisse, financée de force, ridiculise les appels à l'aide de centaines de victimes et réduit au silence les témoins importants, la même SRF calomnie méchamment Kla.TV et le fondateur de l'OCG Ivo Sasek. C'est également SRF qui, il y a de nombreuses années, a déclenché une persécution à grande échelle contre lui ! Le même schéma se retrouve partout dans le monde : des mouvements de vérité sincères sont discriminés et une secte satanique qui a été décrite 1 000 fois est minimisée. Aidez-nous à démasquer les sombres ramifications de notre presse mainstream et donnez une voix aux victimes ! Regardez le documentaire qui suit « La secte du sang – 27 victimes, 27 témoins » et partagez-le avec vos amis et connaissances. Car les médias mainstream ne le font pas. Ils étouffent, passent sous silence, minimisent et ridiculisent les victimes. Nous devons aux victimes et à notre dignité humaine que la vérité soit révélée et que ces crimes soient punis. Prise de position de l'auteure de « Scandale autour de SRF et de Robin Rehmann » sur la lettre de Barbara Lehmann, du service juridique de SRF Service juridique de SRF : Nous vous remercions pour votre réaction dans l'affaire susmentionnée. Il est étonnant qu'une personne compétente en droit n'ait pas constaté d'infractions. Réponse de l'auteure : Nous sommes extrêmement surpris par les prétendues "infractions" que vous dites avoir constatées dans notre émission. Alors que votre doigt est pointé vers nous, tous vos autres doigts sont pointés vers vous. Service juridique de SRF : C'est avec plaisir que je vous explique brièvement quelques points pertinents du point de vue du droit et de l'éthique des médias : • Dans l'article, il est dit que les médias mainstream couvrent, taisent et minimisent les faits et ridiculisent les victimes. Parmi eux, Kla.tv compte également SRF et montre le journaliste Robin Rehmann en image. Cette déclaration est fausse et constitue une atteinte à la personnalité et à l'honneur. Réponse de l'auteure : SRF dissimule, cache et minimise les abus rituels sataniques à tout point de vue et à toute occasion. Les victimes ne sont même pas écoutées. Je ne citerai que trois exemples dans lesquels Robin Rehmann ridiculise les victimes sur SRF : La fille de Gabriela Hagger a raconté que son père et sa mère (donc Gabriela Hagger) sacrifiaient des enfants dans les cimetières, qu'ils leur coupaient les mains et la tête et pratiquaient le cannibalisme. SRF ne donne pas la parole à cette victime, ne va même pas la trouver, mais se rend directement au domicile de la coupable présumée et se moque avec elle de la manière dont on peut croire de telles choses .Toutefois, à la fin, on ne connaît même pas le nom de la victime pour faire soi-même des recherches d'investigation sur ce cas. Mais le chien de Gabriela Hagger est présenté aux téléspectateurs de SRF par son nom, il s'appelle Merlin. Le personnage « Merlin » est d'ailleurs un magicien connu, dont la tradition transmet qu'il est le fils du diable. Un être mauvais par nature qui était venu au monde pour faire du mal. Le journaliste de SRF Rehmann fait donc plus attention au chien de Gabriela Hagger qu'à sa fille, qui semble extrêmement désespérée, au point que, selon SRF, elle a cherché de l'aide auprès du service de traumatologie de la clinique Littenheid. Le téléspectateur ne voit pas cette fille qui se plaint. La victime a donc été ridiculisée à la télévision publique SRF. SRF a-t-elle vraiment pensé que Gabriela Hagger allait dire à la caméra : « Oh, oui ! Avec mon mari, je coupe les mains et les têtes des bébés – heureusement que vous êtes justement là avec la caméra, ça me permet enfin de l’avouer. » Si une jeune fille fait une telle déclaration sur ses parents et que de nombreux membres de son entourage direct la croient et la protègent, il faut IMPÉRATIVEMENT en tenir compte. En effet, il existe dans le monde entier 1 000 témoignages de ce type concernant des rituels satanistes de mutilation au cours desquels des membres sont coupés, du sang humain est bu et de la chair humaine est mangée. Robin Rehmann, en tant que journaliste de SRF, dit littéralement : « ... la superstructure du satanisme, selon laquelle, dans la clandestinité, l'élite tirerait les ficelles, qu'on abuserait des enfants et qu'on boirait du sang. CELA n'existe pas. » ...Rehmann poursuit : « Il s'agit du narratif conspirationniste selon lequel une élite torture des enfants dans la clandestinité et doit les programmer de manière à ce qu'on puisse toujours les abuser de nouveau et que le tout ne soit jamais révélé. Une absurdité totale. » Un journaliste devrait exposer des faits et laisser au téléspectateur la tâche de décider si cela pourrait exister ou non. Robin Rehmann se charge de cette tâche pour le téléspectateur et ridiculise ainsi toutes les victimes qui font de telles déclarations. Il en va de même dans la vidéo "Satanic Panic 3". SRF présente toutes les victimes d'abus rituels sataniques comme non crédibles, Robin Rehmann se moquant de ces victimes dans les termes suivants, je cite : « Youtube est plein de femmes qui disent avoir vécu des abus rituels sataniques et avoir dû tuer des enfants, parfois aussi manger des cœurs - donc vraiment complètement fou. » Dans ce contexte, les victimes Hajar et Chantal Frei ont été montrées directement à l'image. Service juridique de la SRF : Ni l'émission « Satanic Panic » ni aucune autre publication de SRF ne couvrent ou ne passent sous silence des faits. Les victimes ne sont surtout pas ridiculisées. L'enquête "Satanic Panic" critique le concept de violence rituelle et contrôle mental ainsi qu'une forme de thérapie pour personnes psychiquement instables, basée sur de nombreuses spéculations. SRF montre que les rapports d'enquête ordonnés par les cantons de Thurgovie et de Berne concernant le service de traumatologie de Littenheid et le centre psychiatrique de Münsingen confirment les recherches de « rec ». Les deux rapports indiquent que le narratif conspirationniste de la violence rituelle et du contrôle mental a été intégré dans le traitement de plusieurs malades psychiques. Réponse de l'auteure : Je vous cite : « ... Le narratif conspirationniste de la violence rituelle / du contrôle mental... » SRF, Robin Rehmann et vous aussi, chère avocate Barbara Lehmann, ne mentionnez toujours la violence rituelle que dans un seul souffle avec le « narratif conspirationniste ». Toutes les victimes et tous les témoins du monde entier qui font état de violences rituelles et de contrôle mental, vous les poussez ainsi dans le coin du narratif conspirationniste. C'est un scandale journalistique. Vous avez enfreint le code d'honneur journalistique. Vous n'écoutez plus, vos journalistes ont des opinions fixes et font de la propagande sur ce qui ne DOIT pas exister et ce qui ne PEUT pas exister ! Ils n'écoutent plus ce dont les gens témoignent partout. Vous n'avez pas pris au sérieux la psychothérapeute Regula Schwager, vous avez fait croire qu’on ne pouvait pas prendre au sérieux l'enseignant du secondaire Daniel Vuilliomenet, tout comme l'enseignante du primaire Marianne Lander. Les deux enseignants ont été licenciés suite à la diffusion du documentaire de SRF et leur réputation a été diffamée dans toute la presse, notamment en tant que « professeurs sataniques ». Vous avez trahi de la plus grande manière possible le président de l'association CARA, Fritz Bamert, et vous avez fait semblant d'être aimable. Est-ce conforme à l'honneur journalistique ? SRF a également traité Thomas Werner de manière très désobligeante et a ainsi déclenché une chasse médiatique contre lui aussi. Il est tout de même le responsable des enquêtes sur la protection des enfants de la police municipale de Zurich et témoigne de choses effrayantes. Le journaliste de SRF Rehmann le met à mal de manière dégradante et compare les dénonciations d'atrocités d'abus rituels à l'atterrissage d'extraterrestres dans le jardin. Le présentateur de SRF montre même une grande incompréhension quant au fait que cet enquêteur poursuive même de telles dénonciations d'abus rituels. Et le service juridique de SRF protège ce journaliste qui s'élève ainsi au-dessus du service d'enquête expérimenté de la police et suggère ainsi qu'on ne devrait même pas enquêter sur de telles informations déconcertantes ?! C'est pourtant le devoir d'un policier d'enquêter. De plus, Robin Rehmann se moque de l'affirmation selon laquelle les enquêteurs sont souvent aussi des complices. Vous avez également traité la fondatrice de l'association CARA, Ruth Mauz, qui, à son âge, a acquis une très riche expérience dans ce domaine, de manière très déshonorante, puisque Robin Rehmann s'est fait passer pour un reporter compréhensif, mais l'a ensuite trompée et mise à nu. Le médecin-chef Matthias Kollmann de la clinique Littenheid a été ridiculisé par le journaliste de SRF devant la caméra. Robin Rehmann n'a absolument pas pris au sérieux les déclarations bouleversantes de ce médecin-chef. Après ce reportage sournois, Matthias Kollmann a été mis à pied, puis licencié. Je cite Matthias Kollmann : Citation de « Satanic Panic 1 » à partir de la minute 25. (https://www.youtube.com/watch?v=dF7XJ5OZn44&t=1495s) - Robin Rehmann : « Il y a donc des abus rituels organisés, sataniques ? » - Le médecin-chef Matthias Kollmann : « Oui, oui. Mon plus grand enseignant n'est pas un livre ou un congrès, mais ce sont les personnes concernées qui sont mon plus grand enseignant. Je suis en contact avec de très nombreux thérapeutes, y compris au niveau international. Il est frappant de constater que ces descriptions vont absolument de pair. Ce sont des structures organisées qui savent très bien ce qu'elles font ». - Robin Rehmann : « Que font-ils ? Qu'est-ce qui se passe ? Pour que l'on puisse se l'imaginer. » - Le médecin-chef Matthias Kollmann : « Comme vous voulez aussi diffuser cela, je dois être un peu prudent. Il y a des actes de violence inimaginables avec des violences physiques, des blessures corporelles avec tous les instruments imaginables. Tout ce que nous connaissons du Troisième Reich comme méthodes de torture dans les camps de concentration y est utilisé. C'est comme un monde parallèle qui sait extrêmement bien se protéger, de sorte qu'il est très, très difficile de mettre la main sur ces personnes. » - Robin Rehmann : « On parle de sacrifices humains. » - Le médecin-chef Matthias Kollmann : « Oui » - Robin Rehmann : « Boire du sang, j'en ai aussi entendu parler. » - Le médecin-chef Matthias Kollmann : « Donc vraiment toutes les atrocités que les hommes peuvent inventer y ont lieu. » Réponse de l'auteure : Matthias Kollmann est un témoin important en première ligne, en contact avec ces victimes et disposant d'un réseau international. Selon les déclarations de SRF, il serait le thérapeute de la fille de Gabriela Hagger. Dans la colonne de commentaires de votre documentaire SRF, une victime se plaint de ma-nière déchirante d'avoir perdu son thérapeute. Ces victimes sont désormais seules. Est-ce là ce que vous vouliez obtenir avec ce documentaire ? Il y a LONGTEMPS que vous ne remplissez plus votre devoir de journaliste, pour lequel chaque Suisse vous finance par obligation ! Je n'ai jamais vu autant de critiques de téléspectateurs sous une émission que sous le documentaire de SRF sur Satanic Panic. Des centaines de téléspectateurs indi-gnés se défoulent et expriment leur indignation face à l'opinion préfabriquée du journaliste. Ils savent très bien à quel point cette série d'émissions a suscité l'indignation du peuple. Après la diffusion, plusieurs personnes apparaissant dans le reportage ont mis en accusation auprès de Fairmedia les méthodes journalistiques peu scrupuleuses. Elles ont eu le sentiment d'avoir été trompées par le journaliste. Le centre de conseil et d'information pour les enfants victimes d'exploitation sexuelle CASTAGNA, que l'on voit en la personne de Regula Schwager dans le documentaire de SRF, critique publiquement la démarche déloyale de SRF. C'est à vous de dévoiler ces crimes. C'est votre mission, celle pour laquelle nous vous payons. Les gens ne sont plus satisfaits de vous depuis longtemps. (Je vous joins en annexe le lien vers les 162 pages A4 de critiques de téléspectateurs) Il ne s'agit que d'une partie des réactions négatives que j'ai copiées parmi la multitude. C'est une lecture importante pour vous et pour chaque employé de SRF. Chacun d'entre eux devrait au moins lire ces 162 pages de réactions de téléspectateurs. C'est la voix de la population. En voici un petit échantillon : « Ce présentateur est une catastrophe, intolérable , et c'est le genre de personne que je finance avec la redevance obligatoire . » « C'est incroyable que je paie la redevance pour une telle émission. Un scandale ! » Oui, rappelez-vous toujours en lisant : Ce sont les gens qui financent votre vie. Ce serait déjà assez grave si vous aviez continué à garder le silence sur tous ces crimes et si vous nous aviez laissé le travail de clarification à nous, les médias libres et bé-névoles comme Kla.TV. Mais vous essayez même de rendre impossible l'information à ce sujet, en éliminant des lanceurs d’alerte de première ligne aussi précieux que Matthias Kollmann et en ruinant leur réputation. Je vous recommande de le faire : Laissez enfin les victimes parler et mettez-vous à leur place. Si vous ne voulez vraiment pas étouffer et minimiser les faits, diffusez l'émission en entier sur les 27 victimes et 27 témoins de la secte du sang sur SRF (www.kla.tv/26203). Cette documentation est basée sur un travail de recherche de 10 ans. Mais cela aurait été VOTRE tâche et nous le faisons pendant notre temps libre et à titre bénévole. Une chose est sûre : que ce soit avec ou sans vous, la lu-mière sera faite sur les horreurs qui se déroulent ici en sous-sol - même si vous con-tinuez à essayer de mettre un couvercle dessus. Mais ce n'est plus possible. Service juridique de SRF : Dans les publications en question, il est toujours clairement spécifié qu'il existe des abus sexuels, du crime organisé et des personnes gravement traumatisées. Réponse de l'auteure : Pourtant, à chaque fois que l'occasion se présente, vous affirmez que toutes les déclarations des témoins sont fausses, à savoir qu'il existe un réseau bien organisé de personnes influentes et élitistes qui ont beaucoup d'argent et savent bien se protéger... Vous niez en bloc des actes honteux tels que « boire du sang » et « faire des sacrifices humains », bien que les satanistes reconnaissent ouvertement qu'ils font des "sacrifices de sang". Le célèbre sataniste Aleister Crowley écrit dans son livre « Magie en théorie et pratique », volume 4, page 87 : « Le sacrifice du sang a toujours été la partie la plus remarquée de la magie. [...] Pour obtenir le plus grand bénéfice spirituel, il faut donc choisir un sacrifice qui possède la force la plus grande et la plus pure. Un enfant masculin d'une innocence parfaite et d'une grande intelligence est la victime la plus satisfaisante et la plus appropriée. [...] Pour presque tous les buts, le sacrifice humain est le meilleur ». Service juridique de SRF : • Vous parlez de sombres implications des médias dominants. La manière dont le reportage est construit donne l'impression au public que Robin Rehmann fréquente le milieu des satanistes. C'est faux et cela porte atteinte à la per-sonnalité et à l'honneur. Réponse de l'auteure : La publication de faits véridiques est en principe couverte par la liberté d'expression et la liberté des médias. Examinons donc certains faits d'un peu plus près : 1. Robin Rehmann s'affiche publiquement avec le symbole de Baphomet. Baphomet est une représentation de Satan et est très répandu dans le satanisme. Satan est l'incarnation du mal, également connu sous le nom de diable ou de Lucifer. 2. Le logo de Robin Rehmann - Entertainment est une représentation du dieu celte Cernunnos. Celui-ci est représenté avec des bois de cerf. Dans la langue celtique, Cernunnos signifie « le cornu ». Dans la sorcellerie, il était vénéré comme porteur de lumière, ce qui lui a valu le nom de Lucifer ou de Satan. En effet, Lucifer est la traduction littérale du mot grec signifiant « porteur de lumière ». Le dieu Cernunnos est également associé à la représentation satanique de Baphomet. 3. Le logo du groupe « krank » de Robin Rehmann représente une faux avec une grande giclée de sang animée. La faucheuse est une allégorie personnifiée de la mort. La mort est souvent représentée sous la forme d'un personnage squelettique qui fauche les humains à l'aide d'une faux. 4. La pratique des sacrifices rituels d'enfants pour Satan est attestée depuis des millénaires (notamment dans la Bible). Des fouilles et des découvertes dans le monde entier en témoignent. Dans de nombreuses cultures, des enfants ont été sacrifiés à Satan. Des fouilles chez les Mayas, les Incas, les Aztèques prouvent des sacrifices rituels d'enfants. Des rapports récents également. Même Georg Otto Schmid en a témoigné en 2015 sur SRF : « Les adeptes du satanisme religieux. Ceux-ci croient effectivement en Satan. Ils vénèrent Satan, font des sacrifices pour lui et là, il y a effectivement des rituels cruels.» 5. Robin Rehmann nie sur SRF l'existence d'une secte sataniste clandestine qui fait des choses aussi horribles. Kla.TV n'a fait que révéler au téléspectateur superficiel de SRF, en guise de contre voix à la présence médiatique massive de Rehmann, quelques faits douteux qui peuvent tous être consultés officiellement. Contrairement à SRF et à Robin Rehmann, nous n'avons pas émis d'opinion personnelle dans l'émission «Panique satanique – Scandale autour de SRF et de Robin Rehmann », mais avons seulement montré des images et des liens officiellement consultables. Le journal 20 Minuten a en outre cité Rehmann : « J'ai déjà eu des relations sexuelles avec 90% de mes amis Facebook. » Pourquoi ne pas montrer certains de ces amis officiels sur Facebook ? Surtout quand il a un échange public aussi intense avec son ami et fan Facebook « Francis Dollarhyde », qui vante particulièrement ses émissions ? Le profil suspect de ce grand prêtre sataniste ne l'a-t-il pas frappé au premier coup d'œil ? Voici un autre post de cette communauté satanique : cela ressemble à un rituel sanglant avec des cartes de tarot occultes, de l'alcool et des bougies… Et ce post, je vous le lis intégralement, chère Madame Lehmann du service juridique de SRF. Si vous avez l'intention d'aller au tribunal, n'oubliez pas de vous munir de ce document. Nous ne manquerons pas d'emporter ce document et bien d'autres encore.« Flash info ! 5 ans de travail acharné pour enfin faire tomber cette association (...) Nous le leur avons dit en 2017, nous le leur disons aujourd'hui. Nous sommes en train de gagner. Vous perdez. Fin de l'histoire. » Puis ils postent les deux articles « L'évêché de Münster ferme son centre de conseil Violence sexuelle et rituelle organisée » et « Faut-il parler du satanisme et de la violence rituelle ? » Regardons encore le post de cette communauté satanique du 19 juin 2023 : Brotherhood of Samael offre à tous les utilisateurs de Facebook la formule structurelle de l'adrénochrome à télécharger avec l'inscription : « Nous festoyons de ta/votre peur » ou autre traduction « Nous nous régalons/réjouissons de ta/votre peur » Les satanistes sont connus pour cacher ouvertement ce qu'ils font en secret. Source : https://www.facebook.com/BrotherhoodofSamaelofficial/posts/pfbid0kL6jQrJkYDceWMYtiYTddUtHvvD6ALX2V24BSrL3m3QW5BYA4ho6jCQRr2grs5Sgl 6. Pour vous aussi, si on veut parler paragraphes : Il n'y a pas que le droit de la personnalité que vous mentionnez, mais aussi la liberté des médias (art.17 Cst.), ainsi que la liberté d'opinion et d'information (art. 16 Cst.). La diffusion de faits véridiques est en principe couverte par la liberté d'opinion et la liberté des médias. De plus, il existe dans ce cas un intérêt public prépondérant, cf. art. 28 al. 2 du Code Civil. En bref : Des affirmations factuelles véridiques ne violent pas le droit de la personnalité. De plus, Monsieur Rehmann, tout comme SRF, évolue dans la sphère dite sociale du droit de la personnalité, dans laquelle la protection est considérablement réduite. Les preuves que nous avons mentionnées en grand nombre dans l'émission montrent que M. Rehmann se présente avec des symboles satanistes et qu'il a des contacts douteux dans le milieu sataniste. Il est dans l'intérêt public, digne de protection, de le savoir par le biais de reportages dans les médias. Conclusion : Vous vous plaignez du fait que « le public a l'impression que Robin Rehmann évolue dans le milieu des satanistes ». C'est au spectateur de décider de l'impression qu'il aura. Laissez donc au public responsable le soin de faire ses propres déductions et de poursuivre ses recherches. Dans son documentaire, Kla.TV ne présente que des faits et laisse au public le soin de tirer des conclusions. Essayez peut-être de faire vous aussi de même ? Faites confiance à l'instinct et à l'intuition des téléspectateurs pour qu'ils trouvent eux-mêmes le chemin de la vérité par la voix et la contre voix ! Ce serait d'ailleurs la mission de toute chaîne de télévision. Mais malheureusement, la contre voix a presque totalement disparu du mainstream. Service juridique de SRF : • Vous écrivez que Robin Rehmann a obtenu gain de cause en demandant l'arrêt d'une émission sur une chaîne publique et vous donnez la parole à une protagoniste pour renforcer cette affirmation. Robin Rehmann n'a jamais fait de demandes à une autre chaîne de télévision. Votre déclaration est fausse et ne peut être laissée telle quelle. Réponse de l'auteure: Kla.TV ne donne la parole qu'à un seul témoin. Ce n'est toutefois pas le seul témoin qui a confirmé les faits devant Kla.TV. Ces témoignages sont à la disposition de Kla.TV sous forme écrite et orale, ainsi que d'autres preuves : « Selon les témoins, Robin Rehmann aurait exercé des pressions sur la chaîne bien plus importantes que celles décrites dans le documentaire de Kla.TV. Selon leurs déclarations, il a menacé la chaîne de s'y opposer si l'interview était diffusée et a accusé la chaîne d'antisémitisme. Il a également affirmé que les victimes, y compris Hajar, avaient été persuadées de tout cela. » Pour protéger les témoins, nous ne divulguerons pas d'autres noms à SRF, car il n'est pas rare qu'il arrive quelque chose à ces témoins dans ce genre d'affaires de révélation. Je rappelle que le témoin Routmont, qui devait témoigner dans l'affaire Dutroux, a été retrouvé mort peu avant. 27 autres témoins ont perdu la vie dans l'affaire Dutroux. De même, le politicien John Decamp est mort peu avant de démanteler le réseau de pédophilie entourant le scandale des abus sexuels de Franklin. Le détective privé Gary Caradori a également été retrouvé mort peu avant la révélation du scandale Franklin. . De même, l'enquêteur en chef Franz Kröll a été retrouvé mort à son domicile peu avant de pouvoir présenter les résultats de son enquête sur le cas Natascha Kampusch en Autriche . Son enquête aurait lourdement pesé sur les politiciens autrichiens. Le célèbre rédacteur en chef du journal soleurois « Balz Bruder » est lui aussi mort mystérieusement après avoir beaucoup couvert « l'affaire Nathalie ». Une enquête a été ouverte en lien avec des abus sur des enfants et des violences rituelles sataniques. Balz Bruder a été retrouvé mort en 2021 après avoir fait des reportages très médiatisés sur cette affaire. Chantal Frei, une autre victime de violence rituelle, raconte dans son livre « JE PARLE… » à la page 177 le décès inattendu de son avocate (défaillance cardiaque). Conclusion : Pourquoi Robin Rehmann ne voulait-il pas que l'interview d'une victime de violence rituelle soit publiée ? Quelle est sa motivation pour se précipiter contre une chaîne de télévision et la menacer ? La victime n'a obtenu aucune audience auprès des médias publics. Ce témoignage adressé à Kla.TV (Medien-Klagemauer) a été l'un des principaux déclencheurs de la recherche sur Robin Rehmann. Sans cela, cette émission n'aurait jamais été réalisée. Service juridique de la SRF : • Vous vous servez de photos de pages Facebook privées. Kla.tv n'a pas l'auto-risation d'utiliser ces photos privées. Vous violez également les droits de tiers en publiant ces photos. Réponse de l'auteure : Plus je lis, plus votre lettre devient amusante ! Sur Facebook, il y a certaines autorisations que l'on peut donner. Soit on choisit comme groupe cible de la publication : « Amis : vos amis sur Facebook », soit « Public : tout le monde sur ou en dehors de Facebook ». Rehmann a choisi comme groupe cible de la publication « Public : tout le monde sur et en dehors de Facebook ». Dans l'émission sont présentés seulement et explicitement des « contenus partagés publiquement », officiellement accessibles au monde entier. La publication des images est couverte par le droit de citation : selon l'article 25, alinéa 1 de la loi sur le droit d'auteur, les œuvres publiées peuvent être citées si la citation sert à expliquer, à indiquer ou à illustrer (citation d'image). Comme les images utilisées dans l'émission étaient visibles sur Facebook non seulement pour les amis, mais aussi pour le public, nous nous trouvons sur un terrain juridique absolument sûr. Malgré tout, Kla.TV a été si conciliant qu’il a filmé les images à partir d'un IPad, ainsi il est clair que TOUT LE MONDE peut les visionner directement. Ainsi on n’a pas eu à supporter les scènes très obscènes en plein écran. Nous n'avons pas passé d'autres chansons très controversées de Rehmann, cela aurait pris trop de temps. Mais même si les images de M. Rehmann n'étaient pas publiques, nous pourrions les citer, car l'intérêt du public à être informé l'emporte clairement ici, exceptionnellement, en raison du caractère explosif du sujet. D'une part, SRF et M. Rehmann se prévalent du bonus journalistique - comme la réputation et l'objectivité - dans la série d'émissions « Satanic Panic », mais d'autre part, on a engagé en la personne de Monsieur Rehmann un journaliste qui n'est justement pas du tout neutre dans cette thématique et qui agit de manière manifestement partiale. De son côté, SRF n'a JAMAIS demandé d’autorisation lorsqu'elle montrait des images dans un contexte diffamatoire ou utilisait des extraits qui, sans le contexte global, donnaient une fausse image. Elle se sert librement de toutes les images ou vidéos accessibles au public et n'a jamais demandé d’autorisation. Non, SRF diffuse même des vidéos et des images non publiées, donc explicitement internes, qui ont été obtenues de manière illégale. Ce serait un peu comme si nous nous introduisions chez Rehmann, lui volions son disque dur et publiions des enregistrements vidéo privés. C'est ce que fait SRF à longueur de journée et sans jamais avoir à rendre de comptes, car aucune des personnes volées ne peut se permettre de payer les frais de justice. A l'inverse, SRF peut se permettre, grâce à nos contributions obligatoires, d'engager les avocats les plus chers pour chaque cas de litige. Et maintenant, c'est justement SRF qui veut se poser en moralisatrice ? Je peux vous dire une chose : le peuple commence à voir clair dans votre jeu déloyal. Service juridique de la SRF : Lorsqu’on adresse des reproches à quelqu’un, il faut lui donner la possibilité de prendre position (cf. Conseil de la presse / Code des journalistes, directive 3.8.). Ni Robin Rehmann ni SRF n'ont pu prendre position sur les reproches formulés dans le reportage. Ceci d'ailleurs à la différence de l'émission de SRF sur Ivo Sasek mentionnée dans le reportage. SRF a soumis les reproches à Ivo Sasek et lui a donné la possibilité de prendre position. Réponse de l'auteure : Vous savez comme moi que le code de déontologie des journalistes du Conseil de la presse en Suisse est un engagement volontaire. Puisque vous vous y référez si énergiquement, je vais prendre position à ce sujet. SRF n'a encore JAMAIS donné à Ivo Sasek l'occasion de s'exprimer publiquement. Oui, vous lui envoyez des questions préformatées, où il peut prendre position sur les accusations construites et diffamatoires, mais ces réponses sont TOUJOURS passées sous silence ou simplement sorties de leur contexte à son détriment. SRF diffame le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, de la pire des manières depuis plus de 20 ans et ne lui a jamais vraiment donné la parole. Vous choisissez toujours de courts extraits que vous pouvez facilement déformer. Si vous n'êtes pas en mesure de déformer ou de mal interpréter les propos, vous n'en parlez pas du tout. Vous exigez ici des choses que vous n'avez pas respectées vous-même. Robin Rehmann est une personne d'intérêt public, c’est un homme public et « son site » est trop bien connu. Internet et Youtube en sont remplis. Il est très présent dans les médias. Aucun des témoins qu'il a attaqués ou ruinés n'a cependant la possibilité de se défendre médiatiquement. Toutes les victimes que lui-même ainsi que la chaîne SRF ridiculisent et poussent dans le coin des conspirateurs - n'ont jamais la possibilité d'être entendues, car elles auraient toutes, selon les dernières paroles de SRF , des « faux souvenirs» et auraient été « convaincues » par des thérapeutes. Il n'y a rien de pire que d'insinuer en plus à ces victimes, qui ont vécu des choses aussi atroces, que cela ne s'est pas passé et qu'elles ont de faux souvenirs, etc. Pour être précis, en ce qui concerne l'émission « Scandale SRF et Robin Rehmann », la directive 3.9 du code des journalistes peut en outre être appliquée : S'il existe un intérêt public prépondérant, il est exceptionnellement possible de renoncer à une audition. Je ne vois pas ce qui pourrait être d'un plus grand intérêt public que de dévoiler les motifs éventuels de dissimulation d'abus rituels satanistes et de donner la parole aux victimes. Et puisque nous parlons du code des journalistes, je rappelle également la directive 10.5 : « Les journalistes défendent la liberté d'information en cas d'atteinte réelle ou imminente par des intérêts privés (...). Les menaces ou les boycotts doivent en principe être rendus publics. » Il est donc de notre devoir de journalistes de rendre publiques les menaces de SRF à l'encontre de Kla.TV. Nous sommes convaincus que SRF a également enfreint la directive 2.4 du code des journalistes lors de la production de la série d'émissions « Satanic Panic ». Cette directive stipule qu'en cas de chevauchement entre les activités privées d'un journaliste et son activité d'information, cet état de fait doit être porté à la connaissance du public. Par conséquent, les réseaux de M. Rehmann auraient dû être divulgués. D'ailleurs, la directive 7.1 du code des journalistes interdit de pénétrer dans la sphère privée des personnes dont on veut parler, sans y avoir été invité. Nous rappelons que SRF a déjà à plusieurs reprises tendu une embuscade à Ivo Sasek devant sa maison et l'a harcelé, lui et sa famille, enfreignant ainsi cette directive. Service juridique de la SRF : Nous maintenons notre demande de cesser immédiatement les publications sur Kla.tv et toute autre publication. Nous vous fixons à cet effet un dernier délai : ce soir, 18 heures. Comme nous vous l'avons déjà fait savoir dimanche, nous envisageons une action en justice contre Kla.tv et ses responsables si vous ne donnez pas suite à notre demande. Réponse de l'auteure : Nous avons remis en ligne l'émission "Scandale SRF et Robin Rehmann" sur Kla.TV, après avoir examiné minutieusement tous les aspects de vos menaces avec notre service juridique. En contrepartie, nous vous demandons de retirer complètement du web et de tous les réseaux sociaux de SRF toutes les émissions calomnieuses sur Ivo Sasek et Kla.TV. Nous vous demandons en outre d'accorder à Ivo Sasek 20 minutes de temps de parole aux heures de grande écoute, et ce SANS COUPURE, au cours desquelles il pourra vraiment exposer son point de vue sur les calomnies ! Ainsi, vous respecterez enfin le code de déontologie des journalistes, directive 3.8. Service juridique de la SRF : Salutations amicales Barbara Lehmann Réponse de l'auteure : Nous vous prions également d'agréer nos salutations amicales. Loïs Sasek, auteure de l'émission « Satanic-Panic : scandale autour de la chaîne SRF et de Robin Rehmann ». Je suis la fille d'Ivo Sasek, fondateur de Kla.TV, OCG et AZK

de is./kno.

Sources / Liens : Sources de l'émission " Scandale SRF et Robin Rehmann – Satanic Panic " Vidéos YouTube de SRF sur « Satanic Panic » Vidéos YouTube + Facebook du groupe „krank“ Facebook de Robin Rehmann Facebook de « Brotherhood of Samael » Facebook de Francis Dollarhyde Facebook de Bernd Harder Site web de la « Brotherhood of Samael »“ (ATTENTION, cette source a été supprimée IMMÉDIATEMENT après la diffusion de l'émission « Scandale SRF et Robin Rehmann – Satanic Panic » ! Le mot "Grand Prêtre" a été supprimé de la page d'accueil. Mais pas dans les archives Web ! Voici le lien vers celui-ci) https://web.archive.org/web/20221128091331/https://www.brotherhood-of-samael.de/wer-wir-sind/
Chaîne Youtube de « Brotherhood of Samael » Hajar - Violence rituelle : « Violée et forcée à tuer » https://www.youtube.com/watch?v=dqiEM5hbTNo
Hajar - Violée et forcée à tuer (l'interview la plus crue) avec Hajar (+18 ans) AVERTISSEMENT AU PUBLIC https://www.youtube.com/watch?v=Pt3cqeuM4Ug
Lydia Benecke et Bernd Harder avec Francis Dollarhyde https://www.youtube.com/watch?v=2uV-FrmS46Q
La chaîne avec une croix bannie de la SRF https://www.oe24.at/welt/tv-sender-verbietet-moderatorin-kreuz-kette/550097077
Youtube: Francis Dolarhyde; The Great Red Dragon (NBC Hannibal) https://de.wikibrief.org/wiki/Francis_Dolarhyde
Robin Rehmann récompensé en tant que journaliste et se qualifiant lui-même de journaliste : https://swisspressaward.ch/de/beteiligte-journalisten/section/swiss-press-video/
https://www.srf.ch/audio/rehmann/ich-bin-eine-trans-frau?id=12367654#autoplay
Sources de la réponse de l'auteure au service juridique de SRF https://de.wikipedia.org/wiki/Merlin
| www.vorname.com/name,Merlin.html
| https://kiwithek.kidsweb.at/index.php/Merlin
| https://gedankenwelt.de/merlin-biographie-einer-legende
| www.deutschlandfunk.de/merlins-zauber-100.html
| www.getabstract.com/de/zusammenfassung/merlin/7689
https://www.blick.ch/schweiz/basel/kinder-werden-in-satansmessen-geschlachtet-basler-primarlehrerin-nach-wirren-aussagen-freigestellt-id17167416.html
| https://www.solothurnerzeitung.ch/basel/primar-blauen-nach-satanismus-doku-auch-die-zweite-baselbieter-lehrkraft-muss-ihre-schule-verlassen-ld.2240804?reduced=true
| https://www.onlinereports.ch/News.99+M538dcae9320.0.html
| https://www.bzbasel.ch/basel/verschwoerungstheorien-wegen-srf-doku-zu-satanismus-lehrer-unterrichtet-nach-20-jahren-nicht-mehr-an-der-sek-oberwil-ld.2234841?reduced=true
| Buch von Guido Grandt: Hardcore-Kinder-Satanismus, Band 2, Seite 26, 27, 28, 29 https://www.blick.ch/schweiz/srf-schockt-mit-verschwoerer-dok-selbst-zuercher-stadtpolizist-glaubt-an-blutruenstige-satanisten-rituale-id17074891.html
https://www.nzz.ch/gesellschaft/der-glaube-an-satanistischen-missbrauch-breitet-sich-in-der-schweiz-aus-ld.1684880?reduced=true
https://www.youtube.com/watch?v=dF7XJ5OZn44
https://fairmedia.ch/2021/12/22/nachbesprechung-einer-fragwuerdigen-srf-dok/
www.20min.ch/story/darum-gehts-bei-der-satanisten-dok-des-srf-742640412609
- Die Medien verlieren an Vertrauen: https://www.dw.com/de/medien-verlieren-an-vertrauen-und-damit-auch-die-demokratie-journalismus/a-62168414
Initiative «SRG, 200 Fr. sind genug!»: https://srg-initiative.ch/
- Massnahmenpaket zugunsten der Medien – von CH-Stimmbevölkerung abgelehnt: https://www.uvek.admin.ch/uvek/de/home/uvek/abstimmungen/medienpaket.html
https://de.wikipedia.org/wiki/Ordo_Templi_Orientisn
| www.spiegel.de/geschichte/mysterium-aleister-crowley-a-947100.html
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Dutroux und die toten Zeugen www.dailymotion.com/video/x33iks7
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cover up&qid=1664568717&qu=eyJxc2MiOiIwLjAwIiwicXNhIjoiMC4wMCIsInFzcCI6IjAuMDAifQ==&s=books&sprefix=franklin cover up,stripbooks,104&sr=1-1 Weitere Belege siehe Quellen Angaben «Die Blutsekte» www.kla.tv/24000
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| https://www.pressetext.com/news/chantal-frei-speaking-out-my-life-under-and-escape-from-satanic-ritual-abuse-insiderreport-of-an-illuminati-survivor.html
«Durstige Augen und keine Gegenwehr» https://deutschpunkkrank.bandcamp.com/track/durstige-augen
https://www.srf.ch/news/schweiz/satanic-panic-glaube-an-teufel-verschwoerung-verbreitet-sich-im-berner-oberland
SRF-Dokumentationen «Satanic Panic» Folgen 1-3 : https://www.youtube.com/watch?v=dF7XJ5OZn44
| https://www.youtube.com/watch?v=4GK0DETWYPQ
| https://www.youtube.com/watch?v=wzVe684qbOY