Comment les médias dominants nous trompent – certains en parlent

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13.12.2022 | www.kla.tv/24466

Un documentaire de David Sorenson a été publié sur la plate-forme Internet américaine « Stop World Control ». Il y révèle entre autres des crimes mondiaux qui sont le résultat de mensonges médiatiques. A l'aide d'exemples, Sorenson décrit clairement comment les médias dominants jouent de leur pouvoir et maintiennent sciemment les gens dans la peur et l'ignorance. Les journalistes suivent tous le même scénario, sont formés à mentir et sont payés pour promouvoir les guerres. Dans le film qui suit, des lanceurs d'alerte font part de leurs expériences et de leur vécu au public. Avec leurs rapports honnêtes et authentiques, ils sont de véritables révélateurs de l'instrument de pouvoir le plus grand, le plus mensonger et le plus mondial qui soit. Eh bien, je suis journaliste depuis environ 25 ans et j'ai été éduqué à mentir, à tricher et à ne pas dire la vérité au public... ne pas dire la vérité au public… ne pas dire la vérité au public. Comment les médias dominants nous trompent – certains en parlent « DÉMASQUÉS ! Les crimes des médias démasqués. » Udo Ulfkotte, éditeur du journal Frankfurter Allgemeine Zeitung, a reconnu que les journalistes du monde entier sont formés et payés pour toujours mentir aux gens. Udo Ulfkotte, journaliste et rédacteur : Eh bien, je suis journaliste depuis environ 25 ans et j'ai été éduqué à mentir, à tricher et à ne pas dire la vérité au public. Mais quand je vois maintenant, ces derniers mois, comment les médias allemands et américains essaient d'apporter la guerre aux gens en Europe, d'apporter la guerre à la Russie, c'est un point de non-retour et je vais me lever et dire : ce n'est pas bien ce que j'ai fait dans le passé pour manipuler les gens, pour faire de la propagande contre la Russie, et ce n'est pas bien ce que mes collègues font et ont fait dans le passé… parce qu'ils sont soudoyés pour trahir les gens, pas seulement en Allemagne, mais dans toute l'Europe. La raison pour laquelle j'ai écrit ce livre est que j'ai très peur d'une nouvelle guerre en Europe et je ne veux pas que cette situation se reproduise, car la guerre n'arrive jamais spontanément. Il y a toujours des gens qui sont derrière et qui poussent à la guerre. Et ce ne sont pas seulement des hommes politiques, ce sont aussi des journalistes. Et j'ai justement écrit dans ce livre comment nous avons trompé nos lecteurs par le passé, uniquement pour pousser à la guerre, parce que je ne veux plus de cela, car j'en ai assez de cette propagande. Nous vivons dans une république bananière et non dans un pays démocratique avec la liberté de la presse, avec les droits de l'homme. Si vous voyez les médias allemands, en particulier mes collègues, qui écrivent jour après jour contre les Russes, ils sont dans des organisations transatlantiques et ils sont soutenus par les États-Unis pour le faire. Eh bien, les gens comme moi, je suis devenu citoyen d'honneur de l'État d'Oklahoma aux États-Unis. Mais pourquoi ? Simplement parce que j'écris de manière pro-américaine. J'ai écrit de manière pro-américaine, j'ai été soutenu par la Central Intelligence Agency, par la CIA. Et pourquoi ? Parce que je devrais être pro-américain. J'en ai marre, je ne supporte plus ça. Et donc j'ai écrit un livre, pas pour gagner de l'argent, non, ça va m'attirer beaucoup d'ennuis, juste pour donner aux gens de ce pays, en Allemagne, en Europe et dans le monde entier, un aperçu de ce qui se passe derrière les portes fermées. Julian Assange, le journaliste qui a fondé Wikileaks, explique dans une interview comment la plupart des guerres sont le résultat de mensonges médiatiques. Assange a été arrêté. Julian Assange, journaliste, fondateur de Wikileaks : L'une des choses porteuses d'espoir que j'ai découvertes, c'est que presque toutes les guerres qui ont commencé ces 50 dernières années étaient le résultat de mensonges médiatiques. Les médias auraient pu empêcher cela. S'ils avaient fait des recherches assez approfondies, s'ils n'avaient pas reproduit la propagande gouvernementale, ils auraient pu l'empêcher. Mais qu'est-ce que ça signifie ? Eh bien, ça signifie fondamentalement que la population n'aime pas la guerre et qu'il faut l'inciter à faire la guerre. La population ne va pas à la guerre de son plein gré et les yeux ouverts. Donc, si nous avons un bon environnement médiatique, nous avons aussi un environnement pacifique. Mais notre ennemi numéro un est l'ignorance. Et je pense que c'est notre plus grand ennemi à tous. Ne pas comprendre ce qui se passe réellement dans notre monde. Ce n'est que lorsqu'on commence à comprendre qu'on peut prendre des décisions efficaces. La question est donc la suivante : qui encourage l'ignorance ? Eh bien, les organisations qui essaient de garder les choses secrètes et les organisations qui déforment les vraies informations pour les rendre fausses et les présenter de manière erronée. Dans cette dernière catégorie, ce sont les mauvais médias. Je pense vraiment que les médias en général sont si mauvais qu'on peut se demander si le monde ne se porterait pas globalement mieux sans eux. Il y a quelques très, très bons journalistes, et nous travaillons avec beaucoup d'entre eux, et quelques bonnes organisations médiatiques. Mais la grande majorité d'entre eux sont terribles et empêchent de voir la situation réelle dans le monde. Un virologue mandaté par le gouvernement belge montre aux politiciens internationaux comment manipuler les médias pour faire croire à une pandémie dans un pays et comment faire en sorte que les gens souhaitent un vaccin. Marc van Ranst, virologue européen : Je vais vous parler de mon expérience en tant que gestionnaire de crise et responsable de la grippe en Belgique, en insistant sur les aspects de communication. Ensuite, on n'a qu'une seule chance de bien faire les choses. Bon, le premier jour est extrêmement important. Le premier jour, on commence à communiquer avec la presse, avec la population. Et il faut le faire correctement. Je veux dire qu'il faut opter pour « une seule voix, un seul message ». En Belgique, on a choisi de confier cette tâche à un non-politicien, et je n'appartiens à aucun parti. Et ça rend les choses un peu plus faciles, du moins à ce stade. Comme on n'est pas attaqué politiquement, comme on est minoritaire, ça n'entre pas en ligne de compte. Et c'était un grand avantage. Le deuxième avantage, c'est qu'à Bruxelles, on peut jouer les naïfs complets et obtenir beaucoup plus que ce qu'on pourrait faire autrement… Le deuxième avantage, c'est qu'à Bruxelles, on peut jouer les naïfs complets et obtenir beaucoup plus que ce qu'on pourrait faire autrement. Il faut être omniprésent pendant ces premiers jours pour attirer l'attention des médias, il faut passer un accord avec eux pour tout leur dire, et s'ils appellent, vous décrochez le téléphone, et si vous faites cela, vous pouvez profiter de ces premiers jours pour obtenir une couverture complète et coopérative du terrain, et ils ne chercheront pas de voix alternatives… et ils ne chercheront pas de voix alternatives. Et si vous faites ça, ça rend les choses beaucoup plus faciles. Et ensuite, il faut dire : OK, eh bien, nous allons avoir des décès dus au H1N1. Bien sûr, ce sera inévitable. J'ai utilisé la citation de Sir Donaldson, qui a dit qu'en Grande-Bretagne, au plus fort de l'épidémie, à la fin de l'été, 40 personnes mourraient chaque jour. À cette époque, il y avait 62 millions de personnes au Royaume-Uni, 40 morts par jour. J'ai fait le calcul pour la Belgique, cela ferait sept morts par jour au plus fort de l'épidémie, et c'est ce que j'ai utilisé dans les médias… sept morts par jour au plus fort de l'épidémie, et c'est ce que j'ai utilisé dans les médias. J'y ai utilisé la citation de Sir Donaldson, je l'ai utilisée dans les médias. Sept morts de la grippe par jour en Belgique au plus fort de l'épidémie, ce serait réaliste, c'est le cas chaque année, même sans pandémie, c'est très, très conservateur. Il est toutefois important de parler de décès. Parce que quand on dit ça, les gens disent : « Wow, qu'est-ce que ça veut dire, des gens meurent de la grippe ? » Et c'était un pas nécessaire qui devait être fait. Et puis, bien sûr, quelques jours plus tard, il y a eu le premier décès dû au H1N1 dans le pays. Le terrain était ainsi préparé et on en parlait déjà. Ensuite, il faut décider qui doit être vacciné en premier. Et puis, bon, les femmes et les enfants d'abord, peu importe…. Et puis, bon, les femmes et les enfants d'abord, peu importe. Je veux dire, les groupes à risque, c'était important, et puis j'ai abusé du fait… et puis j'ai abusé du fait que les clubs de football de haut niveau en Belgique ont vacciné de manière inappropriée et contre toute concertation, ils ont fait de leurs footballeurs des personnes privilégiées. C'est là que j'ai dit : « Je peux utiliser cela. » Car si la population pense vraiment que ce vaccin est si convoité que même les footballeurs auraient été malhonnêtes pour pouvoir se faire vacciner, j'ai dit : « Ok, je peux me servir de ça ! » Alors j'en ai fait toute une histoire… « Ok, je peux me servir de ça ! » Alors j'en ai fait toute une histoire. Alors on m'a dit : « Van Ranst est fou ! » Mais ça a marché ! « Jouez le gars complètement naïf et vous obtiendrez beaucoup plus... » « Les médias ne vont pas chercher des voix alternatives » « C'est important de parler des décès » « J'ai abusé du fait... » « Ok, je peux utiliser ça ! » « Je peux jouer avec ça » « Mais ça a marché... » Avez-vous vu les diapositives de sa présentation ? Pandémie : Premier jour : notre pays est prêt à affronter une pandémie. Charlie Chester, directeur technique de CNN, a admis à un journaliste infiltré de « Project Veritas » comment CNN crée la peur avec des taux de mortalité et comment les journalistes d'information sont formés pour diffuser de la propagande plutôt que des informations. Charlie Chester, directeur de CNN : Covid ? Des taux d'audience record ! C'est pour ça qu'on a mis le nombre de morts sur le site. J'ai un gros problème avec la façon dont nous calculons le nombre de personnes qui meurent chaque jour. Parce que j'ai déjà regardé ça et j'ai dit : « On devrait augmenter le nombre ! » Quelque chose comme : « Pourquoi le chiffre n'est-il pas assez élevé aujourd'hui ? Ce serait mieux pour nous s'il était plus élevé ! » Mais je me mobilise pour quoi ? C'est quand même un problème que nous fassions ça. Vous savez, c’est comme ce téléphone rouge spécial. Et ils décrochent, et c'est comme si le patron de la chaîne disait : « Il n'y a rien que vous fassiez en ce moment qui me donne envie de continuer. Remontez les chiffres, parce que c'est la chose qui appâte le plus. Alors faites-les remonter ! » … soit des choses comme ça… soit il faut en parler tout le temps, il n'y a rien de tel que des informations impartiales. A tous les journalistes de CNN, ils leur disent ce qu’ils doivent dire. C'est toujours comme si on les orientait dans une certaine direction avant même qu'ils n'ouvrent la bouche. Et les seules personnes qu’on laisse à l'antenne sont pour la plupart des personnes dont il est prouvé qu'elles ont mordu à l'hameçon… Et les seules personnes qu’on laisse à l'antenne sont pour la plupart des personnes dont il est prouvé qu'elles ont mordu à l'hameçon. Une réunion zoom de représentants gouvernementaux africains qui a « fuité », montre comment ils ont parlé d'augmenter le nombre de cas-Covid afin de poursuivre le bouclage. Réunion Zoom, gouvernement africain : « Nous voulons trouver un moyen d'augmenter le nombre de cas Covid au-delà de la fin du confinement, et je ne sais pas quand le confinement prendra fin. Certains disent le 16 avril. Mais quand nous l'avons annoncé, je n'ai pas dit en quelle année il se terminera. » Hans Nijenhuis, rédacteur en chef d'un journal de premier plan aux Pays-Bas, a révélé qui positionne réellement les dirigeants politiques : les médias. Hans Nijenhuis, rédacteur en chef du journal néerlandais AD : J'ai reçu un appel et j'ai dit : « Écoutez, nous pouvons aussi faire de Wilders le Premier ministre si vous le souhaitez. Alors passez par notre intermédiaire à partir de maintenant ! » Peut-être ne devriez-vous pas publier ça, mais c'est comme ça que ça fonctionne… « Écoutez, nous pouvons aussi faire de Wilders le Premier ministre si vous le souhaitez. Alors passez par notre intermédiaire à partir de maintenant ! » Peut-être ne devriez-vous pas publier ça, mais c'est comme ça que ça fonctionne. Le directeur technique de CNN affirme qu'ils se sont concentrés sur l'éviction de Trump. Leur prochain projet est d'exploiter le changement climatique, car « la peur se vend ». Charlie Chester, directeur de CNN : Une fois que le public sera ouvert à cela, nous nous concentrerons principalement sur le climat et le réchauffement climatique. Ce sera notre priorité. Tout comme nous nous sommes concentrés sur l'éviction de Trump. Sans le dire, c'est exactement ce que nous avons fait. Nous allons donc ensuite nous concentrer sur le changement climatique. Intervieweuse : A quoi cela ressemble-t-il ? Je n'en suis pas sûr. J'ai l'impression que ça va ressembler à ça : on va montrer en permanence des vidéos sur le recul de la glace et le réchauffement du climat, et sur l'impact que ça aura sur notre économie. Intervieweuse : Qui décide de cela ? Le chef de la chaîne. Intervieweuse : Et qui est-ce ? C'est Zucker ? Zucker, oui. (Remarque : il s'agit de Jeff Zucker) Je pourrais imaginer qu'il réunisse son conseil et qu'ils discutent de ce qu'ils pensent, où ils en sont. Intervieweuse : C'est donc la prochaine... ... histoire semblable à une pandémie que nous allons exploiter. Mais cette affaire va durer, je veux dire que ça va probablement durer des années. Ils vont probablement pouvoir l'exploiter pendant un bon moment. Intervieweuse : Donc, le changement climatique en abondance. Soyez prêts, il va arriver. Intervieweuse : Pensez-vous qu'il y aura beaucoup de peur ? Oui, la peur se vend bien. Pensez-vous qu'il y aura beaucoup de peur ? Oui, la peur se vend bien. Les différentes agences de presse sont-elles indépendantes ? Leurs reportages sont-ils basés sur des recherches uniques ? Ou tout ce qu'elles disent est-il... contrôlé ? Écoutez les réponses vous-même... Pour qui faites-vous vraiment vos achats en cette période de Noël ? Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté une, deux ou peut-être dix choses pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. . Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. Si vous avez acheté un, deux ou dix articles pour vous-même. Tout va bien. Y’a pas de problème. 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C'est extrêmement dangereux pour notre démocratie. C'est extrêmement dangereux pour notre démocratie. C'est extrêmement dangereux pour notre démocratie. C'est extrêmement dangereux pour notre démocratie. C'est extrêmement dangereux pour notre démocratie. Les journalistes sont formés à mentir, à tricher et à ne jamais dire la vérité. Les journalistes sont payés pour promouvoir la guerre. Les guerres sont le résultat de mensonges médiatiques. Les politiques apprennent à manipuler les gens par le biais des médias. Les taux de mortalité sont utilisés pour créer la peur et contrôler le comportement des gens. Les gouvernements augmentent le nombre de cas Covid pour prolonger les confinements. Les médias font pression pour positionner les leaders politiques de leur choix. Leur prochain grand thème est le changement climatique. Les journalistes d'information suivent tous le même scénario. Alors, vous croyez encore tout ce que vous voyez aux informations ?

de desi/avr

Sources / Liens : Links: Busted! Media Crimes Exposed https://rumble.com/vhkk3x-busted-media-crimes-exposed.html
https://stopworldcontrol.com/media/