Le Dr McCullough, expert mondial du Covid-19, accuse l'OMS

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07.11.2023 | www.kla.tv/27389

Le 13 septembre 2023, une conférence ouverte de haut niveau s'est tenue dans le bâtiment du Parlement européen à Strasbourg sur la nouvelle proposition de réglementation de l'OMS. Le Dr Peter McCullough, médecin praticien, épidémiologiste et cardiologue, a été invité à s'exprimer parmi ce groupe d'experts. En tant que médecin spécialisé, il partage ses connaissances sur les effets des vaccins Covid et démontre que l'OMS fait partie d'un complexe biopharmaceutique, d'un syndicat qui s'est construit au fil des années. Chers spectateurs, vous pourrez découvrir, dans son discours que nous diffusons maintenant dans son intégralité, ses recherches et ses propositions pour remettre à sa place une OMS de plus en plus puissante. C'est un honneur et un privilège que le Dr Peter McCullough, du Texas, aux États-Unis, soit parmi nous aujourd'hui. Je vous en remercie. Il est interniste, cardiologue et épidémiologiste ; il est diplômé de l'université Baylor, de l'université du Texas Southwestern Medical School, de l'université du Michigan et de la Southwestern Methodist University. Il s'occupe à Dallas, Texas, des maladies infectieuses générales ainsi que des complications cardiovasculaires résultant à la fois de l'infection virale et des dommages causés par l'injection de vaccin Covid-19. Le Dr Peter McCullough a publié un grand nombre d'articles sur différents sujets médicaux et figure dans la National Library of Medicine avec plus d'un millier de publications et 685 citations. Le Dr McCullough a fait de nombreuses déclarations au Sénat américain et dans de nombreux parlements d'État sur des aspects de la lutte contre la pandémie. Le Dr McCullough a consacré des années de travail académique et clinique à la lutte contre le virus du SRAS-CoV-2, en examinant des milliers de rapports, en participant à des congrès scientifiques, à des discussions de groupe et à des communiqués de presse, et il est considéré comme l'un des meilleurs experts mondiaux du Covid-19. Nous vous remercions. Dr Peter McCullough : Merci beaucoup pour cette introduction et merci pour les chaleureuses salutations. Merci à Mme Anderson, aux membres du Parlement et à vous tous. Comme cela vous a été présenté, je suis le Dr Peter McCullough. Je suis interniste, cardiologue et épidémiologiste en exercice et, depuis le début de la pandémie, je me suis entièrement consacré à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour aider chaque patient. Voici mes observations et voici mon analyse. Le monde a été frappé par deux vagues de dommages. La première a été l'infection par le SRAS-CoV-2, qui a surtout touché les personnes fragiles et âgées. Et la deuxième vague de préjudices, ce sont les vaccins Covid-19. Dans les deux cas, le rôle de l'OMS semble problématique. Le rôle de l'OMS semble se situer au sein d'un complexe biopharmaceutique, un syndicat, un syndicat compliqué qui s'est formé au fil du temps. Il s'agit notamment de l'OMS, des Nations unies, du Forum économique mondial, de la Fondation Gates, de la Fondation Rockefeller, du Wellcome Trust, de Gavi, du CEPI, de la Coalition pour la Préparation aux épidémies et l’innovation, en grande partie formée par la Fondation Gates et le FEM. Le Département d'État américain, les Instituts nationaux de la santé, le CDC, la FDA, la MHRA au Royaume-Uni, la TGA en Australie, la SAFRA en Afrique du Sud, l'EMA ici en Europe. Ces organisation non gouvernementales et d'autorités sanitaires publiques travaillent groupées toutes ensemble. Elles sont soigneusement coordonnées. Et les conséquences ont été négatives. Au début de la pandémie, l'OMS a enquêté sur l'origine du SRAS-CoV-2. C'est à ce moment-là que la dissimulation a commencé. Le contre-amiral Brett Giroir, des États-Unis, a chargé trois scientifiques indépendants de se rendre à Wuhan et de découvrir ce qui se passait. À ce moment-là, nous connaissions Anthony Fauci, Francis Collins, Jeremy Farrar, qui travaillait au Wellcome Trust et qui est maintenant scientifique en chef à l'OMS, Christian Anderson à Scripps, Edwin Holmes à Sydney et Peter Daszak de l'EcoHealth Alliance. Ils ont tous conspiré en janvier 2020 pour dissimuler ce qu'ils savaient, à savoir que le virus avait été développé dans le cadre d'une collaboration conjointe américano-chinoise dans le laboratoire de Wuhan, en Chine. Et ils ont trompé le monde en publiant ensuite 12 publications frauduleuses dans la littérature évaluée par des professionnels. Le chef de file était Jeremy Farrar, qui est le scientifique en chef de l'OMS. Tout cela figure dans une série de rapports de la Commission spéciale de la Chambre des représentants du Congrès américain, dirigée par le député Brad Wenstrup. Depuis le début, l'OMS a joué un rôle négatif et a trompé le monde sur l'origine du SRAS-CoV-2. Des médecins comme nous, qui travaillons dans la pratique clinique, ont pris du retard dans cette affaire parce que nos gouvernements et les autorités comme l'OMS n'ont pas été honnêtes avec nous. Au lieu de nous aider, ou du moins de ne pas nous mettre des bâtons dans les roues pour traiter les patients et sauver des vies, ils se sont mis en travers de notre chemin et ont entravé nos possibilités. Ils ont créé un environnement de nihilisme thérapeutique. Il n'y a que deux choses qui empêchent l'hospitalisation et la mort. La première c’était un traitement précoce et la seconde l'acquisition d'une immunité naturelle dès la première apparition de l'infection. Rien d'autre n'a fonctionné. Il n'y a eu que deux conséquences négatives : L'hospitalisation et la mort. Jusqu'à présent, l'OMS n'a pas soutenu, préconisé ou publié de protocoles de traitement précoce pour les patients atteints de COVID-19 aiguë. Ça devrait être clair. Ça devrait être un appel au réveil. Ça fait maintenant trois ans que ça dure. Trois ans. Et l'OMS n'a toujours rien fait pour réduire la souffrance humaine. Rien du tout. Car la première vague, c'était la maladie. Et j'ai témoigné à plusieurs reprises devant le Sénat américain : la plupart des hospitalisations et des décès chez les patients à haut risque auraient pu être totalement évités par une intervention précoce, à commencer par des sprays nasaux anti-virus et des gargarismes, ainsi que des médicaments intraveineux et oraux administrés à domicile pour aider les gens à traverser la maladie. C'est là que les vaccins entrent en jeu. Depuis 2021, les vaccins ont fait beaucoup de mal aux populations du monde entier. Dans le monde entier, deux tiers des personnes ont été vaccinées. L'étude américaine COVID-Community-State montre que 75% des Américains ont été vaccinés. Heureusement, 25% ne l'ont pas été. J'ai été la seule personne de la santé publique et du public aux États-Unis à remettre en question les vaccins par écrit avant qu'ils ne soient mis sur le marché. Et je l'ai fait aussi fort que je le pouvais. Pour 94 % des Américains aux États-Unis les vaccins COVID-19 étaient des vaccins à ARN messager. Il s'agit du code génétique de la partie potentiellement mortelle de la protéine spike du virus. C'était la pire idée de tous les temps que d'insérer le code génétique par injection et de permettre la production incontrôlée d'une protéine potentiellement mortelle dans le corps humain pour une durée indéterminée. Tout ce que nous avons appris à son sujet depuis l'apparition du vaccin est épouvantable. Il n'existe pas une seule étude montrant que l'ARN messager est dégradé parce qu'il est pseudo-uridiné. Il est fabriqué par synthèse. Il ne peut pas être dégradé. Il n'y a pas une seule étude qui montre qu'il quitte le corps. Et il y a des travaux de Castriutta qui montrent que l'ARN messager circule pendant un mois. C'est la durée la plus longue qu'ils aient étudiée. La protéine spike, la protéine mortelle des vaccins, circule dans le corps humain pendant au moins six mois, si ce n'est plus, après la vaccination. Et lorsque les personnes reçoivent une nouvelle injection après six mois, une quantité encore plus importante de protéine potentiellement mortelle circule. Dans 3 400 manuscrits examinés par des experts, il est prouvé que la protéine spike provoque quatre grands types de maladies. L'une d'entre elles est une maladie cardiovasculaire, l'inflammation du cœur ou myocardite. Tous les organismes de surveillance s'accordent à dire que les vaccins provoquent des myocardites. Je suis cardiologue. Avant le COVID, il existait déjà depuis des années des lignes directrices en cardiologie. S'il y a une myocardite, qu'elle soit symptomatique ou non, les gens ne doivent pas faire d'efforts lors d’activité sportive. Cela entraîne un arrêt cardiaque. Et pourtant, des clubs sportifs en Europe et aux États-Unis ont injecté ces vaccins à des jeunes pour lesquels il n'y avait pas de nécessité médicale, pas d'indication clinique, et nous avons vu un certain nombre d'arrêts cardiaques chez des jeunes. En tant que cardiologue, je vous dis que, jusqu'à preuve du contraire, ces arrêts cardiaques sont dus au vaccin COVID-19. Ils le sont vraiment. On a démontré d'autres maladies cardiovasculaires causées par le vaccin : accélération des athéroscléroses et des infarctus du myocarde ou des arrêts cardio-circulatoires. Tachycardie orthostatique postérieure, c'est-à-dire des évanouissements en raison d'une tension artérielle basse. Vous avez vu dans les médias des images de personnes qui se sont évanouies comme on ne l'a jamais vu auparavant. C'est le vaccin, jusqu'à preuve du contraire. Dissection aortique, fibrillation auriculaire, autres troubles du rythme cardiaque. Un arrêt cardiaque a été décrit avec les vaccins COVID-19 en l'absence de myocardite. Le domaine cardiovasculaire des dommages causés au corps humain par le vaccin est considérable. Plus que tout ce que nous avons connu avec le cholestérol, l'hypertension ou le diabète. Le deuxième grand domaine est celui des maladies neurologiques, des AVC, qu'ils soient ischémiques ou hémorragiques. Le syndrome de Guillain-Barré, une paralysie ascendante pouvant entraîner la mort, qui a entraîné la mort avec des vaccins contenant de l'ARN messager, ce qui a été confirmé par toutes nos autorités de réglementation. Neuropathie des petites fibres, engourdissement et fourmillements, bourdonnements d'oreille, maux de tête. Ces manifestations sont fréquentes. Troisième domaine important : les thromboses. Des thromboses comme on n'en a jamais vu auparavant. La protéine spike est la protéine la plus thrombogène que l'on ait jamais vue en médecine humaine. On la trouve dans les caillots sanguins. La protéine spike provoque des thromboses. Des thromboses qui sont plus grosses et plus résistantes aux anticoagulants que ce que nous avons jamais vu en médecine humaine. J'ai des patients qui ont des thromboses depuis deux ans maintenant, et à cause de ces vaccins ils ne se dissolvent pas avec les anticoagulants classiques. Nous ne pouvons pas les faire sortir du corps. Nous ne pouvons pas éliminer l'ARN messager ou la protéine spike de l'organisme, car ils sont produits en permanence. Quatrième et dernier domaine : les anomalies immunologiques. La thrombocytopénie thrombotique et le trouble inflammatoire multisystémique causés par le vaccin sont des syndromes aigus précoces, bien décrits et publiés. Ils ont leurs propres acronymes, qui ont tous été approuvés par les autorités de régulation. Vous tous ici dans la salle, et tous ceux qui écoutent en ligne, vous vous demandez donc : Est-ce que c'est moi ? Est-ce un membre de ma famille ? Est-ce la personne que j'aime ? Qui sera la prochaine personne qui tombera après une vaccination ? Nous avons constaté des arrêts cardiaques deux ans après ces vaccinations. Deux ans. Je suis l'auteur principal de la plus grande étude autopsique jamais réalisée sur les décès survenus après la vaccination COVID-19 dans le monde. Nous avons cherché dans la littérature, 600 travaux, toutes les constatations cliniques. Nous les avons examinés avec des connaissances contemporaines, des experts en pathologie et en médecine clinique. Notre conclusion : 73,9 % des décès survenus après la vaccination sont dus au vaccin. Ils sont dus au vaccin. Lorsqu'une myocardite est suspectée, comme l'a établi une deuxième étude dont je suis le premier auteur, c'est 100 % des cas. C'est dû au vaccin. Pas au COVID, la maladie respiratoire, mais au vaccin. Nous voyons maintenant un troisième faux narratif. Le premier faux narratif était le suivant : le virus est inattaquable, nous devons nous isoler et être dans la crainte. Le deuxième faux narratif est le suivant : Faites-vous vacciner, c'est sûr et efficace. Actuellement le troisième faux narratif dit que ce n'est pas le vaccin qui cause ces problèmes, mais le COVID. C'est le COVID que nous avons vu en 2020 et qui cause tous ces problèmes en 2023. Ne tombez pas dans ce faux narratif. La littérature médicale est convaincante à l'heure actuelle. Les critères de causalité de Bradford-Hill sont remplis. Les vaccins sont la cause de cette énorme vague de maladies. Cela pourrait-il vous concerner, vous ou un membre de votre famille ? Pour finir, voici quelques travaux importants. L'un d'eux est celui de Schmeling et de ses collègues du Danemark. Ils montrent qu'environ 30 % des personnes qui ont reçu un vaccin n'ont aucun effet secondaire. Rien, pas même un bras douloureux. Pas même l'impression qu'il s'est passé quelque chose avec l'injection. Ces personnes semblent toujours aller bien. Comme si elles n'avaient pas reçu d'injection. Et les données sont les mêmes aux États-Unis et dans notre système viral. Pour le deuxième groupe, il s'agit d'environ 70 % des personnes. Ils ont quelques effets secondaires modérés, quelques problèmes, mais ils ne semblent pas avoir de problèmes vraiment graves. Et puis il y a le petit groupe du troisième lot. 4,2 % dans les données de Schmeling. C'est un record absolu. Myocardites, arrêts cardiaques, caillots sanguins, AVC hémorragiques, handicaps. Mort subite à domicile dans un lit. Et les données sont les mêmes aux États-Unis. 4,2 % des personnes en Europe sont actuellement en difficulté. Parce qu'ils ont eu la malchance de recevoir un lot à haut risque. Aux États-Unis, selon nos données CDC-V-Safe, qui sont des données auto-déclarées, 7,7 % des Américains sont tombés malades à la suite d'une vaccination au point de devoir être admis à l’hôpital et soignés ou gardés en hospitalisation. Une enquête Zogby menée il y a environ un an, avec un grand échantillon représentatif aux États-Unis, a révélé que 15 % des personnes vaccinées sont actuellement confrontées à un problème médical. Donc, encore une fois : 4,2 %, 7,7 %, 15 %. C'est la pénombre. C'est le diagramme logique que vous allez tous prendre en compte dans vos calculs. Quelle est la voie à suivre ? La voie à suivre est clairement que personne ne fasse d'autre tentative. Personne ne doit le faire. Le 11 juin 2022, le World Council for Health, une organisation multinationale de médecins et de prestataires de soins de santé, a publié un rapport de pharmacovigilance dans lequel ils ont examiné 39 bases de données de sécurité, dont la base V-Safe de l'OMS et les bases de données de l'EMA aux États-Unis. Elles ont conclu que tous les vaccins COVID-19 devraient être retirés du marché en raison d'un risque de mortalité trop élevé. Risque de mortalité excessif. C'est tout. Le 7 décembre 2022, j'ai co-présidé une réunion au Sénat américain et notre groupe d'experts a conclu, par approbation du Sénat américain, que tous les vaccins COVID-19 devaient être retirés du marché. C’est bien tous. Pas de nouveaux vaccins de rappel. Et puis, le 23 mars 2023, l'Association des médecins et chirurgiens américains, une organisation objective, basée sur des faits, des preuves et un consensus, a conclu, tout comme les deux autres, qu'il fallait retirer les vaccins du marché. Je vous explique donc que les vaccins COVID-19, ainsi que tous leurs descendants et les futurs vaccins de rappel à usage humain, ne sont pas sûrs. Je vous demande, à vous, l'Agence européenne des médicaments, d'exercer toutes les pressions possibles pour retirer du marché les vaccins COVID-19 avec toute l'urgence requise. Aux États-Unis, ça va d'un État à l'autre. Il est probable que les différents États retireront les vaccins du marché si le gouvernement fédéral ne le fait pas. C'est ce qui va se passer. Ça se produira partout dans le monde. L'OMS est derrière ces vaccins. Ils sont bien plus un problème qu'une aide pour l'Union européenne. Et je pense que l'Union européenne, les États-Unis et tous les principaux groupes d'intérêt devraient se retirer complètement de l'OMS et la laisser à ses propres efforts afin qu'elle n'ait pas de juridiction ni de suprématie sur nos activités de santé publique. L'OMS n'aura jamais la domination sur ce que je fais, en tant que praticien, avec les patients dans mon cabinet. Je suis le Dr Peter McCullough. Je vous remercie de m'avoir invité.

de ug./avr.

Sources / Liens : Discours du Dr McCullough au Parlement européen le 13 sept. 2023 https://www.youtube.com/watch?v=1Pa9yZ9kwc0
Les vaccins Covid doivent être retirés du marché, demande le cardiologue et épidémiologiste McCullough https://transition-news.org/covid-impfstoffe-mussen-vom-markt-genommen-werden