Nouvelle-Zélande : avortements jusqu'à la naissance Qui est la ministre qui préconise cela ?

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22.09.2022 | www.kla.tv/23680

Lors d'une émission en direct le 28 juillet 2022, le Dr Bodo Schiffmann a déclaré que Jacinda Ardern, Première ministre de Nouvelle-Zélande, avait approuvé la loi sur l'avortement la plus extrême au monde. Les avortements seraient possibles pour n'importe quelle raison jusqu'à la naissance. Les bébés peuvent être tués sans analgésique jusqu'à la naissance et même pendant l'accouchement. Le Dr Bodo Schiffmann, spécialiste ORL, est l'un des experts en maladies infectieuses. Il a attiré l'attention de toute l'Allemagne à partir de mars 2020 en tant qu'observateur critique de la pandémie de COVID-19. Dans la vidéo, Schiffmann traduit une émission de la chaîne de télévision chrétienne américaine Daystar, la deuxième plus importante au monde. Schiffmann faisait référence à une rediffusion apparue sur Instagram le 28 juillet 2022. Qu'est-ce qui est vrai dans les déclarations selon lesquelles l'avortement en Nouvelle-Zélande serait possible « pour n'importe quelle raison - par exemple parce que le sexe ne convient pas - jusqu'à l'accouchement et même pendant l'accouchement » ? Le fait est qu'en mars 2020, le Parlement néo-zélandais a adopté la « Loi néo-zélandaise sur l'avortement 2020 ». Cette loi a supprimé l'avortement du code pénal de 1961 et traite l'avortement comme une « question de santé ». Les articles suivants sont controversés : Article 10 : « Un médecin qualifié peut offrir des services d'avortement à une femme dont la grossesse n'excède pas 20 semaines. » Article 11 : « Après la vingtième semaine de grossesse, un médecin ne peut proposer d'avorter à une femme que s'il le juge cliniquement approprié et s'il consulte au moins un autre médecin qualifié. » Le 18 mars 2020, le quotidien américain « The New York Times » a commenté ainsi la loi néo-zélandaise sur l'avortement qui a été adoptée : « La loi ne précise toutefois pas ce qui est considéré comme « cliniquement approprié ». Elle dit simplement que le médecin doit consulter au moins un autre collègue et prendre en compte « toutes les normes légales, professionnelles et éthiques pertinentes », la santé physique et mentale de la femme, son « bien-être général » et l'âge du fœtus. Agnes Loheni, une députée du Parti national qui s'est opposée au projet de loi, a déclaré : « Ainsi, l'avortement est autorisé jusqu'au moment de la naissance. C'est une période large, mal définie, vague, qui ne tient pas compte de l'enfant à naître. » C'est ce que dit le New York Times. La doctoresse néo-zélandaise Catherine Hallagan a également déclaré que « la notion de bien-être » [...] est si vaste que pratiquement toutes les justifications possibles (pour un avortement) pourraient être acceptables. » D'ailleurs, la Première ministre Jacinda Ardern a soutenu la suppression de l'avortement du code pénal et a voté en mars 2020 en faveur de la Loi sur la législation de l’avortement. La question de savoir si la loi néo-zélandaise sur l'avortement de 2020 est la plus extrême au monde reste ouverte. D'autres pays comme le Canada, les Pays-Bas et certains États australiens autorisent également l'avortement jusqu'à la 24e semaine de grossesse ou plus tard sur demande. Les formulations citées par Schiffmann peuvent paraître exagérées et ne figurent pas dans la loi néo-zélandaise sur l'avortement. Pourtant, il s'agit bien de possibilités qui ne sont pas explicitement interdites par la loi néo-zélandaise sur l'avortement. Concernant la déclaration de Schiffmann selon laquelle le sexe pourrait être une raison d'avortement, le New York Times a écrit : « La loi n'interdit pas l'avortement à des fins de sélection du sexe, mais déclare que le Parlement s'oppose à cette pratique. Le Parlement ordonne au gouvernement d'étudier la question dans les cinq ans. » projet « International Family News » a écrit le 8 juillet 2021 que depuis l'introduction de la loi sur l'avortement, les avortements tardifs ont augmenté de 43 % en Nouvelle-Zélande : Au moins 120 bébés auraient été avortés après la vingtième semaine ou plus tard. Le nombre de cas non recensés est probablement bien plus élevé. Il faut se rendre compte qu'à ce moment-là, le cœur de l'enfant bat depuis des semaines et que tous les organes sont déjà en place et fonctionnels - même s'ils sont encore immatures. Avec l'aide de la médecine intensive, les prématurés sont même capables de survivre dès la 22e semaine de grossesse, c'est-à-dire à partir du 5e mois de grossesse. Une étudiante en médecine a rapporté qu'un bébé né vivant après l'échec d'un avortement tardif avait été abandonné à une mort atroce sans assistance médicale, avant de décéder deux heures plus tard. En effet, depuis mars 2020, la Nouvelle-Zélande n'a plus l'obligation légale de sauver les fœtus avortés avant-terme. Un amendement du député Simon O'Connor, selon lequel les bébés nés vivants après un avortement raté doivent obligatoirement recevoir des soins médicaux, a été rejeté par plus de deux tiers des députés néo-zélandais. Tout particulièrement par la Première ministre Jacinda Ardern. Il semble donc que l'affirmation de Schiffmann est vraie, selon laquelle les bébés peuvent être tués même pendant la naissance ! Mais regardez ensuite la vidéo de sept minutes de Bodo Schiffmann et faites-vous votre propre opinion. Quels sont les intérêts et les objectifs d'une première ministre qui refuse les soins médicaux obligatoire aux bébés nés vivants et qui, notons-le, est elle-même mère d'une petite fille de quatre ans ? On sait que Jacinda Ardern poursuit des objectifs mondialistes. En 2014, elle a été nommée Young Global Leader par le Forum Economique Mondial. Selon ses propres termes, il s'agit de « jeunes leaders exceptionnels qui façonnent l'avenir mondial ». On sait également qu'elle a prononcé un discours lors d'une fête universitaire des francs-maçons néo-zélandais en 2017 et qu'elle a visité la plus grande société d'investissement au monde, BlackRock, à New York, pendant la crise du Covid. Le magazine économique Bloomberg a décrit BlackRock comme le quatrième bras du gouvernement américain, car c'est la seule entité non gouvernementale à entretenir des relations étroites avec les banques centrales. On sait également que Jacinda Ardern appliquait une politique rigoureuse du Covid et préconisait une « société à deux vitesses » entre les vaccinés et les non vaccinés. Suite à une lettre de médecins et de scientifiques néo-zélandais demandant une enquête sur les décès survenus après vaccination Covid, la Première ministre Jacinda Ardern a déclaré que le gouvernement était « la seule source de vérité ». Le groupe de médecins a publié une base de données de 500 décès proches de la vaccination, qu'il a également transmise aux autorités chargées de l'enquête. Tous les moyens semblent bons à Jacinda Ardern pour faire avancer les intérêts et les objectifs mondialistes derrière tout cela. Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir nous communiquer toute information utile à la clarification de la situation. Vidéo du Dr. Bodo Schiffmann : La Nouvelle-Zélande dispose désormais de la loi sur l'avortement la plus abominable au monde Nous sommes le jeudi 28 juillet 2022 et il s'agit de Jacinda Ardern, la Première ministre d'Australie. Celle-ci a fait passer une loi qui permet de tuer des bébés jusqu'à la naissance ou même pendant le processus de naissance pour n'importe quelle raison, par exemple une fente labio-palatine, un pied bot ou parce que le sexe ne convient pas. Et c'est incroyable, je vais vous le traduire, il suffit d'écouter. « Donc la Première ministre de Nouvelle-Zélande - et nous vous aimons, Néo-Zélandais. Oui, nous à New York et à Seattle, nous vous aimons. - C'est elle, donc elle a approuvé la loi sur l'avortement la plus extrême du monde : Jacinda Ardern, la Première ministre de Nouvelle-Zélande, chef du gouvernement. L'avortement est désormais possible sur demande, pour n'importe quelle raison, jusqu'à la naissance. Vous verrez plus tard, au-delà. Les avortements en raison du sexe seront autorisés. Cela signifie - que si tu découvres que tu as un garçon et que tu voulais en fait une fille, tu peux avorter du bébé. (Ou) si tu as une fille et que tu veux un garçon. » Et l'objection de l'autre journaliste était : « C'est ridicule. C'est un meurtre, » – dit le présentateur masculin. « Et la limite de 20 semaines pour les handicaps », c'est-à-dire que l'on peut avorter un enfant jusqu'à la 20e semaine de grossesse si l'on se rend compte qu'il a un handicap physique grave, « est jetée à la poubelle et l'avortement est autorisé jusqu'à la naissance. Et ce, même en cas de handicap comme un pied bot, une fente labio-palatine ou une trisomie. Il n'est même pas exigé qu'un médecin pratique cet avortement. C'est donc complètement fou. Combien de femmes vont mourir rien que pour ça ? » Là, on ne parle plus d'enfants. « Et il n'y a pas non plus de disposition légale prévoyant que si un enfant naît vivant après un avortement raté, on le sauve ou qu'on lui apporte une aide médicale... Il n'existe pas non plus de disposition légale prescrivant de soulager ou supprimer la douleur de ces bébés après l'âge de 20 semaines et pendant l'accouchement. » Donc un enfant peut être tué jusqu'à sa naissance, même entre la 20e semaine de grossesse et la naissance proprement dite, sans qu'on lui administre au moins des analgésiques par exemple. « Et ils peuvent déjà ressentir la douleur pendant cette période. » Bien sûr, ils sont complètement développés, ils sentent tout, ce sont des bébés viables. « Et il n'y a pas non plus de restriction pour les méthodes d'avortement qui font l'objet de controverses, comme la 'dilatation intacte' ». La « dilatation et extraction intacte » signifie que vous entrez dans l'utérus avec une pince, vous attrapez les pieds du bébé, vous sortez le bébé de l'utérus les pieds en premier. Ensuite, la tête reste naturellement coincée. Alors, on y va avec un couteau et une ventouse, on ouvre le trou occipital et on aspire le cerveau, pour que la tête entière s'effondre ensuite et soit retirée. » Je vais me mettre à pleurer ici, sincèrement. « Et « avortement partiel à la naissance » signifie ceci : on attend que des parties de l'enfant soient nées, comme la tête, et on les enlève ensuite. En quelque sorte, on coupe, on arrache, tout ce qu’on veut. Donc l'enfant vient déjà au monde, la tête dépasse déjà légèrement et ensuite on le tue ou on le découpe en morceaux.

de dd.

Sources / Liens : Video von Bodo Schiffmann https://www.youtube.com/watch?v=2kfUujZmlLE
RightToLife News https://righttolife.org.uk/news/nz-pm-rushes-worlds-most-extreme-abortion-law-into-law-while-country-distracted-with-pandemic
Bodo Schiffmann https://whoswho.de/bio/bodo-schiffmann.html
Abtreibung in Neuseeland https://en.wikipedia.org/wiki/Abortion_in_New_Zealand#Abortion_Legislation_Act_2020
New Zealand Eases Abortion Restrictions https://www.nytimes.com/2020/03/18/world/australia/new-zealand-abortion.html
Abtreibungen als „Gesundheitsfrage“ https://www.ief.at/von-straftat-zur-gesundheitsleistung/
De facto Kindermord: die grausamen Gepflogenheiten bei ungewollten Neugeborenen in Neuseeland https://ifamnews.com/de/lebend-geboren-und-zum-sterben-allein-gelassen
2014 zum Young Global Leader ernannt https://de.wikipedia.org/wiki/Jacinda_Ardern
2017 an einer Universitäts-Feier der neuseeländischen Freimaurer https://freemasonsnz.org/galleries
NZ Prime Minister Jacinda Ardern visits BlackRock https://www.youtube.com/watch?v=SOlx83zqhG0
Neuseeland sei auf dem Weg, eine „Zweiklassengesellschaft“ zu werden https://uncutnews.ch/hat-klaus-schwab-eine-armee-von-davoser-ja-sagern-geschaffen-um-seinen-great-reset-zu-erleichtern/
Die Regierung sei „die einzige Quelle der Wahrheit” https://report24.news/neuseelands-premierministerin-die-regierung-ist-ihre-einzige-quelle-der-wahrheit/