Probabilité de 98% d’un lien entre les vaccins Covid et la surmortalité

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17.02.2022 | www.kla.tv/21665

L'industrie pharmaceutique, la politique et les principaux médias continuent d’occulter les effets secondaires massifs, les conséquences à long terme et les décès dus aux vaccins Covid-19. Pourtant, à intervalles de plus en plus rapprochés, des informations effrayantes et choquantes, que les médias taisent avec véhémence, sont révélées au public. Ainsi par exemple, le fait troublant que la qualité des lots de vaccins qui sont mis sur le marché n’est nullement constante et inoffensive. Au contraire, environ 5 % des vaccins provoquent des effets secondaires très graves et des décès en raison d'une composition particulière, de sorte que toute la campagne de vaccination Covid-19 est un jeu à haut risque avec le hasard. Cette roulette russe avec le vaccin Covid se traduit désormais aussi par une augmentation massive de maladies après des campagnes de vaccination, par exemple dans l'armée américaine. Chez les soldats, jeunes pour la plupart, le nombre de cancers diagnostiqués a augmenté de 200 % rien qu'au cours des 11 premiers mois de l'année 2021. Les fausses couches ont augmenté d'environ 300 %. Les problèmes neurologiques, qui peuvent notamment affecter les pilotes, ont même connu une hausse de 1 000 %. Mais ce n'est pas tout : des scientifiques ont maintenant réussi à établir un lien entre l'augmentation anormale des décès et le nombre de vaccins administrés. Ce lien n'est pas évident à première vue, car les personnes vaccinées sont encore considérées comme non vaccinées pendant les 14 jours suivant leur vaccination. Les décès dus à la vaccination sont donc faussement inclus dans les statistiques des personnes non vaccinées au cours de ces 14 jours. Le professeur Kuhbandner a étudié les décès survenus dans les deux semaines suivant la vaccination. Il rapporte que l'augmentation des décès se recouvre quasiment dans 98 % des cas avec l'augmentation des vaccinations ! La seule conclusion logique, médicale, juridique et éthique qui s'impose est, par conséquent, que toutes les vaccinations Covid doivent être arrêtées immédiatement et qu'une enquête publique doit enfin être lancée par des scientifiques indépendants. La courte vidéo ci-dessous présente ces faits de manière très claire. Getippter Text (Video) Jamais encore l'Allemagne n'avait connu une telle campagne de vaccination de masse comme au cours des 13 derniers mois. Jusqu'à présent, plus de 130 millions de vaccins COVID ont été administrés. Bien que le terme même de "vaccination" soit trompeur, car il s'agit d'un principe entièrement nouveau où seules des informations génétiques sont injectées et la substance active proprement dite – les protéines spike des virus SRAS-CoV-2 – n'est produite que dans le corps des personnes. Dans le cas du nouveau variant Omicron en particulier, il apparaît clairement qu'une autre caractéristique de vaccins normaux fait totalement défaut : l'efficacité. Les personnes vaccinées ne sont pas protégées contre les infections et elles peuvent également transmettre les virus. Toutefois, il s'agit ici de la sécurité de ces prétendus "vaccins". Le contrôle des cette sécurité incombe à l'Institut Paul-Ehrlich. Selon le dernier rapport de sécurité disponible, plus de 113 000 cas suspects d'effets secondaires liés à ces vaccins ont été signalés à l'autorité jusqu'à présent, dont près de 2 000 décès. Le président de l'Institut, Klaus Cichutek, a expliqué que ces décès n'avaient généralement aucun lien avec les vaccins Covid. Pour vérifier si les vaccins entraînent un risque de mortalité accru, l'institut applique une analyse dite "observée contre attendue". Celle-ci consiste à comparer les décès déclarés avec le nombre de décès statistiquement attendus dans le groupe vacciné. Selon l'autorité, ce calcul ne donne aucun signal d'une augmentation globale de la mortalité après une vaccination COVID. D'un point de vue scientifique, cette méthode de contrôle est extrêmement discutable tant que seule une fraction des décès survenant après une vaccination est considérée comme un cas de suspicion de dommage dû à cette vaccination et signalée à l'autorité. En particulier lorsqu'il s'agit de personnes âgées ayant des antécédents médicaux. D‘autres pays ont également donné l‘alerte de manière similaire. En analysant les données anglaises, un groupe de statisticiens renommés de l'Université de Londres a remarqué quelque chose de très étrange : La courbe orange désigne ce que l'on appelle la mortalité toutes causes confondues, c'est-à-dire le taux de mortalité global dans le groupe de la population vaccinée. La courbe bleue indique le taux de mortalité chez les personnes non vaccinées dans les différents groupes d'âge. Le pic du risque de mortalité coïncide quasiment toujours avec la date des vaccinations. Les campagnes de vaccination ont commencé au début de l'année 2021 en Angleterre. Dans un premier temps, ce sont surtout les personnes de plus de 80 ans qui ont été vaccinées. Dans ce groupe d'âge, la courbe de mortalité des personnes non vaccinées atteint son pic fin janvier. Les septuagénaires ont été vaccinés en moyenne un mois plus tard, et les décès montrent un maximum fin février. Enfin, en mars, c'est au tour des personnes de 60 ans, et là aussi, le risque de mortalité des personnes non vaccinées augmente de manière parallèle. Un effet complètement absurde ! Car pourquoi les campagnes de vaccination COVID devraient-elles avoir un effet sur le risque de mortalité des personnes non vaccinées ? Les scientifiques ont été très étonnés de constater que les personnes ne sont considérées comme "vaccinées" que si leur vaccination remonte à au moins 14 jours. Les décès survenant dans les deux semaines suivant la vaccination ont donc été attribués aux personnes non vaccinées. Selon eux, l'explication la plus probable de cet étrange effet est l'attribution systématique et erronée des décès de la catégorie des vaccinés à celle des non vaccinés. Les scientifiques anglais concluent que les vaccins ne réduisent pas la mortalité globale, mais en entraînent plutôt une véritable augmentation peu après la vaccination. Le scientifique bavarois Christof Kuhbandner est professeur de psychologie à l'université de Ratisbonne et expert reconnu en méthodes statistiques. Lorsqu'il a lu l'étude anglaise, il a décidé de vérifier s'il existe un effet similaire en Allemagne. Comme la classification entre "vaccinés" et "non vaccinés" est au moins aussi peu fiable en Allemagne qu'en Angleterre, Kuhbandner a décidé d'utiliser deux ensembles de données simples, mais statistiquement claires pour son analyse : les chiffres de mortalité de l'Office fédéral de la statistique ainsi que les chiffres publiés par l'Institut Robert Koch sur les vaccinations effectuées quotidiennement en Allemagne. La courbe rouge montre les décès de l'année 2021, qui chutent fortement en début d'année après le pic de la vague d'infection hivernale. Mais lorsque les primo-vaccinations commencent, la tendance s'inverse et la courbe des décès augmente parallèlement, avec un court intervalle de temps par rapport aux vaccinations. Le même effet est observé pour les deuxièmes vaccinations, qui culminent à l'été 21, et de manière particulièrement impressionnante pour les vaccinations de rappel, qui démarrent vraiment en octobre. La courbe de mortalité rouge de l'année 2021 est nettement supérieure à la moyenne des années précédentes. L'analyse pour la semaine 47 montre 4 788 décès de plus. Cela représente environ 700 décès par jour. Plus de la moitié d'entre eux sont des décès non-Covid, selon le RKI. "C'est comme si un Jumbo s'écrasait chaque jour", avait déclaré Markus Söder en faisant une comparaison frappante des chiffres de décès Covid à fin novembre 2020. Si les soupçons de Kuhbandner se confirment, il en va désormais de même pour les décès après vaccination. Les zones marquées en rouge montrent l'augmentation des décès liés au Covid en 2021 par rapport à la même période de l'année précédente. Cela ne plaide pas non plus en faveur des vaccins lorsque la maladie contre laquelle on a vacciné est plus fréquente au lieu d'être plus rare. Nous voyons ici les décès non liés à la vaccination, marqués en rouge. A partir du milieu de l'année environ, le nombre de décès dus à des causes non liées au Covid a nettement augmenté par rapport à l'année précédente. Or, on sait que la corrélation seule ne signifie pas la causalité. Kuhbandner a donc utilisé différentes méthodes statistiques pour évaluer le lien de causalité. L'une de ces méthodes est l'analyse individuelle des Länder allemands à l'exemple des primo-vaccinations. Ici, des particularités régionales apparaissent, par exemple dans les différents rythmes de vaccination. Même des pics isolés, par exemple lorsque l'approvisionnement en vaccins a varié, sont visibles. Kuhbandner a calculé une valeur de corrélation de 0,98. Une valeur mathématiquement plus élevée n'est guère possible, car le maximum est de 1 et désigne par exemple la probabilité qu'un stylo à bille que l'on lâche tombe sur le sol. Outre la primo-vaccination, la deuxième et la troisième injection ont également un impact immédiat sur le nombre de décès dans le Land, comme le montre ici l'exemple de la Sarre. Une comparaison entre Israël, l'Allemagne et l'Autriche est particulièrement frappante. Les courbes supérieures montrent la surmortalité et les lignes pointillées inférieures le nombre de vaccinations de rappel. On constate qu'en Israël, où le pic est atteint dès le mois d'août avec les rappels, la courbe de mortalité augmente parallèlement. On constate la même chose en Autriche, où le rythme de vaccination est plus élevé qu'en Allemagne, et où la courbe de mortalité grimpe également. Christof Kuhbandner a envoyé ses analyses aux autorités sanitaires il y a plusieurs semaines déjà. L'institut Paul-Ehrlich ne s'est pas manifesté du tout. L'Institut Robert Koch a répondu qu'il n'avait pas la capacité d'examiner et d'évaluer ces données. Le scientifique bavarois prépare maintenant, avec une équipe internationale, une publication dans une revue spécialisée. Mais un tel travail prend du temps et, si ses soupçons se confirmaient, des milliers de personnes continueront de mourir chaque jour en Europe des suites de la vaccination. C'est pourquoi il s'adresse désormais au public et met à disposition toutes ses données et analyses afin qu'elles puissent être vérifiées. La situation est alarmante et un débat public sur les éventuelles conséquences négatives des vaccins Covid n'a jamais été aussi urgent. Poursuivre maintenant les vaccinations sans examiner soigneusement la surmortalité et, de surcroît, coupler cela à une vaccination obligatoire pour les professionnels de la santé ou, comme en Autriche pour l'ensemble de la population, serait non seulement négligent, mais criminel.

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Sources / Liens : VAERS: vaersanalysis.info/2022/01/21/vaers-summary-for-covid-19-vaccines-through-01-14-2022/ Eudra Vigilance/EMA: www.ema.europa.eu/en/human-regulatory/overview/public-health-threats/coronavirus-disease-covid-19/treatments-vaccines/vaccines-covid-19/safety-covid-19-vaccines
US-Militär-Datenbank DMED: https://tkp.at/2022/01/26/massive-steigerung-von-erkrankungen-als-folge-der-impfkampagne-beim-us-militaer/
Prof. Kuhbandner: https://odysee.com/@NUMBERS:9/NUMBERS-10_final:3