Christoph Hörstel : Fraude électorale aux États-Unis ?

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11.12.2020 | www.kla.tv/17737

Bonjour Mesdames et Messieurs. Bienvenue dans mes bureaux. Nous sommes le jeudi 12 novembre 2020 et il est midi. Je m'adresse à vous aujourd'hui avec deux sujets importants, et chacun de ces deux sujets aurait suffi à produire toute une émission. Mais regardons maintenant les détails. Tout d'abord, le sujet des États-Unis et le sujet de la fraude électorale, bien sûr. Si vous vous demandez pourquoi je ne me suis pas occupé de cette affaire jusqu'à présent, il y a une réponse claire à cela. Je n'ai tout simplement pas cru les indices de la falsification du vote. C’est tout simplement parce que le président américain Trump a si souvent raconté des absurdités ces dernières années, et a également préconisé des actions politiques inutiles avec des arguments inutiles, que je suis devenu pendant son mandat un peu prudent à propos de ses actions et aussi de sa personne. Mais il est clair qu'il y a plus en jeu ici. Il s'agit du droit du peuple américain à des élections libres et équitables, et j'en dirai plus à ce sujet dans un instant. Et au début il y a aussi quelque chose qui ne m'a pas beaucoup encouragé à m'occuper de ce sujet, c'est cette absurdité que les fans de Trump répandent, c'est vraiment passionnant. Le cher oncle Père Noël Donald est un peu... comment dire… hors norme. Ces fans ont raconté qu’il aurait mené, avec l'aide de l'armée américaine, une vaste opération de nettoyage parmi les enfants abusés. Ce qui serait formidable, sans aucun doute. Mais en fait il s'agirait de dizaines de milliers d'enfants libérés de certains tunnels à travers le monde. Tout cela est exempt de documents et de preuves. C'est difficile à avaler. Et enfin, il y aurait une opération secrète avec des caractères secrets sur les bulletins de vote qui permettraient de tracer chaque bulletin de vote. Et chers téléspectateurs, c'est exactement la raison pour laquelle les marquages secrets sur les bulletins de vote sont interdits par écrit et par la loi dans tous les pays démocratiques. Vous ne pouvez pas faire ça, afin de ne pas être tracé. Maintenant si ses fans pensent faire de la pub à Trump en racontant qu’il a fait ça, ils lui rendent un mauvais service. Mais qui va le remarquer dans une communauté qui est prête à croire n'importe quoi à cause de Trump ? Tout cela vous dérange si vous vous engagez à respecter la procédure décente lors des élections présidentielles aux États-Unis, par exemple. Mais aussi, bien sûr, lors des élections en Allemagne, qui ne sont pas si différentes et où les falsifications sont aussi habituelles, et bien sûr, rien n'est signalé, c’est clair. Quoi qu'il en soit, pour obtenir des informations ici et de meilleures informations que celles que j'ai trouvées sur Internet, je me suis naturellement tourné vers l'ambassade des États-Unis. Mais c'était comme d'habitude. Il y a par exemple l'attaché militaire adjoint, « le capitaine Mike Quinkie », et il ne bouge pas du tout. J'ai son numéro de téléphone portable, mais ça ne m'aide pas du tout. Ou même le bureau de presse avec Christina Higgins : Là aussi rien ne bouge. J'ai réussi à joindre une ancienne collaboratrice sur son portable, elle a gentiment promis de faire quelque chose, mais sans résultat. Je vais suivre cette affaire parce que je ne conçois pas que ce soit ainsi. Et par ailleurs, je vais faire part à la Maison Blanche que l’ambassade ne travaille pas correctement. Il faut qu’elle sache cela par rapport à une question aussi existentielle de la démocratie américaine. Car c'est de ça qu'il s'agit. En tout cas, on ne peut pas nier les faits. C'est évident. La quasi-totalité des grands réseaux de télévision et des chaînes de télévision américaines retiennent les informations concernant des erreurs et des fraudes lors de l'élection présidentielle, qui pourraient nuire à la prise de pouvoir de M. Biden, évidemment. L'avocat de Trump et ancien maire de New York Rudy Giuliani en tout cas dit : « Nous publions trois fois par jour de nouvelles preuves de fraude électorale et personne ne le relate ». Il finit par tweeter : « Oui, les preuves affluent, et les témoins apparemment aussi. » Fox News s’est également montré hostile, mais n'a pas pu arrêter Rudy Giuliani dans une interview en direct. Monsieur Giuliani lui-même est également controversé pour plusieurs raisons. Mais ça n’y change rien, c'est lui l'avocat, nous devons donc travailler avec ses faits. Si nous vérifions la propreté de chacun d'entre eux, nous risquons en fin de compte de ne pouvoir travailler avec aucun des hommes ou des femmes éminents. En tout cas, l'expérience de ces choses, lorsque les réseaux se comportent de manière si hostile et ne rapportent… ou comment dire, essaient de tirer sur une personne dans une interview et de la stopper dans son flux de paroles alors qu'elle met sur la table des faits qui touchent à l'intérêt fondamental des USA, et ce de la part d'une source réputée, car il s'agit de l'avocat du président des États-Unis d'Amérique, alors je ne peux que dire que d'après mon expérience, l'État profond est derrière tout cela. Sinon on ne ferait pas ça comme ça, car on ne se sentirait pas assez en sécurité. Et maintenant les derniers sondages... c'est très intéressant. Ces informations datent d'il y a 24 heures : 72 % soit près des trois quarts des républicains estiment qu’on a « tripoté » les voix (« fumbled with » en anglais). 77 %, donc plus des trois quarts des républicains pensent que l’élection n'a été ni libre ni équitable. Et donc c’est évident, il s'agit d'une question nationale sérieuse pour les États-Unis. 78 % des républicains pensent que la raison des résultats électoraux tordus se trouve dans le vote par e-mail, c'est-à-dire la possibilité de voter par e-mail. Ça a été largement utilisé, bien que ça ait été introduit juste avant et avec une sécurité insuffisante. Et cette hypothèse est quand même très probable et doit être vérifiée de toute urgence. Et c'est précisément à cette vérification que ce soustraient les États et les districts gouvernés par les démocrates. Examinons le bilan au niveau des États fédéraux. Ce n'est pas aussi lisse et simple qu'on nous le présente. L'Alaska a maintenant déclaré officiellement et définitivement son soutien à Trump. Il n'y a que trois grands électeurs, donc ce n’est pas très important. Mais la Caroline du Nord avec 15 grands électeurs est également dans les mains de Trump, mais pas encore officiellement, bien que l'avance y soit énorme et ne puisse être rattrapée par Biden. En Géorgie, le recomptage est définitivement décidé. Là, il y a 16 grands électeurs et l'avance est infime. La Pennsylvanie suivra sans doute. Rudy Giuliani à lui seul, l'avocat de Donald a donc mis en avant 300 000 votes douteux. Il y a un énorme acte d'accusation dont je vais tout à l’heure vous citer un extrait. L’Arizona et le Wisconsin sont tout juste du côté de Biden, et il y a de bonnes probabilités de changement si on voulait vérifier correctement cela. Et ça représente 75 grands électeurs. Si ça réussit, Trump en aura 289, ce qui signifie qu'il pourrait ne pas avoir besoin des votes de l'Arizona ou du Wisconsin et avoir encore la victoire électorale. Et c'est pourquoi il faut examiner ces choses, car elles peuvent changer l'histoire. Et, soit dit en passant, cela concerne l'Allemagne. Parce qu'avec Biden vient vers nous un verrouillage total alors qu’avec Trump, nous pourrions y échapper. Ça peut être aussi banal que cela. Les preuves de cet acte d'accusation de 105 pages en Pennsylvanie sont une horreur, je ne peux pas le dire autrement. Bien entendu, les déclarations et les preuves doivent être rendues juridiquement utilisables (contraignantes). Mais nous avons entendu dans une interview à la télévision le très influent sénateur Lindsey Graham, d'ailleurs très sioniste, qui a dit : « La Pennsylvanie a l'habitude de truquer les élections. » Ce n'est pas un sénateur particulièrement gentil dont je pourrais approuver le travail de quelque façon que ce soit. Mais sur ce point, il faut lui donner raison. C'est délicat. Et puis il y a quelque chose de nouveau, il y a un « Project Veritas », ce qui signifie « Projet Vérité » traduit de l'anglais et du latin, et on devrait le garder devant les yeux. On y trouve le héros des derniers jours, le facteur Richard Hopkins d’Erie en Pennsylvanie. Il a entendu des superviseurs le jour de l'élection pendant le dépouillement parler de la façon dont les votes arrivés le 4 novembre étaient antidatés du 3 novembre jour de l’élection. Et il y avait là un vote qui par mégarde, en quelque sorte, n'avait pas été antidaté, et c’est de cela que les gens parlaient. Cela montre également que l'anti datage des voix était une routine dans ce lieu. Et maintenant, ce facteur va avoir des ennuis avec son travail, peut-être qu'il sera viré, etc. Et c'est comme souvent, mes chers, un homme simple qui a tout à perdre, qui n'a aucun pouvoir. Il prend tous les risques en devenant dénonciateur, et il est même officiellement interrogé par le FBI qui publie ensuite qu’il a changé d'avis. Mais dans une interview publique Hopkins déclare devant la caméra : « Non, je n'ai pas changé d'avis, c'était bien ainsi. » C'est ce qu'il a fait en collaboration avec le chef du "Project Veritas". Et j'ai vu ça, c'est vraiment impressionnant comme il assume sa cause. Très clair et très bref, un homme simple et direct. C'est un héros ! C'est ça l’héroïsme. Et puis je jette un coup d'œil à l'introduction de cet acte d’accusation, il y a sous le point 2 : Les responsables ont violé leurs devoirs de manière extrême. Presque tous les points critiques du processus de dépouillement et de l'élection sont, pour ainsi dire, entourés de secret. Oui, on en fait un mystère. Ensuite, au point 3 : Les districts à majorité démocrate ont, dans la mesure du possible, soustrait les votes par courrier électronique à tout contrôle. Puis au point 4 : Les districts d'Allegheny et de Philadelphie, sont des districts avec une forte majorité démocrate. Il devient également évident que la Pennsylvanie a admis les votes par courrier électronique pour la première fois fin 2019. Et puis, ces districts à eux seuls ont reçu 682 000 votes par e-mail qu’ils n’ont pas fait contrôler. L'ensemble de la procédure est illégal de A à Z. Nous nous souvenons, et c’est également clairement indiqué dans l’acte d’accusation, que normalement on se rend aux urnes et qu'on y vote en personne. Et au cours des dernières décennies, ça a été de plus en plus libéralisé. Au début, le vote par correspondance n'était en fait autorisé que pour les troupes militaires absentes ou les personnes malades, et ensuite il a été mis au choix de tous d’une manière générale. Et donc on a maintenant le choix de voter par e-mail. Et ça ce n’est pas la volonté de l’inventeur, car la question de la sécurité est très importante. Je dirais juste : « Tous les grands services secrets sur cette terre de Dieu, et même les plus petits, examinent le sujet de la falsification des e-mails et la manière dont cela peut être fait. Et ils falsifient tout. » Ils envoient des e-mails en votre nom et vous ne pouvez pas prouver que ce n'est pas vous qui l’avait envoyé, car on l’a entre-temps enregistré sur votre compte. C'est la réalité pure et dure. Et puis, au point 5, ils disent que les observateurs électoraux étaient trop éloignés de l'action. Ils ne pouvaient pratiquement rien voir. C'était aussi le but de l'affaire. Et maintenant, ça devient vraiment grave. Certains d'entre eux ont été complètement exclus de l'élection et n'ont pas été autorisés à y participer. Et lorsqu'ils ont dit : « Mais nous en avons le droit », et ont fait mine d'entrer, la police a menacés de les arrêter s'ils ne s'arrêtaient pas là où ils étaient censés s'arrêter, à savoir sans accès au dépouillement et au contrôle des votes. Ça c’est vraiment grave. C'est ce qui s'est passé en Pennsylvanie. Mais il y a des plaintes semblables ailleurs. Sur un total de 6,75 millions de votes en Pennsylvanie, 2,6 millions étaient des votes par e-mail ou par correspondance, et les électeurs des districts démocrates ont été favorisés, en ce sens qu'ils ont été autorisés à corriger rétroactivement les erreurs dans les votes par e-mail ou par correspondance. Il n'y a eu ni supervision ni contrôle à la réception, à l'ouverture et à l'enregistrement de ces votes. Enfin, le droit des électeurs de détruire leur vote par courrier ou par mail et de revoter eux-mêmes n’a pas été respecté, même si un vote avait été reçu sous leur nom mais qu’ils niaient l'avoir exprimé comme tel. Imaginez un peu cela : Vous vous rendez au bureau de vote et on vous dit : « Non, vous avez déjà voté, voici votre vote par correspondance. » « Non, je n'ai pas fait ça. Désolé, ce n'est pas mon vote. » « Ça ne change rien, vous ne pouvez quand même plus voter. » C'est dingue. Complètement dingue ! Ensuite, des masses de bulletins de vote par correspondance non sollicités ont été envoyés. Jusqu'à cinq par personne. Incroyable, non ! Et sans même avoir fait de démarches ! Pouvez-vous imaginer ça ? Non, moi non plus. En effet, il se trouve que des masses de demandes de vote par correspondance, de documents remplis, etc. ont été retrouvés dans des poubelles. Il y a des vidéos là-dessus aujourd’hui. Donald Trump l'a dit lors de son premier débat présidentiel avec Joe Biden, qu'on trouve ces bulletins dans les rivières. On y a même trouvé trois bulletins de vote portant le nom de Trump. Et voici donc le problème, et c'est l'article 77 du code électoral qui régit ce vote par correspondance comme une règle de base. Incroyable ! C'est tout simplement très, très négligent. Et le cartel des médias dans le monde entier ment à ce sujet, tout comme il ment au sujet du coronavirus et de la fausse pandémie bidon. C'est très flagrant ! C'est une véritable salade. Et les politiciens du cartel donnent vraiment de la crédibilité au fraudeur électoral Biden ; particulièrement la Chancelière allemande, qui samedi a félicité Biden pour l'élection – c’est complètement fou ! N'avons-nous pas récemment fait une erreur au Venezuela, parce que nous avons supposé que le candidat de la CIA, Guaido, était celui avec lequel il fallait compter. Maintenant qu'il a échoué, c’est comme si rien n'était bon, oui, il peut vraiment se pendre, le pauvre homme. Personne n'a plus besoin de lui. Et c'est comme ça, les présidents des États-Unis ne sont pas faits présidents par les médias ou par des félicitations des politiciens, surtout pas au travers des félicitations de politiciens corrompus du cartel, mais sur la base du droit et des votes électoraux des États-Unis d'Amérique ! C’est aussi simple que ça. Et le procureur général des États-Unis, M. Barr, a annoncé la révision, partout où ça se justifie .Et pour la Pennsylvanie il grand temps. D'après ce que j'ai pu observer, la Pennsylvanie est un atelier habituel de fraude électorale. C'est ça la réalité. Et il est étonnant que ces choses ne soient connues que progressivement, parce que je réalise aussi moi-même qu'il y a eu une habitude insidieuse de ne pas prendre au sérieux les remarques réellement justifiées du président ou de l'administration américaine, parce que, comme je l'ai dit, ils ont tous deux souvent dits des bêtises dans le passé. Je ne peux pas dire ça autrement, désolé, mais nous devons être justes sur ce sujet : L'élection doit rester une élection, même si un président a eu un mandat partiellement douteux – et sur d’autres plans, c’est cependant très bon. Ça aussi il faut le dire. Je me souviens de deux choses que j'ai dites à maintes reprises : Trump a annoncé pendant la campagne électorale qu'il souhaitait de meilleures relations avec la Russie et qu'il voulait donc rencontrer le président russe Poutine dès que possible ; ce qu'il n'a pas pu faire pendant un an et demi. Et deux fois, le président américain Donald Trump a annoncé qu'il voulait inviter son homologue russe Poutine à la Maison Blanche et qu'il n'était toujours pas autorisé à le faire. Et cela répond très bien à la question de savoir qui gouverne aux États-Unis : surement pas Trump, mais l'État profond ! Et Trump s’est battu sur différentes plans avec l'État profond. C'est probablement ce qu’on fait quand on ne veut pas se faire abattre comme John F. Kennedy. En tout cas, si Biden vient au pouvoir, il est clair que les États-Unis vont rejoindre l'Accord de Paris sur le changement climatique et qu'ils vont réintégrer« l'Organisation de lutte contre la maladie détenue par Gates », surnommée OMS ; si ça continue aux États-Unis, ce qui nous menace c’est un chaos non seulement aux États-Unis, mais un chaos mondial. Et la justice est heureusement aveugle, elle ne s’intéresse pas à une coiffure présidentielle bizarre, mais elle dit : quels sont les faits dans cette élection ? N'est-ce pas ? Et nous devons nous préparer à des difficultés considérables – tous – tant que ces choses ne seront pas réglées aux États-Unis. Elles sont de plus en plus assainies, et pour certains États le comptage n’est pas entièrement terminé, comme l'Arizona ou la Géorgie – en Géorgie, comme je l'ai dit, le recomptage a été décidé de toute façon. C'est parce qu'ils essaient maintenant comme des fous de sauver d'une manière ou d'une autre le résultat officiel actuel des élections en Georgie et en Arizonna, bien qu’il soit incomplet mais en faveur de Biden dans ces deux cas, pour Biden dans ces cas-là. Il sera intéressant de voir si on peut enfin commencer à compter correctement, à traiter le bug des courriels, et à organiser éventuellement de nouvelles élections dans cet État.

de ch.

Sources/Liens : Lien vers l'émission de Christoph Hörstel : https://youtu.be/J5fabKsYAaU
En savoir plus sur Christoph Hörstel : https://christoph-hörstel.de/
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