Cui bono - comment les experts indépendants évaluent l'actuelle pandémie de coronavirus

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24.03.2020 | www.kla.tv/15965

Le coronavirus fait parler de lui comme presque aucun autre sujet au cours de ces dernières décennies. Presque tout le monde en subit les effets. Que ce soit à l'école, au travail, dans les transports publics, au supermarché et dans bien d'autres domaines. Si l'on compare les taux de mortalité des différents pays avec ceux des années précédentes, aucune augmentation de ces taux n'a encore été observée. Jusqu'à présent le nombre de décès depuis le début de l'année est plus faible en 2020 qu'au cours de la même période en 2018, et pour cette raison on ne peut s'empêcher de se demander s'il n'y a pas quelque chose d'autre derrière cet alarmisme que ce qui apparaît en superficie. Il est utile de réfléchir pour examiner les raisons cachées : Cui bono - qui pourrait profiter d'une pandémie mondiale avec des restrictions aussi drastiques que celles actuellement en vigueur ? Kla.tv a posé ses questions à divers experts indépendants, afin de dresser une image actuelle aussi complète que possible, sur la base de leurs différents points de vue : « Qui pourrait bénéficier de cet alarmisme ? Qu'y a-t-il derrière tout cela ? Quel pourrait en être le but ?». Voici d'abord l'évaluation du journaliste et auteur Gerhard Wisnewski : « Cela sert aux structures de commandement globales que nous voyons de plus en plus clairement devant nous. Et pour le reconnaître, nous devons examiner le cas non seulement sur le plan médical, mais aussi sur le plan politique. Si nous regardons ces mesures qui nous sont conseillées et qui sont de plus en plus strictes, c'est-à-dire d'abord plus de rassemblements de plus de 1 000 personnes, puis pas plus de 100 personnes, puis pas plus de 50 personnes. Soudainement, en Autriche ou en Allemagne - je crois - pas plus de cinq personnes ne peuvent se réunir. Les gens ne doivent alors quitter leur domicile que pour des raisons importantes, avec une sorte de laissez-passer qu'ils doivent fournir eux-mêmes, une déclaration sur l’honneur. Cela nous est présenté comme une mesure d'hygiène contre un virus contagieux. Mais lorsque nous, les politologues, nous examinons cette question, nous voyons autre chose. Nous constatons l'état d'urgence et la loi martiale. Il en va de même en cas d'état d'urgence ou sous la loi martiale : les gens sont soumis à un couvre-feu, on n’autorise pas plus de trois personnes à se réunir, après une certaines heure toutes sortes de lieux sont fermés. Il s'agit d'une loi typique d’un temps de guerre ou d'une loi d'exception. En d'autres termes, la soi-disant Organisation mondiale de la Santé, que je préfère appeler le gouvernement mondial de la santé, a déclaré l'état d'urgence dans le monde entier et a privé tous les peuples de leurs droits et libertés civils. En d'autres termes c'est un coup d'État qui vient d'en haut, et du plus haut rang. Beaucoup ne savent pas que seules quelques lois (allemandes) sont encore décidées en Allemagne. La plupart d'entre elles viennent de l'UE ou de l'ONU. C'est ainsi que cela fonctionne, l'Allemagne ou l'Autriche ou la Suisse, elles adhèrent à un accord des Nations Unies, s'engagent à prendre certaines mesures et s'engagent à les appliquer dans les lois nationales. Il s'agit d'un processus législatif. Et même si certains accords stipulent qu'ils ne sont pas contraignants, on peut observer dans le passé qu'ils ont été mis en œuvre au niveau national. Ce n'est qu’un leurre. Cela signifie donc que nous sommes confrontés à un coup d'État de cette structure mondiale des Nations Unies, ainsi que de ses financiers. Je viens de lire que sans la Fondation Bill Gates, l'Organisation mondiale de la Santé serait en fait ruinée. Si c'est le cas, si c'était vrai, alors nous avons un autre mécanisme, un mécanisme de commandement privé, comme le dit le dicton, celui qui paie commande. Bill Gates lui-même et la Fondation Bill Gates sont très engagés dans ce qu’on appelle la santé, c’est-à-dire dans le commerce de la vaccination, dans le commerce des vaccins. Et ce commerce, c’est bien leur but. Parce que nous avons une opération en deux parties ici. Je parlais juste de la situation politique. J'en viens maintenant à l'opération psychologique. Cela commence par l'enfer. J'ai imprimé ici la une du journal Bild. Si vous la regardez, elle est jaune flamme. Des menaces et des prédictions incroyables. Et en même temps on dit aux gens ce qu’ils doivent avoir dans leur armoire à pharmacie ! Cela signifie qu’on fait déjà du business avec cette histoire ! C'est l'enfer qui nous est prophétisé et on va nous y laisser mijoter pendant quelques mois. Et puis vient la délivrance. Et la délivrance est, bien sûr, le vaccin. Tout le monde poussera un soupir de soulagement : il existe enfin un vaccin qui nous libérera de cet enfer. Mais médicalement cet enfer n'existe pas, il n'existe que psychologiquement. Les médias nous mettent la pression jusqu'à ce que nous soyons prêts pour le vaccin. L’industrie pharmaceutique va se faire un paquet de fric. La question est de savoir s'il cela leur suffira, qu’on leur achète le matériel, les vaccins, ou s'ils insisteront sur la vaccination obligatoire. » Kla-tv: Les gouvernements nationaux coopèrent étonnamment bien avec cette ONU. Comment pouvez-vous comprendre cela ? Wisnewski : C'est très intéressant, nous le voyons pour la première fois, nous l'avions déjà vu auparavant, cet organe de commandement global ou structure de commandement global. Mais nous n'avons jamais vu un cas aussi abrupt, parfait et vivant qu’avec ce virus, ce cas Coronavirus. Tout le monde jusqu'au dernier mini-État peut observer le fonctionnement de ces structures globales et en ressentir les effets. Vous pouvez regarder dans n'importe quel pays. On peut voir partout cette panique du coronavirus et les mesures totalitaires. Cela signifie que nous voyons cette structure de commandement mondial devant nous comme jamais auparavant. C'est pourquoi j'ai également parlé de cette terrifiante démonstration de puissance, qui est en fait capable non seulement de contrôler le monde entier, mais aussi de le placer en état d'urgence et de priver tous les peuples de leurs droits à la liberté. Oui, et il y a un troisième aspect, bien plus puissant, à la question de savoir qui en bénéficie. C'est la crise économique mondiale qui s’installe. Depuis des années, au moins depuis 2007, première période de récession, les experts mettent en garde contre l'inévitable effondrement mondial, la crise économique mondiale. Cette crise est devenue de plus en plus imminente. Les États sont devenus complètement endettés. Les intérêts sont tombés à zéro pour cent ou même moins. Il n'y a donc plus de marge de manœuvre pour l'argent bon marché dont disposent les banques centrales. Et maintenant, nous avons atteint le fond, pour ainsi dire. Je vois donc cela comme une tentative d'anticiper cet effondrement et de le faire se produire de manière pratiquement contrôlée, en étranglant complètement l'économie mondiale avec les mesures totalitaires que j'ai mentionnées. Cela représente des billions de dollars de dommages. Notre ministre de l'économie, M. Altmeier, a parlé d’un peu plus de 500 milliards d'euros de subventions qu'il mettrait à disposition. Cela ne serait jamais suffisant. Rien qu'en Allemagne, il y aura probablement des billions de dommages et bien plus encore dans le monde entier. En d'autres termes, je pense que, d'une part, on essaie maintenant de contrôler les gens afin de les maîtriser dans cet effondrement. Et aussi pour gérer cet effondrement de manière ordonnée, pour ainsi dire. Finalement pour qu’on se réveille dans un nouveau système. Kla.TV : Suit notre entretien avec l'expert du Moyen-Orient, et fondateur ainsi que président du parti Neue Mitte, Christoph Hörstel : Christoph Hörstel : Oui, ces questions sont - malheureusement, on ne peut que le dire - relativement claires : à qui cela profite-t-il ? Cela aussi est déjà clair, cela sert notre mafia pharmaceutique mondiale bien connue, un cartel d'entreprises dont les ventes se chiffrent en dizaines de milliards de dollars chaque année. Si vous y réfléchissez un peu, je pense que vous arriverez à la conclusion qu'un moyen de faire l'argent, ce n'est probablement pas par un service aux personnes sérieux et compatissant mais que d'autres choses sont nécessaires. Et ces autres choses, c’est d’inventer des médicaments qui rendent les gens malades, qui n’améliorent pas la santé mais qui la mettent plutôt en danger. Il y a eu des plaisanteries à ce sujet à maintes reprises au cours des dernières décennies, mais aujourd'hui, plus personne ne rit. Et le fait est que manifestement ce cartel a pénétré dans les institutions, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les instituts universitaires et ainsi de suite, comment dirais-je, qu'il s'est frayé un chemin à travers ses lobbyistes et son personnel, qui peuvent être achetés tout simplement en leur offrant de faire des discours bien payés qu'ils font et encaissent ensuite 20 000 dollars ou euros par heure. En quelque sorte cet argent ne reflète pas ce que cet homme ou cette femme peut dire de grandiose, et cela les Clinton, mais aussi un Gerhard Schröder le savent ! Et cela passe comme frais généraux, pour ainsi dire des pots-de-vin payés avec effet rétroactif. Alors, que se passe-t-il ? Ces personnes ont fait une réunion anticipée le 18 octobre 2019, ils ont simulé un syndrome pulmonaire à corona virus, c'est comme ça que ça s'appelle, un CAPS, C-A-P-S… qu’ils ont joué à New York dans un hôtel ; il y avait des caméras et ils ont présenté les différents participants ... Il y avait aussi un participant chinois. Non pas que l'on pense que la Chine est complètement innocente et qu'elle est frappée par de mauvais Américains. Non, un Chinois d'une organisation de santé s'est assis à la table avec un ancien assistant d’un homme de la CIA à la Maison Blanche, donc tous des hauts placés, mais pas officiellement... Ce n'est pas le directeur adjoint de la CIA ou quelque chose comme ça, mais quelqu'un qui a déjà exercé cette profession. Il y avait aussi un haut placé de la Lufthansa, d'ailleurs. En d'autres termes, nous pouvons supposer que Mme Merkel était au courant. Ces choses sont claires. Quinze personnes, plus quelques autres en arrière-plan, ont fait valoir que cette épidémie de coronavirus, qui a été démontrée dans le cas simulé, s'est développée plus lentement que l'épidémie actuelle, mais qu'elle causerait 65 millions de morts. Et lorsque l’épidémie de coronavirus a réellement débuté en Chine, l'université John Hopkins s'est empressée d'expliquer que cela ne correspondait pas au cas simulé de ce qui se passe en Chine et qu'on supposait un nombre de morts très élevé. Cette explication est toujours présente sur Internet aujourd'hui, tout comme la liste complète. Il y a une dame, par exemple, une Mme Jane Halton d'Australie, elle est membre du conseil d'administration de l'ANC, de la Banque d'Australie et de Nouvelle Zélande. C'est la quatrième plus grande dame en Australie. Elle était auparavant, avouons-le, ministre des finances et ministre de la santé, l'un après l'autre, bien sûr, au sein du cabinet australien. Donc si vous avez des questions, sur la façon dont le cartel mondial des entreprises de santé est lié à la mafia financière, au cartel mondial des institutions financières et des banques, vous pouvez le voir chez une telle personne, dans une telle réunion. Il y avait d'autres institutions financières. Tout cela est très, très intéressant et ils gagneront énormément d'argent ! Kla.TV : Et qui, si je peux intervenir, mais qui organise une telle chose ? Qui invite à une telle chose ? Christoph Hörstel : Je pense que c'est dans le plan global. L'objectif est assez clair : il s'agit d'un soi-disant nouvel ordre mondial, un new world order, il s’agit là d’un gouvernement global qui règne sur tout. Et des choses comme l'Union européenne ou les États-Unis d'Amérique sont déjà des solutions intermédiaires sur la voie de la réalisation de cet objectif. Nous, Européens, en sommes particulièrement conscients. Après tout en tant qu'Union européenne, nous avons été fondés uniquement parce que l'Union européenne est, pour ainsi dire, liée à Washington et doit lui obéir. Elle est maintenant un peu désintégrée ou un peu perturbée par M. Trump et les tiraillements qui l'entourent. Mais ça ne signifie pas que tout le plan a disparu ou quelque chose de ce genre, mais seulement que l'État dit profond, qui commande aux États-Unis et qui empêche M. Trump, par exemple, de retirer ses troupes d'Afghanistan et de Syrie ou, comme cela a été expliqué à deux reprises, d'inviter M. Poutine à la Maison Blanche. Mais il ne peut pas faire ça ! Il ne doit pas le faire ! Vous ne pouvez pas voir plus clairement qui commande réellement à Washington. Ces gens disent ensuite aux Européens et aux autres pays dans quelle direction aller. Dans ce contexte, on montre clairement comment faire pour que la population - et cela s'adresse aux brebis endormies parmi nous, qui ne sont toujours pas réveillées aujourd'hui - comment faire pour que la population obéisse de bonne foi, même aux directives gouvernementales les plus absurdes. C'est seulement de cela qu’il s’agit. Toutes ces mesures sont efficaces. Elles maintiennent la population dans la peur et l'anxiété et aussi dans une certaine obéissance. Et c'est ce que veulent les gouvernements, et une telle épidémie est tout simplement fantastique ! Kla.TV : Beaucoup de gens ne sont pas nécessairement dans la plus grande panique à propos du virus, mais beaucoup ont maintenant peur des conséquences économiques de ces mesures… douteuses, comme vous l'avez dit plus tôt, prises par le gouvernement, maintenant aussi en Allemagne. Aujourd'hui, on a dit dans les nouvelles : Les magasins sont désormais fermés, à l'exception des épiceries, des pharmacies, etc. Que pensez-vous de cela, économiquement ? Quelles en seront les conséquences pour nous ? Christoph Hörstel : Le fait est que c’est relativement peu coûteux, c'est-à-dire pas des mesures répressives, sans… comment dirais-je… cogner aux portes des gens à 5 heures du matin ou les traîner dans un camp de prisonniers, comme c'était la coutume sous Staline, et en utilisant simplement la pression économique et sociale pour forcer la population à obéir. Et toute cette frénésie autour du coronavirus convient parfaitement à cela. Je voudrais juste dire deux choses très brèves à ce sujet, afin que nous sachions où nous en sommes : Si vous n'aviez pas peur de la grippe, vous n'avez pas besoin d’avoir peur du coronavirus. C'est un point. Et l'autre point est que celui qui vit en bonne santé, qui prend des vitamines, fait du sport… les célèbres aides... je les ai énumérées, ainsi que les miennes, sur mon site web « Christoph Hörstel ». J'en ai parlé dans ma rubrique hebdomadaire sur ma page Youtube. La dernière s'intitulait « La conspiration du coronavirus ». Cela en dit long. On amène la population à obéir mais la population peut faire quelque chose contre ! Et c’est ce qu’ils font de plus en plus parce qu'ils se rendent compte que c’est fou, ce qui se passe ! Comment en est-on arrivé là à cause de quelques cas non expliqués d’un certain quelque chose… on ne sait pas exactement ce que c'est... Puis on commence à faire des recherches et on se dit : toute la théorie des virus de notre médecine officielle n'est qu'une hypothèse de travail. Cette hypothèse présente un défaut, un petit défaut, mais qui est grave : elle n'est pas prouvée ! Et cela montre clairement ce que les entreprises veulent vraiment : Faire de l'argent, faire de l'argent ! Et ça fonctionne avec l’épidémie. Cette situation est particulièrement préjudiciable à l'économie de la classe moyenne. Et que ceux-là apprennent à obéir et à supporter ces dommages – c’est le privé qui paye les dégâts, même si Mme Merkel propose maintenant des prêts, comme elle l'a encore fait aujourd'hui – ça ne veut pas dire qu'il s'agisse de cadeaux, mais ces prêts, ils doivent être remboursés, ce qui est en fait une autre obligation. Même les entreprises saines et sans dette peuvent être livrées à notre cartel financier de cette manière, notamment par le biais des intérêts, par exemple, par des exigences de remboursement. Voilà les choses telles qu’elles sont. Et la population est obligée d'obéir, si nécessaire par la force, la police. Et on y arrive très bien avec le coronavirus ! C'est pourquoi c'est un remède tout à fait bienvenu. C'est la raison pour laquelle une rencontre préalable a eu lieu. Et quand je regarde tout ça, j’ai l’impression qu'avec le coronavirus nous avons maintenant une propagation plus rapide et moins de décès, c’est déjà une conséquence de cette rencontre préalable du 18 octobre 2019 à New York par l'Université Johns Hopkins et son Institut pour la sécurité sanitaire, car ils viennent de le remarquer : Oups, il y a trop de gens qui meurent. Ce n'est pas favorable, et les personnes à l'origine d'un tel événement, par exemple Bill Gates avec sa Fondation Bill & Melinda Gates et d'autres grands donateurs, ils disent : D'accord, il va falloir réajuster un peu. C'est ce qu'ils ont fait maintenant : une propagation plus rapide – avec moins de morts. Kla.TV : Peter Koenig, économiste et analyste en géostratégie, évalue ainsi les interrelations autour de la pandémie de coronavirus : Peter Koenig : « Après la proclamation officielle de la pandémie de l'OMS, la première étape a consisté à semer la panique. Tous les jours quasiment à chaque minute les médias parlent du coronavirus / COVID19 ; annonçant les derniers chiffres de nouveaux cas et de décès. Le COVID19 n'est jamais comparé à la grippe commune annuelle récurrente, qui tue bien plus de personnes que le coronavirus. Nous observons donc tout d'abord comment se comporte la population en panique. Les personnes en état de panique sont généralement obéissantes et vulnérables, et peuvent être plus facilement manipulées par les autorités. Ils peuvent même crier et exiger des vaccinations pour réduire leur peur. Dans le cas contraire, l'étape suivante, sur recommandation de l'OMS ou de pays individuels, pourrait être la « vaccination obligatoire » sous surveillance policière et/ou militaire [...]. Si effectivement une vaccination obligatoire arrive, alors les gens ne sauront pas quelle sorte de cocktail du vaccin leur sera injectée. Peut-être un tueur lent qui ne sera pas actif avant plusieurs années - ou un agent d'affaiblissement du cerveau ou un gène qui rend les femmes stériles ... tout est possible - dans le but de réduire drastiquement la population. Une autre hypothèse est qu'une nanopuce est injectée en même temps que la vaccination, éventuellement sans que la personne vaccinée le sache. Toutes les données personnelles pourraient être chargées à distance sur la puce, y compris les données de santé et les comptes bancaires. Ainsi, la panique de la pandémie contribue à l'application du peu connu Agenda ID2020 - qui vise à introduire une preuve d'identité numérique mondiale pour tous les peuples. La Fondation Bill et Melinda Gates, l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI), l'OMS, la Banque mondiale, d'autres agences des Nations unies, l'industrie pharmaceutique et des ONG sont à l'origine de cet Agenda ID2020. Il s'agit d'un contrôle total sur la population humaine et ce, dès que possible. Ce contrôle est déjà effectué par un ordre mondial unique, dans le cadre duquel l'Agenda ID2020 fonctionne également. Il permet à l'élite relativement restreinte qui est derrière ce contrôle de réduire considérablement la population mondiale, de sorte que ceux qui en font partie, en particulier les participants de l'Agenda ID2020 comme les plus grands financiers : le groupe Rothschild, Rockefeller, Morgan, les géants pharmaceutiques, etc. - de pouvoir vivre plus longtemps et mieux avec les ressources restantes de la Terre Mère ; et d’ introduire un nouveau paradigme économique mondial, car l'économie du dollar est en fin de vie et doit être remplacée dès que possible par un système néocapitaliste encore plus radical, avant que la Chine ne prenne officiellement le dessus sur le dollar. Il n'est jamais trop tard pour se réveiller. Pour nous tenir en haleine, il faut qu'on nous mente constamment. Les mensonges deviennent de plus en plus schizophrènes et ne connaissent pas de limites. Pour atteindre l'objectif de la petite « élite noire » - « État profond », ou quel que soit le nom qu'on lui donne - on ne recule même pas devant une pandémie mondiale artificiellement implantée. Si nous sommes prêts à dénoncer ces mensonges, à les reconnaître et à redécouvrir le sens de la solidarité et de la charité, de la cohésion, de l'entraide, nous pouvons relativement rapidement transformer la puissance des ténèbres en puissance de la lumière, et nous sauver, ainsi que la Terre Mère.... » Kal.TV Voilà comment l'expert financier et économique Ernst Wolff évalue la crise du coronavirus : Ersnt Wolff : « La crise du coronavirus est entrée dans sa deuxième phase ces derniers jours. Au cours de la première phase, nous avons vu comment les politiciens et les autorités n'ont pas pris le problème au sérieux, l'ont minimisé et ne nous ont pas préparés de quelque manière que ce soit à une pandémie, malgré les avertissements urgents des médecins et des scientifiques. Dans la deuxième phase, nous vivons un mélange d'absurdité, de réactions hystériques excessives et d'incompétence sans limite. À première vue, tout cela semble chaotique, mais il y a de la méthode. Quiconque prend la peine de suivre la piste des forces à l'œuvre ici en apprendra beaucoup sur le rôle de la politique dans la démocratie parlementaire. Lorsque le virus est apparu, qu’il s'est propagé lentement et qu’il a commencé à devenir un facteur de perturbation pour l'économie, le principal intérêt de l'élite financière a été de continuer à pousser les marchés financiers vers de nouveaux sommets, comme ils l'ont fait au cours des 11 dernières années, et de poursuivre l'orgie d'enrichissement de ces dernières années sans être dérangés. Le monde politique les a fortement soutenus dans cette entreprise, en minimisant et en banalisant la pandémie qui se profilait à l'horizon ; sans tenir compte du fait que des dizaines de milliers de personnes étaient progressivement infectées, que plusieurs milliers de personnes étaient mortes et que des scientifiques sérieux mettaient en garde de toute urgence contre toute banalisation. Mais il est alors devenu évident que la pandémie allait prendre des proportions sans précédent, mettant l'économie et les marchés financiers en détresse existentielle. Les politiciens ont réagi en changeant radicalement de cap et en passant du mode de pacification et d'apaisement à un mode de surmultiplication complètement hystérique. Pourquoi ? Parce qu'il est devenu évident que l'élite financière est en si grave difficulté cette fois-ci, qu’elle a besoin d'une redistribution de la base vers le sommet encore plus grande qu'en 2007/2008. Il est donc urgent de détourner l'attention du fait que les joueurs financiers les plus importants et les plus impitoyables fouillent à nouveau dans toutes nos poches avec l'aide des banques centrales… dans une mesure inimaginable. La semaine dernière, la banque centrale américaine, la Réserve fédérale, a promis à elle seule des prêts à Wall Street d'un montant de 1,5 billion de dollars pour compenser ses pertes. Quelques jours auparavant, la Maison Blanche avait demandé au Sénat 2,5 milliards pour combattre la crise du coronavirus. Le rapport entre les mesures sanitaires pour le bien-être de la population et les injections d'argent pour assainir les spéculateurs les plus décomplexés du casino financier était ainsi de 1 sur 600 rien qu'aux États-Unis la semaine dernière. Mais ce n'est pas tout. Dans le monde entier, depuis la crise de 2007/2008, les banques centrales ont créé de toutes pièces des billions et des billions et les ont mis à la disposition d'investisseurs ultra-riches à des taux d'intérêt faibles ou nuls. En même temps, cependant, les dépenses sociales ont été considérablement réduites en raison de la politique d'austérité [explication : politique de rigueur extrême] et les systèmes de santé ont été radicalement démantelés et dans certains cas complètement détruits. Actuellement, il n'y a pas un seul pays dans le monde qui soit suffisamment préparé à une pandémie. Et ce n'est pas tout non plus, car l'effondrement des marchés financiers en est encore à ses débuts. Lorsque la bulle des produits dérivés éclatera – et cela se produira dans les prochains jours ou les prochaines semaines – on ne pourra pas l'arrêter. Alors même 1,5 billion de dollars ne suffiront plus, les géants financiers déclarés « too big to fail » auront besoin de sommes bien plus importantes, et les recevront certainement. Mais dès que cela se produira, la situation deviendra extrêmement précaire, tant pour les politiciens que pour l'élite financière. En effet, il est d'ores et déjà prévisible que l'effondrement des systèmes de santé sous l'assaut des patients, fera prendre conscience à la population des doubles standards appliqués ici : d'énormes sommes d'argent pour l'élite financière et des aumônes misérables pour la santé de la majorité des personnes. C'est pourquoi les politiciens se préparent actuellement à un scénario bien pire que celui dont la plupart des gens sont conscients : La restriction totalement excessive des droits civils, la fermeture des frontières et l'implication toujours plus grande de l'armée ne servent pas à contenir le virus et donc à protéger la santé de la population, mais plutôt à la préparer à des conditions semblables à celles d'une guerre civile, dont l'apparition est inévitable compte tenu de l'effondrement complet de l'économie et du système financier qui s'annonce. En termes un peu plus clairs : Nous pouvons nous attendre dans un avenir proche à ce que les banques ferment et à ce que les chaînes d'approvisionnement et de vente au détail soient perturbées, ce qui entraînera un sous-approvisionnement de la population. Comme plus de 80 % de la population n'est actuellement pas du tout préparée, beaucoup se retrouveront bientôt sans argent et sans nourriture. Il en résultera des pillages, des protestations et des soulèvements. L'antidote de la politique : les opérations policières et militaires sur la base de décrets d'urgence. Si, malgré ces informations, quelqu'un s'accroche encore à l'idée que les politiciens et les autorités sont fondamentalement bien disposés envers nous tous, il devrait jeter un coup d'œil à l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Ces dernières semaines, cette sous-organisation des Nations unies a évité par tous les moyens d'annoncer une pandémie. Pourquoi ? Parce que ces dernières années, la Banque mondiale a émis des obligations pandémiques à l'intention de l'élite financière pour une valeur d'environ 100 milliards de dollars ; il faut savoir ce qui suit à ce sujet : Les obligations pandémiques, également appelées cat bonds, peuvent être achetées pour des montants de 250 000 dollars ou plus, elles rapportent entre 8 et 11 % d'intérêt et sont soumises aux conditions suivantes : en cas de déclenchement d'une pandémie, les investisseurs perdent tout leur engagement car il doit alors être utilisé pour atténuer les conséquences de la pandémie dans les pays pauvres. L'épidémie d'Ebola a déjà montré à quel point ces pays pauvres sont proches du cœur de l'OMS : à l'époque, malgré l’urgence, pas un seul centime n'a été versé aux pays pauvres, car l'épidémie n'a pas atteint le nombre de victimes nécessaire. Pas étonnant, donc, que cette fois-ci, l'OMS se soit lovée comme un ver pendant des semaines avant d’annoncer l'arrivée de la pandémie. On peut à juste titre douter que même une fraction de l'argent reçu aujourd'hui parvienne un jour aux systèmes de santé des pays pauvres. La leçon que l'on peut tirer des développements de ces derniers jours et dernières semaines est claire et simple et peut être résumée en une phrase : Le rôle de la politique dans la démocratie parlementaire n'est pas de servir le peuple et de le protéger en cas d'urgence, mais exclusivement d'aider l'élite financière à maintenir son pouvoir et à accroître encore sa prospérité déjà incommensurable, si nécessaire, au mépris de toutes les valeurs éthiques et humanitaires fondamentales, et par des mesures que le monde n'a connues jusqu'à présent que des régimes militaires et des dictatures fascistes ». Kla.TV : Barrie Trower, l’ancien employé de la Royal Navy britannique et expert en armes à micro-ondes, décrit comment il voit les corrélations avec le coronavirus : Dr. Barry Trower : Lorsque les micro-ondes s'attaquent à quelque chose de vivant, l'homéostasie est mise à l’épreuve ; c’est le mécanisme de régulation et de contrôle des paramètres biologiques du corps humain. Si vous avez un émetteur à 500 m, alors l'homéostasie est déjà active jour et nuit pour réparer votre corps. Cela dépend de votre état de santé, de votre alimentation, de votre âge, de nombreux autres facteurs, de la façon dont vous y faites face. Mais les micro-ondes vont lentement diminuer l'immunité de tous les êtres vivants. Pour autant que je sache, il existe 19 documents de recherche qui datent des années 1970. Il n'y a rien de nouveau dans la 5G. Les fréquences étaient déjà utilisées dans les années 60 et 70. La seule nouveauté, c'est le nom. Il n'y a rien de nouveau dans la 5G. Il y a un document, [...] je voudrais vous en lire un paragraphe. Et dans ce document… je pense qu'il est disponible sur Internet, il y a 111 références à la 5G, à la santé et à tous les autres G. Le titre de cet article est : « Le nouveau virus de l'empereur : Chine, 5G et la propagation du coronavirus de Wuhan » de Paul Raymond Doyon Il dit ici ce que moi et beaucoup d'autres savons déjà, à savoir qu'à Wuhan, en Chine, des antennes 5G supplémentaires ont été installées récemment - je pense environ 10 000 nouvelles antennes 5G. Wuhan est probablement la ville qui détient la plus grande proportion de 5G dans le monde [...] et c'est la ville qui a été touchée par le coronavirus. L'une des conclusions que tire cette homme, je voudrais le lire, est la suivante : Il se réfère ici à toutes les sources citées : « Toutes ces (sources) suggèrent que les radiations 5G pourraient avoir fortement aggravé la diffusion du virus COVID-19 et fortement augmenté la létalité des infections qu'il a causées » ; c'est de cela que je parlais. La bonne nouvelle est qu'il y a une forte probabilité que les personnes vivant dans des zones sans rayonnement 5G et évitant autant que possible les autres champs électromagnétiques échappent à l'ampleur de cette pandémie mondiale. D'après mon expérience, qui remonte à la guerre froide, je sais que la 5G a un effet sur le système immunitaire, comme cela a été constaté dans le cadre d'expériences. Je suppose, comme cet homme l'écrit également dans ce document, que la 5G aggrave ce qui serait normalement une simple pandémie de grippe ordinaire. La meilleure façon d'améliorer votre santé est de vous débarrasser de la 5G, de la 4G, du Wifi, de vous en débarrasser – vous pouvez toujours avoir tout ce que vous voulez - encore plus vite et mieux, avec plus d'informations. Il suffit de poser des câbles. C'est tout ce que vous avez à faire. Cela ne fait qu’éroder la marge de profit de l'industrie, l'industrie du sans-fil. Et je pense qu'il y a plus de 500 des plus grandes entreprises du monde, elles ne veulent vraiment pas perdre le billion d'euros de bénéfices. Tout peut être fortement sécurisé. Et sans les G, nous n'aurions probablement même pas à nous soucier du coronavirus. Cela existe depuis longtemps. Nous traiterions cela comme n'importe quelle autre grippe. Si on se débarrassait des micro-ondes et qu’on utilisait simplement le câble, on n’aurait pas ce problème. Kla.TV : Mais maintenant, voici une approche complètement différente. Le journaliste médical Hans Tolzin répond à nos questions avec une liste de 14 faits médicaux. Hans Tolzin : 1. Du point de vue de la médecine orthodoxe, il n'y a pas un seul agent pathogène qui puisse causer une maladie sans autres facteurs. La preuve : dans toute maladie infectieuse, il y a des personnes infectées en bonne santé qui ne tombent pas malades. Dans le cas de la rougeole, on appelle cela la « réponse silencieuse ». 90 % des personnes infectées par la polio ne présentent aucun symptôme, 99 % des personnes infectées par le HPV, 20 % et plus des personnes atteintes d’Ebola dans les zones forestières africaines ne présentent aucun symptôme. Il y a 80 ans déjà, le professeur allemand Bruzello avait découvert que 40 % de ses patients avaient l‘agent pathogène du tétanos dans leurs intestins. Et il soupçonnait qu'avec de meilleures méthodes de détection, la bactérie pouvait être trouvée chez tout le monde. Dans le cas du sida, il s'agit des « séropositifs à long terme », qui peuvent devenir des vieillards si la chimiothérapie n’a pas été pratiquée et si un mode de vie sain est maintenu. Ce phénomène concerne donc également ce qu‘on appelle le coronavirus. 2. Les personnes qui tombent réellement malades ou même mortellement malades sont uniquement celles qui sont concernées par d'autres facteurs, par exemple une maladie antérieure, la vieillesse, un empoisonnement, une carence en vitamines, l‘exposition à l’électrosmog, le stress psychologique, l'acidose, un niveau trop élevé de toxines dans le corps, etc. Cependant, ces facteurs supplémentaires sont complètement ignorés par la médecine conventionnelle. Il suffit de consulter le site de l'Institut Robert Koch pour voir les tableaux des diagnostics différentiels respectifs. Vous constaterez que pour une liste de symptômes comparables, les causes non bactériennes et non virales n'apparaissent pas du tout, ou, si elles existent, qu’elles n‘apparaissent que tout à la fin. Les facteurs possibles à Wuhan pourraient être l'extrême pollution de l'air et la récente extension de la technologie de téléphonie mobile 5G. Mais bien sûr, il faudrait que cela fasse l'objet d'une enquête appropriée et neutre. 3. Le problème est également que la corporation des virologues est aujourd'hui le grand prêtre moderne et qu'elle dispose d'une souveraineté interprétative absolue, médicale et actuellement aussi politique. Alors que dans le passé, c'est la peur du diable qui donnait le pouvoir aux prêtres catholiques, aujourd'hui, c'est la peur des pathogènes invisibles et omniprésents qui donne aux virologues (et avec cela j'inclus tous les microbiologistes) le pouvoir de déstabiliser le monde entier avec leur panique irrationnelle. Cela leur apporte de l'attention et des avantages de carrière, et c'est pourquoi il leur est difficile de s‘en abstenir. 4. Si un virologue revendique sa souveraineté interprétative en raison d'un test de laboratoire positif pour un virus, toutes les autres disciplines médicales doivent s‘y conformer, c'est-à-dire les toxicologues, les experts de la macrobiotique et les autres nutritionnistes, les médecins de l'environnement, les homéopathes, etc. Il n‘y a pas de diagnostic différentiel. Et cela fonctionne dans le monde entier. 5. L‘inexactitude officiellement admise des tests de laboratoire est une raison suffisante pour établir un diagnostic différentiel minutieux pour chaque patient et pour rechercher d'autres causes plausibles de maladie. Le fait que cela soit généralement omis est de la pure folie. 6. Je n'ai pas encore pris en compte le fait qu'un test positif pour un virus peut au mieux représenter une corrélation (= lien possible), mais pas automatiquement une causalité (= cause réelle de la maladie). Nous n'avons pas non plus encore discuté de la question de savoir si la détection de certains fragments d'ADN par des tests de laboratoire est réellement capable de détecter des virus spécifiques. Après tout, une grande partie de l'ADN viral est identique à l'ADN humain. Dans les tissus malades un nombre supérieur à la moyenne de cellules meurt. Ces débris cellulaires comprennent également des fragments d'ADN qu'un test de laboratoire ne peut pas distinguer des « virus ». Et nous n'avons pas encore discuté du fait que, selon l’épigénétique, une jeune science médicale, les cellules du corps communiquent au niveau génétique, c'est-à-dire qu'elles transfèrent constamment de l'ADN vers l‘intérieur et vers l‘extérieur. Nous devons donc faire face au mystère de ce qu'un tel test de laboratoire peut détecter exactement et de ce qu'il peut nous dire. 7. Le coronavirus présumé provient-il d'un laboratoire d'armes biologiques ? Jusqu'à présent, je n'ai vu aucune preuve ou même soupçon de preuve. Je pense que c'est très peu probable, car les virus sont des phénomènes naturels auxquels nos cellules corporelles font généralement très bien face. 8. S'agit-il d'une conspiration de l’autorité américaine pour les épidémies CDC ? Là aussi, je n'ai vu aucune preuve et je considère que c'est improbable pour la simple raison que de toute façon les États-Unis venaient de gagner la guerre commerciale avec la Chine. En attendant, je retire mon ancienne hypothèse selon laquelle le CDC aurait pu conspirer pour provoquer la grippe porcine. 9. Quel est alors le véritable contexte ? À mon avis, la véritable cause se trouve dans les modèles de croyances collectives basées sur la peur qui se manifestent par la suite. Tant que l'humanité ne dissoudra pas ces croyances, il y aura toujours de nouvelles prétendues pandémies. 10 Ce qui est positif c‘est que la crise actuelle, avec ses excès totalement irrationnels, est notre chance de pouvoir enfin examiner de plus près ces modèles de croyance et les éliminer. 11. Il y a bien sûr des bénéficiaires, comme l'OMS, qui utilise toutes les tactiques de peur pour améliorer son budget serré. 12. Que faire ? Il est important que nous, qui voyons à travers la matrice collective de la peur, nous restions calmes. Selon la devise des Alcooliques Anonymes : « Que Dieu me donne la sérénité d'accepter les choses que je ne peux pas changer, le courage de changer les choses que je peux changer et la sagesse de les distinguer les unes des autres ». Je dois me rappeler cela une douzaine de fois par jour en ce moment... 13 En outre, je recommande que toutes les personnes affectées par des restrictions des droits fondamentaux en rapport avec la panique liée aux coronavirus saisissent le tribunal administratif, car l'article 1 paragraphe 1 de la Loi fondamentale allemande exige une évaluation complète des avantages et des inconvénients dans le cas de telles restrictions. Le fait que cela n'ait pas été fait jusqu'à présent peut être facilement prouvé avec l'aide d'un avocat exercé au droit administratif. 14 En outre : jeter les chasseurs de virus de leur piédestal idolâtre et élever toutes les autres disciplines médicales au même niveau. Kla.TV : Les prochains jours, semaines et mois montreront si les évaluations des experts s'avèreront exactes et dans quelle mesure. En tout cas, nous avons clairement exposé l'état actuel des choses grâce à cette émission, et nous avons donc fait de notre mieux sur le plan journalistique et historique. Nous serons heureux de vous tenir au courant des mises à jour. Restez à l'écoute ! Encore une remarque importante : téléchargez cette émission ainsi que d'autres sur le sujet du coronavirus sur votre ordinateur. En ces temps de crise, nous ne savons pas combien de temps ils seront encore disponibles en ligne.

de hm.

Sources / Liens : https://kenfm.de/tagesdosis-16-3-2020-corona-virus-hinter-der-panikmache-steckt-methode/
https://www.globalresearch.ca/coronavirus-causes-effects-real-danger-agenda-id2020/5706153