La journée mondiale du sida. Le SIDA : une nouvelle maladie ?

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21.12.2014 | www.kla.tv/4899

C’est avec cinq jeunes homosexuels gravement malades qu’a débuté l’histoire du SIDA en 1981. Ils ont tous souffert d’une maladie pulmonaire causée par une maladie fongique, qui n’est généralement pas présente chez les hommes jeunes. Elle est plus fréquente chez les bébés qui présentent une déficience du système immunitaire, ou bien chez les personnes qui prennent des médicaments qui affaiblissent le système immunitaire. Le médecin et immunologiste américain Michael S. Gottlieb a examiné ces patients. Cependant Gottlieb était considéré comme très ambitieux ; il rêvait de rentrer dans les livres d’histoire comme le découvreur d’une nouvelle maladie. Peu après, le centre de contrôle des maladies des USA, le CDC (=Centre for Disease Control) a diffusé l’information qu’on se trouvait avec cette maladie devant un mystère absolu. Dans le bulletin hebdomadaire du CDC on a supposé que la maladie de ces cinq patients avait été causée par le contact sexuel et ainsi transmissible sexuellement. Mais en fait les cinq patients ne se connaissaient même pas. Ils n’avaient de contacts sexuels ni entre eux ni avec des connaissances communes. En fait, ce que les cinq hommes malades avaient en commun en tant que facteur de risque avait été complètement négligé lors de l’examen. En effet ils avaient tous consommé de la Live Style, une drogue très toxique bien connue et très répandue dans les milieux homosexuels. Il s’agit surtout des « Poppers », c’est-à-dire des nitrites d’amyle, qui sont absorbés dans l’organisme par inhalation. Ces drogues endommagent le système immunitaire, le matériel génétique, les poumons, le foie, le cœur et le cerveau. De plus elles sont très cancérigènes et provoquent des lésions nerveuses sévères. A cette époque-là il existait un bon nombre de documents de preuves qui pouvaient expliquer suffisamment le SIDA avec la prise de drogues toxiques et de médicaments et avec la dénutrition. Par exemple en décembre 1981 dans l’éditorial du New England Journal of Medicine, une des revues médicales les plus importantes, David Durack a posé la question suivante : Comment le SIDA pourrait-il être à ce point une nouvelle maladie, alors que les virus et l’homosexualité ont toujours existé ? Durack poursuit : il est beaucoup plus évident que les drogues Live Style représentent une cause possible. Dans le même numéro de la revue scientifique plusieurs autres articles ont été publiés, dans lesquels a été évoquée comme cause possible du SIDA la sollicitation exagérée de la santé par les excès et l’extravagance du mode de vie. L’expert du sida du CDC, Harry Haverkos a analysé en 1982 trois enquêtes menées sur des malades du sida. Il est arrivé de même au résultat suivant : des drogues comme les Poppers jouent un rôle important dans l’apparition de la maladie. Mais sa voix et d’autres voix semblables ont été ignorées. Le CDC s’est carrément durci sur la théorie de la contagion et ainsi sur l’objectif de trouver un virus mortel correspondant. D’autres données, qui confirmaient d’autres théories, ont été étouffées. En outre il est prouvé que le CDC a manipulé ses propres statistiques. De cette manière un pourcentage beaucoup trop bas de toxicomanes a été recensé pour la maladie. C’est seulement après une recherche minutieuse par John Lauritsen, un journaliste américain, que le CDC a admis qu’un tiers des patients pris en compte dans les statistiques comme homosexuels sidaïques étaient également toxicomanes. Mesdames et Messieurs, en raison de ces faits il est évident que le SIDA n’est pas une nouvelle maladie. Vous pouvez aussi regarder notre émission en allemand du 1er décembre 2013 « Le SIDA – en a-t-on identifié la cause ? » Nous vous tenons informés sur les questions de fond au sujet du SIDA. Dans notre émission en allemand du 2 décembre 2014 nous explorons la question : Où est la preuve d’un virus qui cause le SIDA ?

de Claudia H.

Sources/Liens : Livre „Virus-Wahn“ – Wie die Medizin-Industrie ständig Seuchen erfindet und auf Kosten der Allgemeinheit Milliarden-Profite macht, Torsten Engelbrecht, Claus Köhnlein