Appel à l'aide du Brésil – Une obligation vaccinale ne peut pas être plus cruelle (Interview de John Kage et du Dr. Chris Flowers)

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20.03.2025 | www.kla.tv/37027

[Interviewer :] Aujourd'hui, nous parlons à John Kage et au Dr Chris Flowers. John Kage est un militant de premier plan pour les libertés médicales au Brésil. Il est à la pointe des efforts pour protéger les enfants de la tyrannie médicale et pour informer le monde de ce que le gouvernement brésilien s'apprête à faire. Le Dr Chris Flowers est un radiologue universitaire à la retraite, auteur et relecteur pour des revues scientifiques. Il dirige les enquêtes médicales sur les documents de Pfizer par WarRoom/DailyClout. Ces enquêtes ont contraint Pfizer, par le biais d'une requête, à déclassifier les documents relatifs aux essais de vaccins. Son groupe a passé ces documents au crible avec des milliers de volontaires, dont de nombreux experts, afin d'en rendre le contenu public. Merci d'être avec nous aujourd'hui ! [John Kage :] Merci beaucoup, Kla.TV. C'est un plaisir d'être ici. Merci de nous donner l'occasion de parler de ce qui se passe ici au Brésil. [Interviewer :] Merveilleux. Nous sommes ravis et honorés. Commençons par vous, John. Donnez-nous un aperçu actualisé des exigences de vaccination Covid pour les jeunes enfants au Brésil, les bébés et les jeunes enfants. [John Kage :] Oui, ici au Brésil, nous venons de rendre obligatoire la vaccination des bébés de six mois à cinq ans pour qu'ils puissent aller à l'école. Mais c'est de pire en pire. En effet, si les parents refusent de faire vacciner leurs enfants avec la thérapie génique Covid, l'autorité de tutelle et le ministère public poursuivent les parents en justice et leur envoient une notification à cet effet. Et ici, au Brésil, je connais des parents qui doivent payer une amende de 30 000 dollars. D'autres mères se sont vu demander 1 000 dollars par jour. Et je connais une autre mère qui vient d'avoir quatre voitures de police devant sa maison. Ils ont emmené les enfants, quatre enfants, et leur ont administré sept vaccins le lendemain. Les enfants ont tous subi des dommages et des lésions. Cela se passe donc partout au Brésil. Mais à Santa Catarina et Paraná, il y a une coalition plus forte au sein du ministère public. C'est pourquoi j'y ai organisé ces deux auditions publiques. C'est fou. [Interviewer :] Donc vous dites que même si les parents peuvent éviter l'école d'une manière ou d'une autre, ça n'a plus d'importance. On emmènera leurs enfants. [John Kage :] Oui. Oui, oui, oui. Et maintenant ils poursuivent les parents. Maintenant, ils infligent une pénalité aux parents. Et ils disent que même s'ils payent l'amende, les enfants doivent être inoculés avec la thérapie génique. Sinon, ils poursuivront les parents en justice ou sépareront les parents de leurs enfants. C'est fou. Ce qui se passe ici au Brésil. Le Brésil est le seul pays au monde qui fait ça avec les enfants. [Interviewer :] Et ces montants en dollars que vous me citez seraient astronomiques aux États-Unis. J'imagine qu'au Brésil, c'est tout simplement..., je veux dire, il faut en rire. Personne ne peut se permettre de dépenser 1000 dollars par jour. [John Kage :] Oui. Le ministère public aussi - quand certains parents ont un certificat médical indiquant que l'enfant ne doit pas recevoir le vaccin Covid... [Interviewer :] Oui, un certificat de contre-indication. [John Kage :] Le ministère dit simplement : nous ne croyons pas au certificat de ce médecin. Vous devez donc faire vacciner votre enfant dans deux semaines - dans deux semaines. Dans le cas contraire, vous devrez payer ou nous vous poursuivrons en justice. Ils n'acceptent pas les recommandations des médecins. Ils ne les acceptent pas. [Interviewer :] Oui. On dirait les lois californiennes sur les stéroïdes. Et pensez-vous que le Brésil, par exemple, - qui que ce soit au plus haut niveau des mondialistes ou qui que ce soit derrière tout ça, - pensez-vous qu'ils utilisent le Brésil comme une sorte de cobaye ? Etes-vous les cobayes du monde ? [John Kage :] Oui, vous savez, le Brésil est malheureusement un précurseur de l'Agenda 2030. Au premier semestre de l'année dernière, notre ministre de l'Environnement et notre ministre de la Santé étaient à Davos pour le FEM et ils ont annoncé sur scène que le Brésil serait le champion de l'immunisation des populations et aussi de la lutte contre le changement climatique. À mon avis, c'est la raison pour laquelle ils pourchasser nos enfants ici. Car le Brésil sera la prochaine base du nouvel ordre mondial. Voilà la raison. [...] [Interviewer :] D'accord, Dr Flowers, vous avez donc de l'espoir. Avec le nouveau gouvernement, on est un peu optimiste quant à nos perspectives. [Dr Chris Flowers :] Je pense, oui, en partie, je dois être très clair ici : J'ai posé ma candidature à la FDA, peut-être sous la direction de Robert F. Kennedy Jr. Comme je mène des essais cliniques depuis plus de 40 ans, ma mission que j'ai en ce moment, c'est d'assurer une transparence radicale pour les essais cliniques. Une fois que nous aurons éliminé l'influence de Big Pharma dans la régulation de Big Pharma. Vous savez, tout le monde devrait avoir accès aux données cliniques, surtout quand le contribuable américain, c'est-à-dire vous et moi, nous avons payé pour le développement de ce produit Pfizer. De sorte qu'ils ne puissent plus dire : "Eh bien, c'est protégé, et nous devons d'abord récupérer notre argent, comme Big Pharma l'a toujours fait par le passé." Vous savez, je pense que les choses changent, et pour être clair, je pense que Robert F. Kennedy Jr. a un peu remué les choses lors des auditions que j'ai suivies de près. Et je pense qu'il y a peut-être de bons moments à venir, mais nous avons une très grande tâche à accomplir pour nettoyer le gâchis qui s'est produit au cours des nombreuses décennies pendant lesquelles Big Pharma avait essentiellement le contrôle des autorités de régulation. [Interviewer :] Oh, c'est fantastique de vous parler et de vous entendre dire que vous pourriez effectivement avoir un poste dans son domaine de compétence, parce que... [Dr Chris Flowers :] Disons que j'ai posé ma candidature parce que le mouvement MAHA a ouvert un portail après les élections pour encourager les personnes ayant de l'expérience à entrer au gouvernement. Des gens qui n'ont pas de conflits d'intérêts, pas de participation financière, et bien sûr avec mon passé de directeur du groupe War Room, le War Room de Steve Bannon. Le groupe a mené des enquêtes au cours des trois dernières années. Initialement dirigé par le Dr Naomi Wolf, mais le DailyClout et Naomi Wolf se sont retirés du projet le lundi 16 décembre, laissant derrière eux le peu d'entre nous qui restaient. Mais nous travaillons dur. Nous sommes en train de finaliser une lettre adressée au 'New England Journal of Medicine' demandant le document Pollack publié le lendemain de l'autorisation d'urgence. Nous avons demandé qu'elle soit vérifiée et retirée, car il s'agit d'une fausse information. Nous leur avons donné toutes les informations dont ils avaient besoin pour démontrer, à partir des propres documents de Pfizer, des documents d'origine que nous avons passés en revue, selon les propres termes de Pfizer, avec les données des essais cliniques, qu'ils avaient dissimulé des décès, qu'ils avaient dissimulé des autopsies. En gros, comme vous le savez, ils ont passé sous silence certains événements indésirables graves. En mars 2021, ils savaient déjà à très haut niveau ; ils ont discuté de la myocardite à la Maison Blanche avec Rochelle Walensky, alors directrice du CDC. Et ils ont élaboré une réponse sur la façon dont le gouvernement devait réagir, en disant en substance : Non, le vaccin était parfaitement sûr. Donc, juste après l'introduction, dans les deux ou trois mois, ils savaient, ils avaient la preuve, qui venait à l'origine des autorités sanitaires israéliennes, que la myocardite était un problème grave, surtout après la deuxième injection. Cela aurait donc dû conduire immédiatement à la suspension du projet jusqu'à ce que cela soit examiné, ce qui n'a évidemment pas été fait. [Interviewer :] Bon, je suppose que ce que vous venez de dire fera partie de votre discours aux représentants du gouvernement de Santa Catarina et du Paraná. Quel est l'essentiel, quel est le point fort de votre discours aujourd'hui et demain lors de ces conférences ? [Dr Chris Flowers :] Oui, l'essai clinique de Pfizer était fondamentalement un essai frauduleux. Ils n'ont pas transmis les résultats correctement. Il existe même des preuves qu'ils ont dissimulé au moins deux décès et, par conséquent, davantage de personnes sont mortes avec le vaccin Covid qu'avec les placebos. Si on avait dit ça au comité des vaccins, le VRBPAC [(Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee)], c'est-à-dire le comité de la FDA, et s'il s'agissait de médecins raisonnables, ils auraient tout de suite dit : Cette injection anti Covid ne fonctionne pas. Vous savez, il y a autant de personnes qui meurent, qu'elles reçoivent l'injection ou non. Qu'est-ce que ça vient faire ? C'est quoi cette histoire d'efficacité ? En d'autres mots, rien en fait. Donc, en gros, je rapporte l'essai clinique de Pfizer, ce dont nous avons parlé dans une revue scientifique en novembre 2023. C'était donc la preuve. Elle n'a jamais été réfutée parce qu'elle a été faite avec les propres mots de Pfizer à partir des documents sources d'origine. Et demain, je parlerai aussi des essais cliniques pédiatriques, qui ont encore une fois été très, très mal menés, puisque pratiquement tout le monde a eu le Covid, qu'ils aient reçu le vaccin ou non. Et la FDA a même exigé que les enfants de l'étude soient vaccinés une troisième fois, car cela n'avait pas fonctionné. Toute cette histoire d'étude, l'étude initiale sur laquelle tout était basé, était donc un faux. Elle a montré que les vaccins n'étaient pas efficaces. Les essais avec les enfants n'ont jamais complétement abouti. Il n'y avait aucune preuve d'un quelconque bénéfice de quelque nature que ce soit. Mais maintenant, bien sûr, nous savons, grâce à la pharmacovigilance, aux documents de l'Union européenne, au suivi de millions de personnes et aussi aux événements indésirables signalés dans le monde entier, que ces produits ne devraient pas être administrés. En effet, même dans les études pédiatriques, il s'est avéré que le seul avantage était de pouvoir développer des anticorps contre une certaine protéine Spike. La protéine Spike qu'ils ont développée correspondait au variant de Wuhan, le variant originel. Il n'a eu aucun effet sur les patients de la période d'Omicron. Donc, même si de nouveaux variants sont produits, vous savez, ce nouveau vaccin de rappel bivalent. Les anticorps qui sont produits ont en fait une durée de vie très, très courte. Ils n'ont pas d'impact parce que la plupart des gens sont infectés par un autre virus et que le virus ne cause pas de dommages sérieux. [Interviewer :] Oui. Surtout pour les enfants. Oui. [John Kage :] Oui, un groupe à faible risque. [Dr Chris Flowers :] Les enfants ne meurent pas du Covid. Point. Et pour toute intervention sur un enfant, il faut s'assurer qu'il n'y a pas de risques ou que les risques sont minimes. Et cela n'empêche pas d'attraper la maladie. Ça n'empêche pas non plus la contagion, qu'on ne contamine pas la grand-mère. Il n'y a donc aucune raison logique. Il n'y a pas de raison scientifique à la vaccination contre le Covid, et c'est pourquoi je présenterai demain ces informations pour que la justice et les citoyens puissent être convaincus que tout cela est faux. On nous a refilé quelque chose. On nous a fait croire à quelque chose, c'est en substance ma réponse. [Interviewer :] Oui. Eh bien, Dr Flowers, vous abordez les questions que j'allais poser de toute façon. Je veux dire, je voulais parler directement des enfants et je voulais dire que le virus lui-même ne représente pas un danger mortel pour les enfants. Et si c'est le cas, il ne reste plus qu'à contaminer la grand-mère. Et nous savons que c'est des foutaises. Les médecins brésiliens le savent-ils aussi ? Ils doivent le savoir. [John Kage :] Eh bien, au Brésil, nous vivons ici après l'arrivée de Lula au pouvoir. Le président Lula [(Luiz Inácio da Silva, dit Lula)], le socialiste, n'est-ce pas ? Chaque médecin éveillé, chaque journaliste éveillé, chaque politicien conservateur cesse de se battre parce qu'il a peur d'être arrêté. Vous savez, nous avons eu ces protestations le 8 janvier, au début du mandat de Lula. Elles ont été brisées... le Congrès, etc., ils ont arrêté plus de 2 000 militants. Nous avons maintenant une grand-mère de plus de 70 ans qui doit rester en prison pendant plus de 10 ans. De cette manière, ils font simplement taire tous ceux qui veulent lutter contre cela. Mais pas moi. Daniel me connaît, Chris Flowers me connaît. Mon surnom est Samouraï, car je suis à l'origine de tonnes de protestations depuis 2023, mais il n'y a que moi et quelques dizaines de mères. Le Brésil n'a protesté que lorsque Bolsonaro [(Jair Bolsonaro, président du Brésil en 2019-2022)] était au pouvoir, ou en fait, seul Bolsonaro a invité les gens à descendre dans la rue. Ensuite, il y a eu beaucoup, des millions de militants dans la rue, des conservateurs. Mais à part ça, il n'y a pas de lutte ici au Brésil. Zéro. Vous savez, je suis le seul à organiser des auditions publiques. Nous avons organisé environ cinq auditions publiques internationales depuis 2023, c'est vrai. J'ai pris la route plus de dix fois, tu sais ? Mais actuellement, les juges, Lula et le ministre de la Santé se sentent vraiment tranquilles parce que personne ne réagit. C'est ça. C'est très confortable pour eux. Les journalistes parlent de Trump, de la guerre contre Israël, de l'Ukraine, tout ça en dehors du Brésil. Mais à mon avis, cette coalition contre les parents, ainsi que l'introduction de la vaccination obligatoire pour les bébés et les enfants en février 2024, c'est la pire chose qui soit arrivée dans le monde depuis le début de la plandémie. Car rien de tel ne s'est produit en Corée du Nord, à Cuba, au Venezuela ou même au Nicaragua. Ça n'est pas arrivé dans ces pays. C'est arrivé au Brésil. C'est arrivé au Brésil ! Personne ne veut en parler. Non, il n'y a pas d'études sur les effets secondaires indésirables ici. Les médecins restent simplement sur les médias sociaux pour me donner leur avis. Mais il faut sortir de la bulle. C'est pourquoi nous irons demain à l'Assemblée législative pour faire éclater la vérité. C'est pourquoi j'ai invité ce groupe d'experts internationaux : Le Dr Peter McCullough, le Dr Pierre Kory, le Dr Geert Vanden Bossche, le Dr Jessica Rose, le Dr Angus Dalgleish, le Dr Maria Hubmer-Mogg, le Dr Hara du Japon, le Dr Melissa McCann d'Australie. Il y a plus de 10 pays qui soutiennent mon combat ici. Car la seule façon de lutter contre cela et de se battre pour nos enfants est de montrer au reste du monde ce qui se passe. Parce que les gens ici restent dans leur bulle. Ils ne croient pas que le monde entier cessera de vacciner sa population avec la thérapie génique. [...] [Dr. Chris Flowers :] Je voudrais aussi ajouter quelque chose. Il ne faut pas oublier l'influence que Big Pharma exerce par exemple sur les pédiatres, l'American Academy of Pediatrics. Des mesures incitatives ont été créées pour eux. Les hôpitaux ont été incités à, - petit a) classer les personnes comme atteintes du Covid. Mais - petit b), avoir des buts de vaccination, sachant qu'il ne s'agit pas d'un vaccin, puisqu'il s'agit d'une thérapie génique au sens propre. Nous devons retirer cet argent de l'éducation et du système de santé, car ça ruine le système. Il n'est plus fondé sur la science. Il est fondé sur le fait de suivre l'argent. [...] [Interviewer :] Oui, exactement. Dr Flowers, je voulais vous demander quelque chose. Vous avez parlé des proces. J’étais si heureux lorsque la demande de divulgation n’a pas été refusée et que nous avons obtenu le matériel. N'était-ce pas ainsi à l'époque de la grippe porcine, il y a des décennies, où les essais ont fait tellement de dégâts qu'ils ont dû tout arrêter. Mais la barre pour les essais sur la grippe porcine était beaucoup plus basse, et maintenant nous avons cette barre qui est très haute. Elle dépasse de loin les dommages causés par la grippe porcine, et pourtant cette étude n'est pas arrêtée. Est-ce juste ? [Dr Chris Flowers :] C'est vrai. Si vous regardez les documents de Pfizer, ils ont essentiellement ignoré les signaux de sécurité. Cela signifie que pour chaque événement indésirable signalé au centre d'essais cliniques, l'un des médecins de Pfizer devait regarder cette fiche de symptômes et dire si c'était lié au vaccin, et sans exception, ils ont dit "non lié au vaccin". Et ce, même immédiatement après la vaccination ou dans les premières 48 heures, ce qui correspond à la définition normale. Et en fait, la définition normale d'un événement indésirable dû à une intervention médicale c'est jusqu'à 30 jours après. Comme vous l'avez dit, le business de la grippe porcine était incroyable. Je veux dire qu'il ne faut pas oublier qu'une étude pédiatrique sur le VRS [(virus respiratoire syncytial)] a récemment été interrompue en raison du même type de problèmes. S'il n'y a qu'un ou deux effets secondaires graves, ils pourraient faire la une des journaux et apporter de très mauvaises nouvelles aux gens, ce qui entraînerait l'arrêt de l'étude. Mais le plus gros problème pour nous est que cette plateforme de nanoparticules d'ARNm et de lipides est étudiée depuis plus de 30 ans et n'a jamais fait la preuve de son innocuité. Vous savez, c'était une bonne idée au début, quand on pensait que cela pourrait peut-être aider à ce que la chimiothérapie traverse la barrière hémato-encéphalique pour les glioblastomes, qui sont des tumeurs très mauvaises dans le cerveau, parce que cela signifie que les nanoparticules vont partout, que l'ARNm ne reste pas dans le bras. Nous l'avions découvert très tôt. C'est dans les documents de Pfizer, mais ils n'ont rien dit à personne. Après qu'Aaron Siri a mis la main sur les documents, celui qui concernait la bio-distribution du vaccin avait été caviardé. Toutes les informations avaient été caviardées. Il y a eu un FOIA [(Freedom of Information Act)] japonais qui a « décaviardé » le document, et c'est ce qui a été mis à la disposition du reste d'entre nous par la suite. Mais il nous a fallu six mois pour obtenir ces informations. [Interviewer :] Dr Flowers, vous soulevez un très bon point auquel je n'avais pas encore pensé. À savoir, que les personnes qui s'opposent à ce que ce vaccin soit obligatoire ou même utilisé font souvent référence au fait que nous n'avons pas eu les dix ou douze ans, ou ou peu importe combien d'années. Il faut généralement au moins huit ans pour passer par le processus de test approprié. Mais ils nous disent : "Non, non, cela a déjà été étudié, les résultats sont disponibles". Et ce n'est pas bon. [Dr Chris Flowers :] Oui, mais il s'agissait de la plateforme de nanoparticules d'ARNm lipidiques, pas de la plateforme Covid. Il existe des preuves que Moderna travaillait avec le gouvernement en 2014 pour développer un vaccin contre le coronavirus, alors à quel moment ce point de clivage de la furine [(structure moléculaire dans la protéine de pointe de certains virus (par ex. coronavirus ou virus de la grippe) qui peut être clivée par une protéase de la cellule hôte, la furine)] a-t-il été introduit dans cette recherche de gain de fonction ? Etait-ce avant ou après qu'Obama a dit qu'il ne devait plus y avoir de recherche sur les gains de fonction, ou était-ce après, quand ils ont développé des séquences comme EcoHealth l'a fait avec le Dr Ralph Baric de l'Université de Caroline du Nord, avant que ce ne soit à nouveau transformé en arme et envoyé à l'Institut de virologie de Wuhan et aux 24 laboratoires de guerre biologique en Ukraine. Vous vous demandez pourquoi tout tourne autour de l'Ukraine ? Que vous faut-il de plus ? Ils cherchent juste un ami. [Interviewer :] Oui. John, pouvez-vous nous redire ce qui est prévu pour février ? Vous dites que c'est la pire chose qui soit arrivée au Brésil depuis le début de la pandémie, et vous parlez du mois de février, ce mois-ci ou celui de l'année dernière ? [John Kage :] L'année dernière. Oui, l'année dernière. [Interviewer :] D'accord. C'était le début de la vaccination obligatoire des enfants et des nourrissons ? [John Kage :] Oui, le ministre de la Santé venait d'ajouter la thérapie génique Covid à notre programme national de vaccination. C'est le programme de vaccination habituel pour tous les autres vaccins. [Dr Chris Flowers :] Comme un programme de vaccination pour les enfants. C'est la même chose. Mais cela a été rendu obligatoire. [John Kage :] Oui, ils ont inclus cette thérapie génique anti Covid dans ce programme. C'est la raison, c'est l'élément déclencheur pour lequel le ministère envoie maintenant des notifications et demande aux parents de payer. Parce qu'ils utilisent cette excuse : "Oh, vous devez faire vacciner vos enfants parce que c'est maintenant inclus dans le programme national de vaccination", c'est l'excuse qu'ils utilisent. Mais nous avons amené des avocats qui prouveront demain et jeudi... ils ont utilisé un avis d'autorisation technique pour inclure cette thérapie génique dans le programme national d'immunisation. C'est totalement illégal, totalement illégal. Cela n'a jamais été fait auparavant, ils n'ont pas d'études, ils n'ont rien, ils l'ont simplement inclus dans le programme national de vaccination ; avec une note technique comme celle-ci. Ils ne l'ont même pas publié pour que le Brésil soit au courant. Nous n'avons rien en ce qui concerne les aspects juridiques, etc. C'est donc totalement illégal. [Interviewer :] Ok. Dr Flowers, les vaccins Covid actuellement commercialisés par Pfizer, par exemple, sont-ils toujours basés sur les mêmes études ou de nouvelles études ont-elles été publiées pour la dernière série ? [Dr Chris Flowers :] Ils ne nous ont pas communiqué les résultats des prétendues études qui devaient être poursuivies. Premièrement, ils auraient dû continuer l'étude originale de Pfizer, mais toutes ces prétendues études ont tout simplement disparu du site ClinicalTrials.gov. Et deuxièmement, il y a eu beaucoup de petites études, mais rien qui leur soit utile, donc au fond, ils n'aiment pas en parler. [Interviewer :] Je suppose que vous aborderez ce point demain à l'Assemblée. Vous direz que les vaccins actuels qui sont mis sur le marché ne contiennent pas d'informations sur des essais que nous pouvons examiner. [Dr Chris Flowers :] Bien. Il y a quelque chose de plus important. L'essai clinique de Pfizer était basé sur quelque chose de totalement différent de ce que tout le monde recevait dans le monde. Il a été appelé "processus 1". Il a été produit par PCR [(réaction en chaîne par polymérase)], qui est en fait une forme très purifiée. Le BNT162b2, produit autorisé en urgence, et le Comirnaty [(vaccin à ARNm COVID-19 de BioNTech/Pfizer pour les nourrissons et les enfants de plus de 6 mois)], qui a été utilisé dans le monde entier, contient quelque chose qui a été fabriqué avec des plasmides d'ADN d'E.coli, qui provoquent toutes sortes de contaminations par des fragments d'ADN et des promoteurs de gènes SV40 et toutes sortes d'autres choses horribles. Et certains médecins disent : "Eh bien, il n'y a pas de quoi s'inquiéter." L'ARN est simplement dégradé dans la circulation sanguine, ce qui est vrai. Mais cela ne passe pas dans la circulation sanguine de manière normale. C'est injecté et protégé par des nanoparticules lipidiques. Ces fragments d'ADN sont donc injectés directement dans les cellules des patients. Et ce, directement dans le noyau des cellules. Chez les nourrissons et les enfants en particulier, les cellules sont naturellement en croissance permanente. Ils se trouvent dans la plus grande phase de croissance. C'est là qu'il y a le plus grand risque pour eux que l'ADN soit intégré dans leurs propres gènes, ce qui est très, très grave. [...] [Interviewer :] Super. D'accord. Je pense que vous devez retourner à l'Assemblée maintenant. Je vais vous laisser partir. Des commentaires pour conclure ? John, vous dites que vous avez du sang japonais. Vous vous appelez John Kage. Votre nom de famille pourrait aussi être Kage. En japonais, il existe une expression : "shogunai". Cela signifie : "Qu'est-ce que tu vas faire ? Qu'est-ce que tu peux y faire ? C'est la vie." Tout ce que vous pourriez dire au public international, nous le diffusons dans de nombreuses langues. C'est parti ! [John Kage :] Oui. Je ne peux que demander au monde entier de nous soutenir et de diffuser ce qui se passe ici, au Brésil. En effet, le Brésil est le seul pays au monde où cette vaccination est obligatoire. Hier, j'ai donné une interview pour le Japon, pour l'Australie et il y a deux jours pour une chaîne canadienne. Je demande donc une task force internationale, car je crois vraiment que si le monde entier commence à parler et à diffuser ce qui se passe ici, cela peut faire pression. Lors de l'interview d'hier avec les journalistes australiens, une des associations de médecins a proposé d'aller à l'ambassade brésilienne la plus proche et d'envoyer une lettre de protestation. C'est ce qui va se passer. Si votre pays peut le faire, cela sera très utile et aura aussi un grand impact ! Mais j'aimerais que les gens du monde entier en parlent, s'il vous plaît. Merci beaucoup à Kla.TV. Merci. [...] [Interviewer :] Merveilleux. Bon, très bien. Eh bien, c'est bon d'entendre cette dernière remarque. Nous prions pour vos tentatives à l'Assemblée. Bonne chance, messieurs ! [John Kage :] Je vous remercie. [Dr Chris Flowers :] Merci. [John Kage :] Merci beaucoup. Au revoir à tous. Merci, Kla.TV !

de Dan / dws.

Sources/Liens : https://agenciabrasil.ebc.com.br/en/saude/noticia/2023-11/covid-19-vaccine-be-included-brazilian-immunization-program
https://substack.com/home/post/p-148402546
https://drchrisflowersmd.substack.com/