Psychose de masse - Comment notre volonté est brisée (ExpressZeitung Nr. 43 –21 mai 2022)

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21.05.2022 | www.kla.tv/29105

La meilleure façon de manipuler et de contrôler les gens est de les plonger collectivement dans la peur. Aujourd'hui, l'évocation d'une menace de guerre mondiale ou d'une catastrophe climatique permet de plonger des peuples entiers dans une psychose de masse, voire dans un état de choc, et de les rendre ainsi incapables de toute volonté. Les lois les plus criminelles, allant jusqu'à la privation des droits, peuvent ensuite être imposées sans résistance à un peuple traumatisé par la peur, comme cela s'est déjà produit lors de la mise en scène de la pandémie de Covid. Paralysée par la peur de l'apocalypse, la population avale alors au choix des instructions aussi absurdes que le port permanent de masques anti-poussière à l'époque - ou des lois absurdes sur le chauffage qui rendent un logement inabordable aujourd'hui. Le documentaire suivant, "Psychose de masse", qui explique ces stratégies de guerre psychologique sophistiquées contre l'humanité à l'aide de la pandémie de Covid, est aujourd'hui plus actuel que jamais ! Le terme générique de « psychose » fait référence à de graves troubles mentaux dans lesquels les personnes touchées perdent contact avec la réalité. Lorsque ces symptômes surviennent chez tout un groupe de personnes, on parle alors de « psychose de masse ». Pendant des siècles, des gens puissants ont créé et utilisé ce trouble anxieux lorsqu’ils voulaient introduire un système totalitaire, car ce n’est que sous le charme d’une illusion que les gens sont prêts à renoncer à leurs droits. Aujourd’hui, la peur nécessaire à cela est surtout générée par les médias. Mais comment ces futurs tyrans peuvent-ils transformer l’esprit humain pour qu’il agisse contre ses propres intérêts ? La réponse nous est donnée par la psychologie, qui a inventé des termes tels que « lavage de cerveau », « contrôle mental » et, au plus haut degré, « menticide » – c’est-à-dire « tuer l'esprit ». Les méthodes d'Ivan Pavlov : la clé d'un endoctrinement réussi. Ivan Petrovich Pavlov nous a donné la clé d'un endoctrinement réussi. Ivan Petrovich Pavlov était un médecin et physiologiste russe qui, grâce à ses expériences réussies de dressage de chiens, a pu démontrer que les schémas de pensées et de comportements des chiens et des humains peuvent être « reprogrammés ». Lorsqu’il a fait des expériences sur des chiens, il n'avait besoin que d'une cloche, de la nourriture pour chien, d'un chien et de temps. Le chien affamé bavait toujours quand il voyait la nourriture. Pavlov sonnait alors une cloche à chaque fois qu'il le nourrissait. Après de nombreuses répétitions, le chien était tellement conditionné – tellement reprogrammé – qu’il bavait rien qu’en entendant la cloche, sans même qu’il y ait de la nourriture. Pavlov était convaincu que l’esprit humain pouvait être façonné de la même manière. Il considérait l’homme comme un animal, un peu plus développé, mais néanmoins fondamentalement un animal pouvant être conditionné par des stimuli – et cette vision de l’homme était aussi celle des dirigeants soviétiques de l’époque. C’est pour cette raison que Pavlov a reçu beaucoup de soutien après l’arrivée au pouvoir des Soviétiques et qu’il a dû poursuivre ses expériences sur les humains. En 1919, Vladimir Lénine a déclaré dans un dialogue avec Pavlov, je cite : « Je veux que les masses russes suivent un modèle de pensée et de réaction communiste. [...] L'homme peut être corrigé et rendu comme nous voulons qu'il soit. » Le but ultime du système communiste était la transformation de la nature humaine, et les recherches de Pavlov ont fourni les fondements théoriques nécessaires pour atteindre cet objectif. Les méthodes de Pavlov étaient taillées sur mesure pour le centre de l’idéologie marxiste : la rééducation et le reconditionnement de l’homme. Normalement, un esprit clair se forge un bouclier contre une telle influence, mais à cause de la fatigue délibérément provoquée, de la faiblesse physique et du stress psychologique, l'esprit a été « brisé » lors des expériences, et la pensée logique a été désactivée. Les gens intelligents pourraient être endoctrinés – on pourrait même dire formés – tout comme les esprits simples. Lavage de cerveau, contrôle de l’esprit et faux aveux Il ne faut pas s’imaginer que le lavage de cerveau et les faux aveux qui en résultent fassent partie des périodes médiévales, comme lorsque la victime torturée, lors des chasses aux sorcières, avouait simplement tout pour que le tourment physique cesse. Il s'agit plutôt d'un rituel sophistiqué d'endoctrinement systématique, de coercition à la conversion et d'auto-accusation dans le but de détruire les attitudes et perceptions fondamentales de la personne vis-à-vis de la réalité et de les remplacer par de nouvelles. Le médecin et psychologue néerlandais Joost Meerloo a inventé le terme « menticide », qui signifie tuer l'esprit. On pourrait aussi dire : meurtre de l'esprit clair. Cependant, ce crime ancien contre l’esprit n’a été efficacement systématisé et affiné qu’au cours du XXe siècle. Les victimes de ce type de psycho-terrorisme ont finalement fait de faux aveux auxquels elles ont fini par croire, et ont avoué des crimes qu'elles n'avaient jamais commis. La vidéo suivante illustre dans quelle mesure cette psycho-terreur a été utilisée dans les camps d’internement ou testée sur des détenus. Cette psycho-terreur a été utilisée ou expérimentée dans les camps de prisonniers : Phase 1 : Premièrement, les victimes étaient épuisées, pas par une violence physique grave généralement, mais par la faim, le froid, l'isolement et la peur. Des masques respiratoires ont également été utilisés, par exemple dans le camp de détention de Guantanamo. Les interrogatoires constants et la privation de sommeil ont conduit à un épuisement extrême et à un désespoir total que les laveurs de cerveau voulaient atteindre. L’effondrement de la victime arrivait généralement subitement. Meerloo a écrit à propos de cette phase, je cite : « C’est comme si [la résistance obstinée] se transformait soudainement en soumission et en affirmation. [...] Désormais, en termes psychanalytiques, un super égo parasite vit dans la conscience de la personne, parlant de la même voix que son nouveau maître. Cet abandon soudain est un processus inconscient et purement émotionnel et peut même déclencher ce qu'on appelle le « syndrome de Stockholm », par lequel la victime d'un crime éprouve une certaine sympathie pour l'auteur du crime. Mais ce crime contre l’esprit humain ne s’arrête pas là. Phase 2 : Après l’effondrement, les faux aveux étaient lus encore et encore et ainsi martelés dans le cerveau de la victime. Des arguments et justifications supplémentaires étaient également donnés afin que le récit paraisse aussi crédible que possible, même si tout cela n’était qu’un mensonge. Phase 3 : L'accusé peut alors faire de faux aveux et incriminer d'autres personnes. Frank H. Schwable est un exemple parmi tant d’autres. C’était un militaire haut gradé du Corps des Marines des États-Unis tombé aux mains des communistes chinois pendant la guerre de Corée. Après de longs mois de captivité, il a avoué – avec beaucoup de détails – que les États-Unis commettaient des crimes de guerre biologiques en Corée. De retour aux États-Unis, il s'est défendu devant un tribunal militaire, et je cite : « Les mots étaient les miens, mais les pensées étaient les leurs ». Il est revenu sur son témoignage et a révélé les méthodes de lavage de cerveau dont il avait été victime. Cependant, les prisonniers n’avaient pas tous la même résilience mentale que Schwable. Environ un tiers des soldats américains qui ont été en captivité en Chine sont devenus des communistes convaincus. Lavage de cerveau de toute une société S’il est possible d'implanter systématiquement des pensées étrangères chez un individu, il est possible de faire un lavage de cerveau d'une société entière parce qu’une société est composée d’individus qui peuvent être manipulés avec le scepticisme, l’insécurité et la peur. Dans un article paru en 1969 dans le journal Die ZEIT, le psychologue tchèque Ivo Planava (né en 1934) décrit ainsi les différentes méthodes de dépersonnalisation systématique de l'individu et du collectif : Selon lui, la population dans son ensemble sous l’emprise de régimes totalitaires devient indifférente à ce qui se passe. Ces individus apathiques ne sont plus capables de prendre des décisions conscientes et de lutter pour des objectifs qui vont au-delà du simple gagne-pain quotidien. Comme cela a été décrit, cette apathie peut survenir soit par un effondrement mental soudain, soit par un lent processus d’auto-sacrifice. Selon Ivo Planava, cette méthode progressive et à long terme d’épuisement de l’esprit est encore plus efficace et continue, surtout s’il y a des personnes manipulées de la même manière dans l’environnement de la personne. Le complexe de culpabilité – c’est-à-dire l’auto-accusation – et le jeu avec l’espoir sont tout aussi importants dans cette variante. On fait sans cesse espérer aux gens quelque chose qui ne se réalise pas par la suite, afin de les maintenir dans l’apathie et de les empêcher de se révolter. La comparaison avec la politique actuelle du « Covid » attire vraiment l’attention à cet égard ! Ici aussi, le gouvernement travaille systématiquement avec des promesses de salut à partir du moment où les masses font ceci ou cela. Alors que dans le cas de la « rééducation » individuelle, les contacts avec le monde extérieur sont empêchés, dans le cas de groupes plus importants de personnes, la communication est contrôlée. Nous le vivons aujourd'hui à travers les médias, qui sont tous de mèche les uns avec les autres. Une propagande constante conduit à deux effets opposés : un groupe développe de l’apathie, c’est-à-dire devient indifférent, tandis que l’autre groupe – plus petit – développe une réaction de défi ainsi qu’un désir de découvrir la vérité derrière la propagande. Ce sont des conditions idéales pour diviser profondément une société auparavant pacifique – et c’est exactement ce qui se produit à nouveau aujourd’hui ! Diagramme de coercition et mesures « Covid » Albert D. Biderman, spécialiste des sciences sociales de l'US Air Force, a décrit dans le dénommé « Diagramme de coercition » les méthodes de torture chinoises et coréennes avec lesquelles les prisonniers de guerre américains étaient systématiquement rééduqués. Selon Biderman, les trois éléments principaux sont : la dépendance, la faiblesse et la peur. Huit techniques différentes de « méthodes de torture faibles », étroitement liées les unes aux autres, transforment des personnes mentalement indépendantes en sujets obéissants dont un régime totalitaire a besoin. Examinons ces huit principes en détail et comparons-les avec les mesures Covid actuelles. Méthode 1 : Isolement / monotonie forcée / privation sensorielle par l'isolement complet, voire groupé. Les prisonniers perdaient tout soutien social et ne pouvaient plus se défendre. Ils devaient constamment s'occuper seuls, bouger trop peu, avoir chaque jour la même routine ennuyeuse. Les confinements liés au Covid et les règles de distanciation ont le même effet. La culture, le sport et les traditions familiales sont gommés, et plus l'isolement dure longtemps, plus les conséquences sont dramatiques sur le corps et l'âme des personnes touchées. Les problèmes psychologiques ont considérablement augmenté pendant le confinement, surtout chez les enfants. Méthode 2 : Monopoliser la perception. L’attention ne peut se concentrer que sur la détresse immédiate. Les autres stimuli qui pourraient en détourner l’attention sont bloqués. L'obscurité ou des lumières vives étaient utilisées sur les prisonniers, mais les sermons constants et la répétition fréquente de mensonges et de dogmes qui devaient être inculqués dans les esprits étaient tout aussi efficaces. Cela ne nous rappelle-t-il pas le flot médiatique constant d’un nombre infini de « cas » de Covid ? Et, bien sûr, des efforts croissants visant à censurer et à dissimuler au public toutes les voix dissidentes, quels que soient le rang et le respect des experts ? Méthode 3 : Épuisement provoqué, affaiblissement. Bien sûr, à un moment donné, les gens se fatiguent. Les tortionnaires se relayaient, le prisonnier ne le pouvait pas. La faim, les maladies provoquées, le manque de sommeil et les longs interrogatoires ne sont que quelques-unes des méthodes utilisées pour provoquer délibérément le surmenage. Les parallèles avec le Covid : Après un an et demi de propagande, nombreux sont ceux qui ont capitulé et ont laissé le discours du gouvernement les submerger. Ils en ont tout simplement marre... et d'une manière ou d'une autre, vous pouvez même le comprendre ! Ils ont déjà atteint l'état d'apathie signalé par Ivo Planava. Méthode 4 : Menaces. Les tortionnaires ont utilisé des menaces de mort, d'isolement et d'emprisonnement sans fin, ainsi que des menaces contre les familles des victimes pour semer la peur et le désespoir. Seule la panique artificiellement créée suite à l’infection par le coronavirus nous a fait accepter les mesures des politiques. Les enfants étaient persuadés qu’ils mettraient grand-mère et grand-père en danger s’ils leur rendaient visite et même les serraient dans leurs bras alors qu’en fait, il était déjà clair au printemps 2020 que le taux de mortalité dû au Covid était équivalent à celui d’une grippe saisonnière normale. Néanmoins, la couverture médiatique de guerre est restée inchangée. Un document de stratégie interne du ministère allemand de l’Intérieur révèle que ces craintes ont été délibérément créées et contrôlées. Méthode 5 : Indulgence occasionnelle. Désormais, les bourreaux deviennent gentils… de temps en temps. Des gentillesses et des récompenses inattendues créent un lien émotionnel et garantissent le respect des règles du prisonnier. Elles suscitent l’espoir d’une amélioration de sa situation qui, bien que généralement inexistante, le confond et le démoralise. Cela aussi vous semble familier, n'est-ce pas ? Un confinement peut-être, un confinement peut-être que non, cette règle-ci, cette règle-là, et un soulagement en perspective. Encore quelques semaines et nous aurons réussi... Les espoirs que nous pourrions bientôt revenir à la normale renaissaient sans cesse. Cela fait partie de la stratégie psychologique ! Méthode 6 : Démonstration de « toute-puissance » et « d'omniscience ». On fait croire au prisonnier que toute résistance est vaine, qu’il est inférieur et qu’il le restera toujours. Parallèles avec le Covid : La violence policière utilisée contre les manifestants montre la supériorité physique du pouvoir gouvernemental. Même le rapporteur spécial officiel des Nations-Unies sur la torture, Nils Melzer, a mis en garde, et je cite : « Partout dans le monde, la brutalité policière s'intensifie et détruit la confiance du public, la paix sociale, la cohésion sociale et la démocratie. Les gouvernements doivent cesser de traiter leur propre peuple comme un ennemi ! » Méthode 7 : Humiliations Le fait d'être complètement à la merci du geôlier détruit l'espoir du prisonnier que la résistance puisse apporter quelque chose. Ainsi le prisonnier est rabaissé au niveau d’un enfant ou d’un animal. Les tortionnaires y parviennent par des châtiments humiliants, un environnement pollué, des insultes et des railleries ou en refusant l'intimité du prisonnier. Les masques à eux seuls sont une pure humiliation ainsi que ces tests, que beaucoup trouvent extrêmement désagréables. La Chine est même allée jusqu’à effectuer des prélèvements anaux sur les citoyens japonais entrant dans le pays. Insulter ou se moquer des personnes qui ne se font pas vacciner est monnaie courante. Et quel est l'effet d'essayer d'inciter les gens à se faire vacciner en leur proposant une saucisse ou un hamburger : cela ne rappelle-t-il pas les chiens de Pavlov, qui bavaient lorsque la cloche sonnait pour les nourrir ? Méthode 8 : Application d’exigences dérisoires. Les prisonniers devaient suivre des règles protocolaires stupides et inutiles. Cela les habituait à exécuter les ordres de leurs contrôleurs, aussi futiles soient-ils. Des mesures inutiles sont à l’ordre du jour depuis le début de la prétendue pandémie. Dans un aéroport par exemple, des distances minimales doivent être respectées lors de l'enregistrement, alors que les mêmes passagers seront assis à proximité dans l'avion quelques minutes plus tard. Je suis sûr que vous pouvez penser à de nombreux autres exemples, chers téléspectateurs ! L’intention des stratèges derrière tout cela est simple : nous ne sommes pas censés penser, ni rien remettre en question, mais plutôt apprendre à obéir. C’est une caractéristique typique d’une dictature ! La conclusion jusqu'à présent, c’est que selon toute vraisemblance, les 8 points de ce « diagramme de coercition » sont présents avec le Covid. Comment introduire un pouvoir d’État totalitaire ? La question est la suivante : comment peut-on amener un peuple habitué à la liberté et à la démocratie à renoncer à nouveau à ses droits fondamentaux ? Comment transformer des personnes libres en sujets d’un système totalitaire ? Malheureusement, cela a été fait à plusieurs reprises dans l’histoire, et aujourd’hui, cet effort est à nouveau en cours dans le monde entier. La psychose de masse délibérément provoquée que nous venons de décrire en est la clé. Selon l’érudit religieux Arthur Versluis, le totalitarisme est « le phénomène moderne d’un pouvoir d’État totalement centralisé combiné à l’éradication des droits humains individuels ». La société est divisée en deux groupes : les dirigeants, qui sont élevés à un statut presque divin, et les masses qui deviennent des sujets dépendants de cette prétendue « élite ». Les deux vont à l’encontre de la nature humaine, car les dirigeants sont aussi des êtres humains faillibles, et transformer la population en sujets ne réussit que grâce à des délires qui ressemblent à des réactions de schizophrène. La première étape consiste toujours à semer la peur, ce qui est particulièrement efficace dans les vagues de terreur psychologique. Meerloo écrit à ce sujet, je cite : « Chaque vague de terreur [...] déploie son effet plus fortement que la précédente après un certain temps de répit, car les gens sont encore troublés par l'expérience précédente. Le moral diminue de plus en plus et l'impact psychologique de chaque nouvelle campagne de propagande devient plus fort ; il touche un public déjà ramolli. » La propagande contribue en même temps à semer la confusion dans l’esprit des masses. La désinformation sur l’origine de la « menace » et la nature de la « crise » sont systématiquement répandues. À l’ère d’Internet, les informations sont ciblées, voire totalement bloquées, c’est-à-dire censurées au moyen d’algorithmes. Selon ce que l'utilisateur a déjà consulté sur Internet, des informations similaires lui sont à nouveau présentées. Différents groupes cibles peuvent ainsi développer une image complètement différente de la réalité. On peut voir ici les moyens utilisés pour y parvenir : La technologie comme facteur de dépendance, l'isolement comme catalyseur. Puisque la propagande moderne se présente sous la forme de technologies attrayantes – smartphones, Internet, télévision, etc. – elle est consommée volontiers et largement. Beaucoup y sont accros et cela déploie pleinement la portée de cette propagande lorsque les gens sont limités dans leurs contacts sociaux. Tout le monde ne se laisse pas aveugler par la propagande, d’où la « distanciation sociale » pour éliminer le pouvoir correcteur de ceux qui ne se sont pas laissé influencer par le feu constant des fausses informations. Joost Meerloo écrit, je cite : « L’isolement et la répétition patiente des stimuli sont nécessaires pour apprivoiser les animaux sauvages. [...] Les totalitaires ont suivi cette règle. Ils savent qu’ils peuvent conditionner plus rapidement leurs victimes politiques si elles sont maintenues dans l’isolement. » Lorsqu’une population est secouée suffisamment longtemps par des vagues psychologiques de terreur, elle devient désespérée et vulnérable. On aspire à un monde ordonné. À ce stade, les totalitaires proposent un tel monde – mais au prix de la liberté, au prix du contrôle de sa propre vie. Des personnes autrefois libres et indépendantes sont devenues des sujets soumis et obéissants ! Mensonges et confusion : des outils nécessaires Les victimes du régime totalitaire sont délibérément éduquées au mensonge. Car entendre constamment de faux messages, qui vont délibérément tous azimuts, perturbe la pensée logique au point que certaines personnes cessent de résister aux mensonges. La personne devient passive et intériorise le récit dans son ensemble. L’esprit libre part au profit de l’endoctrinement. Le langage est un élément important de cette propagande. Les mots perdent leur sens originel et cela aussi constitue une attaque frontale contre l'esprit. L'humain est une créature d'habitudes. Lentement, progressivement, mais sûrement, le citoyen s'habitue ainsi à un système malade. Il est facile de reconnaître des structures totalitaires dans des pays lointains ou rétrospectivement dans le passé. Quand on regarde la Corée du Nord, par exemple, tout le monde en Occident dit probablement : Quelle secte insensée ! Malheureusement, les débuts ne sont pas si faciles à discerner lorsqu’on est soi-même dans le vif du sujet, comme c’est le cas en ce moment ! On s'habitue aussi à l'obéissance et à l'obéissance à l'autorité ! Cela ne nous rappelle-t-il pas les temps sombres de notre pays ? Entrée par la « raison », puis dérive vers la folie La plupart des idéologies recrutent leurs adeptes avec des idées raisonnables, ou du moins, qui paraissent raisonnables. Exemple du Covid : L’idée d’une maladie infectieuse se propageant dans un monde globalisé correspond aux idées dominantes de la population, c’est pourquoi les mesures de protection sanitaires ont été initialement soutenues par la plupart des gens. Cependant, après un certain point de lavage de cerveau, il n’y a plus de logique. Bizarrement, c’est même le contraire qui se produit. Les contradictions consolident encore davantage le pouvoir d’une idéologie, comme le montre l’exemple des religions fondamentalistes. Le phénomène des « coûts irrécupérables » joue également un rôle majeur. « Coûts irrécupérables » signifie : on a déjà investi tellement de temps et d'énergie, voire d'argent dans un projet qu'il est difficile, voire impossible, de reconnaître ce projet comme une erreur. Les promesses non tenues sont un système. Sommes-nous encore surpris lorsque les politiciens, une fois élus, agissent comme s’ils pensaient : « Qu’est-ce que j’ai à faire de mon blablabla d’hier ? » Les promesses non tenues sont un système, en politique en général et aussi avec le Covid. Pas de fin des mesures, pas d’immunité grâce à la vaccination, pas de fin du port du masque et obligations similaires pour les personnes vaccinées. Et pourtant, une grande partie de la population continue à faire confiance aux gouvernements et même aux médias. Ceci est un exemple du « syndrome de Stockholm » mentionné plus haut, qui signifie le glissement global de la population vers l’idéologie. Peur de mettre fin aux mesures Covid. Le succès de la propagande se voit déjà dans le fait que certains ne veulent plus retourner dans un monde sans mesures Covid. Ils ont déjà intériorisé l’idéologie à un tel point qu’ils ont développé ce qu’on appelle le « syndrome de la caverne », c’est-à-dire la peur de la normalité. Ces personnes font alors pression sur ceux qui pensent différemment, qui ne sont pas tombés dans le piège des mensonges et qui aspirent à nouveau à une vie normale. C’est exactement ce dont a besoin un régime qui devient totalitaire : une pression non seulement « d’en haut » – c’est-à-dire de la part du gouvernement et des médias – mais aussi « de côté » – c’est-à-dire de la part des êtres humains. Et maintenant, redonnons la parole à notre collègue : Conclusion : Chers téléspectateurs, en regardant cette analyse du journal Express Zeitung, on ne peut s'empêcher de soupçonner une stratégie extrêmement réfléchie et perfide derrière toutes les lois et interdictions contradictoires et souvent carrément absurdes. De toute évidence, une guerre psychologique sophistiquée est menée contre l’humanité. Vu sous cet angle, toutes ces mesures ont du sens – du point de vue de leurs cerveaux ! Cette analyse est effrayante. Mais ce n’est qu’en affrontant ce problème désagréable et inconfortable que les contre-mesures appropriées pourront être prises. L’un des éléments importants est l’information. S'il vous plaît, diffusez cette émission pour que de plus en plus de gens comprennent le programme de lavage de cerveau en cours et puissent y mettre un terme. Dans les informations sources suivantes, vous trouverez également le lien vers le journal Express Zeitung par lequel vous pouvez commander l'édition originale pour la relire.

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Sources / Liens : ExpressZeitung Nr. 43/44 d‘octobre 2021, titre: „Massenpsychose – Wenn der Wahnsinn zur „Neuen Normalität“ wird“ https://www.expresszeitung.com/
https://www.expresszeitung.com/doppelausgabe-43-44-massenpsychose/ez00043-44.print
Albert Biderman – Diagramme des contraintes https://de.wikipedia.org/wiki/Bidermans_Diagramm_des_Zwanges
Document stratégique interne du ministère allemand de l'Intérieur : https://www.heise.de/forum/Telepolis/Kommentare/Die-Sorge-waechst-die-Sorglosigkeit-auch/BMI-Papier-Wie-wir-COVID-19-unter-Kontrolle-bekommen-Psychologie-der-Panik/posting-37267877/show/