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Texte de l'émission
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18.05.2024 | www.kla.tv/29096
Plus de 100 conférenciers y ont participé jusqu'à présent, 19 conférences avec toujours le même principe : une voix et une contre voix, car c’est seulement quand j’entends l’une à côté de l'autre, que je peux percevoir par intuition ce qui semble cohérent. Et si cette opportunité n'existe pas, c’est impossible. Et en fait, lorsque papa a créé l'AZK en 2008, tout le monde a tout de suite dit : Tu ne pourras jamais faire ça, c’est impossible, tu ne pourras pas rassembler plus de 50 personnes. Mais pour moi, mon père est un vrai héros. Il a dit : C’est possible. Je me lance tout simplement. Jusqu'à 3 000 personnes sont venues, puis de plus en plus, et maintenant, par streaming, des milliers de personnes viennent de 48 pays. Et pour la création de Kla-TV en 2012, c'était exactement la même chose. Là aussi, tout le monde a dit qu'on ne pouvait pas faire ça, qu'on ne pouvait pas faire une télé et ainsi de suite, et il a simplement dit : On peut. Nous pouvons commencer, nous devons donner une plate-forme, nous devons créer nos propres médias. Et il y a douze ans, on n'aurait pas imaginé ce qu’il y a maintenant, des centaines de lanceurs d’alerte, de chaînes alternatives, toujours de nouveaux noms, toujours. Je dois dire que je suis fière de mon papa et, il a eu l'humilité de commencer à partir de rien. C'est ainsi que tout a commencé. Et tout le monde peut porter plainte contre les médias, c'est pour ça qu'il y a Kla-TV. Présentateur : Kla-TV travaille sur une base gratuite, tous les collaborateurs sont bénévoles, comment une telle qualité et quantité est-elle possible avec des bénévoles, comment est-ce organisé, comment ces collaborateurs sont-ils formés, comment tout cela est-il géré ? Loïs Sasek : En principe, tout le monde est engagé dans la vie professionnelle. Et après le travail, le soir, c'est le travail pour Kla-TV qui commence et personne ne facture son travail. Rien. Il n'y a pas de factures, il n'y a pas non plus d'appel aux dons, et tout est pour le plaisir, comme un hobby, quand tu t'achètes quelque chose de nouveau pour un équipement d'escalade et quelque chose... alors l'un apporte un micro, l'autre une caméra, peu importe. Et je veux dire que les redevances radio/TV pour l'Allemagne sont de 8,5 milliards, pour l'Autriche de 2,1 milliards et, si nous nous basons sur 7 millions de contributeurs, 17,7 milliards en Suisse. On constate donc que nous sommes grugés sans limite pour financer l'agitation, l'incitation à la peur, la calomnie, les mensonges, la propagande de guerre. Nous voulons démontrer que c’est possible sans argent. C'est possible avec un engagement personnel. Ce qui est spécial avec Kla-TV, c'est que chacun peut œuvrer lui-même contre ces violations du droit, contre la corruption, contre l'escroquerie pharmaceutique, contre les mensonges des médias. Ce qui motive chacun, c’est de pouvoir agir également contre cette élite puissante. Et chez nous, c'est tout simplement comme dans une famille, tout est volontaire. C'est le principe. C'est également orienté vers les aptitudes, c'est-à-dire que chacun peut trouver ce qui lui fait plaisir. Ainsi, il y a des équipes qui ne font que des recherches, d'autres écrivent des textes. Puis il y a ceux qui ne font que sauvegarder les sources sur nos serveurs, parce que tout est constamment supprimé. Il y en a des centaines qui ne font que sauvegarder les sources. Ou des femmes au foyer qui mettent des tags, des termes de recherche, pour qu'on trouve plus facilement les émissions. Nous avons aussi notre propre archive médiatique. Il y a parfois des jeunes qui disent : Je veux mettre des tags, toujours écrire ce qu'on voit sur l'image, pour qu'on les retrouve mieux lors de recherches. Découpe, programmation, conception, rédaction, relecture, corrections. Il y a tellement de possibilités d’aider, chacun peut donc y trouver quelque chose à son goût. Certains se contentent de prier, de dire : « Je prie maintenant pour une percée, afin que la lumière puisse entrer ». Certains s'occupent du son, animent, parlent. Et aussi d’autres, ceux qui cuisinent ou qui assurent les arrières. Ils participent tout autant. Ils se sentent également à l’aise. Et c'est le principe de Kla-TV. Nous collaborons comme un seul corps. Donc le mot clé est organisme. Chaque membre est important. On s'apprécie mutuellement, car chacun a besoin de l'autre. On ne peut pas se passer d'un doigt, d'un cœur, d'un poumon. Et chaque organe est important. Nous nous apprécions mutuellement. Et c'est de cette interaction organique que nous vivons. C'est une harmonie, nous le vivons comme une famille. Mais je dois dire que le fondement de cette collaboration gratuite n'existe pas depuis douze ans, depuis le début de Kla-TV. Il y a une véritable base de travail depuis 47 ans. Mon papa le dit à la fin de chaque discours. Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans. Et c'est effectivement le cas. Il a montré l'exemple pendant ces 47 ans. Il a tout fait bénévolement. Des livres, des CD, des films. Il y a des tables entières remplies de livres lors de ces manifestations. Les gens se sont approvisionnés. Des sacs ont été remplis. Tout est gratuit. Cela signifie bien sûr aussi du fait-maison. Tous les livres, nous les avons... - il a écrit 18 livres - nous avons fait beaucoup de produits nous-mêmes. C'est-à-dire, maintenant, en Suisse. C'est aussi un inventeur. On faisait des livres avec un appareil à raclette, c'est-à-dire qu'on faisait fondre la colle dans un four, puis on la découpait. Puis ça fondait sur l’appareil à raclette. Alors ça s’assemble bien. Voici l’exemple d'un livre fait maison. Et on trouve aussi ces choses dans « Le Seigneur des transformations ». Vous pouvez le télécharger ou le commander gratuitement. Et tout cela est fait-main. Cela signifie aussi certaines restrictions. Parfois, dans les premières années, il ne pouvait se payer un café. Il fallait alors redresser de vieux clous quand on devait construire quelque chose. Mais ce qui est particulier, à propos de cela, c'est qu'il est devant Dieu depuis 47 ans. Il a fait l'expérience de Dieu, de manière totalement inattendue, tel qu'IL est vraiment. Cela n'a rien à voir avec la religion ou une quelconque église. Il a simplement remarqué que c'est Dieu. C'est la vie. C'est la joie. C'est le bonheur. Et quand il a touché cela, il s'est naturellement mis à lire la Bible. Et il est écrit par exemple en Matthieu 6:33 : « Cherchez d'abord le royaume de Dieu, sa justice, et tout le reste vous sera donné. » Et puis il a dit : Je veux essayer ça. C'est de la science spirituelle. Ensuite, il a donné tout son argent, il n'a rien dit à personne et il a fait confiance à Dieu. Et c'est justement cette histoire, qui a déjà trois parties, où jusqu'à l'année 2018, il s'est produit miracle sur miracle, où, quand il n'y avait plus d'argent, une facture... quelqu'un qu’on n’avait jamais vu avant dans la maison, déposait simplement une enveloppe, sans même savoir que c'était pour la facture. Et ce sont bien sûr des moments fantastiques. Ou, quand il n'y avait plus rien, quelqu'un passait. Il y avait simplement ces moments-là. Quelqu’un arrive avec un repas tout préparé, pour 20 ou 30 personnes. Et c'est ce genre d'expérience qui fait qu'on se rend compte que c'est vrai. Dieu prend soin de nous. Et c'était tout simplement un principe, on ne pouvait dire à personne qu’on testait Dieu : Est-IL fidèle ou non ? Et puis quelqu'un a rompu ce principe. Il manquait encore de l'argent. Et puis quelqu'un a dit à quelqu'un qu’il fallait que de l'argent rentre. Et 800 francs sont arrivés. Quand papa l'a appris, il a dit, il faut le rendre, ça ne va pas. C'est donc tout simplement le fondement de tout ce que nous vivons actuellement. Nous sommes les enfants de papa et maman. Quand les aspirateurs sont cassés, on prie pour un aspirateur et un aspirateur arrive… quelqu'un a eu envie d'offrir des aspirateurs. Ma petite sœur m'a dit que je devais prier pour des pommes. Nous n'avons pas de pommes, alors quelqu’un nous offre des pommes. C'est vraiment absolument fantastique. Présentateur : Tu sais que l'un ou l'autre est maintenant assis devant l'écran et se dit « OK mais est-ce que ça marche vraiment ? ». Peux-tu, toi-même, qui est née en 1988 (j’espère que je ne suis pas indiscret), donc tu vis sur cette planète depuis presque 36 ans, est-ce que tu peux confirmer que lorsque vous avez demandé à Dieu de vous aider, vous avez reçu cette aide ? Loïs Sasek : Toujours, toujours, sans exception. Présentateur : C'est un message fantastique. Loïs Sasek : Absolument. Cela va même plus loin, même avec la pensée. Donc je suis dans le magasin, je pense que ces chaussures me plaisent, mais je ne peux pas me les payer maintenant. Mais j’y pense simplement, et déjà je suis passée à autre chose. Quelques jours plus tard, il y a un sac déposé par l’amie de la voisine, qui vient de passer et dans le sac, et il y a justement les chaussures avec les paillettes, avec les petits points brillants qui m'ont plu, et tu dis juste : « Dieu, Tu m'entends, Tu me vois, Tu vois mon cœur. » Et c'est ainsi qu'Il pourvoit à nos besoins, et ce jusqu'à aujourd'hui. La semaine dernière, il y a encore une personne qui est venue avec de la nourriture. Parfois, ce sont des choses qui sont bien sûr bientôt périmées, mais alors on les mange vite. C'est notre vie. Dieu prend soin de nous. Présentateur : Revenons à Kla-TV et à votre travail dans la pratique. Pour moi, qui suis habitué au travail professionnel d'AUF1 et qui le vis au quotidien, il est inimaginable que vous produisiez des émissions comme le dossier Tedros, par exemple, avec une qualité sensationnelle. Vous avez à nouveau réalisé une vidéo sur l'OMS, un « Paukenschlag (Roulement de tambour) », vous l'appelez. Une qualité vraiment exceptionnelle. Comment ça fonctionne dans la pratique avec des bénévoles ? Tu es la directrice de production. Tu pourras certainement nous le décrire. Loïs Sasek : Oui, tout est fait librement. C'est la chose la plus importante. Et c'est toujours… alors nous disons par exemple que ce dossier Tedros est comme un gâteau. On le met au milieu, on le coupe en morceaux et chacun dit : « j'ai faim de ce morceau. » « Je fais le son. » « Ah, je fais l'animation. » « Ah, je fais les titres. » « Moi, j'aime ça, je fais le texte », je vérifie les sources ou peu importe. Mais nous avons différentes façons de travailler ensemble, notamment en partageant les responsabilités. Mais cela va même jusqu'à cela. Dans cette interaction organique, je peux raconter un petit épisode. J'ai un scénario entre les mains, il est jeudi 19 heures. Un super scénario et je remarque qu'il m'électrise. Mais maintenant, brièvement, jeudi midi à 14 heures, nous avons déjà eu une action en essaim. Qu'est-ce qu'une action en essaim ? C'est quand on dit, « Oh, ça brûle ! », ou on dit aussi un une action éclair, il y a des actions éclair. Nous avons encore des films très importants à produire rapidement, parce que nous avons un grand événement samedi. C'est-à-dire que nous avons encore des films à produire avant, il y a quelques dizaines de personnes qui sont venues spontanément, « Ah, j'ai congé, je viens vite. » Un peu comme un essaim de sauterelles. Pour une seule sauterelle, il faut toute une vie pour dévorer un arbre - ensemble, en une minute, il est dévoré. C'est le principe. Alors maintenant, cette action en essaim a eu lieu l'après-midi, il est 19 heures et samedi, nous avons une grande conférence. Lors de cette conférence, les gens viennent de tous les pays. Nous mettons cela en place nous-mêmes, la préparation, l’événement, et après. Il y a juste quelques centaines de personnes qui arrivent dans la salle vide et ensuite tout est monté. Cela signifie que les gens doivent encore se préparer, ils font des plans de câbles, c'est comme un énorme essaim. En trois heures, 20 tonnes de matériel sont montées, en une demi-heure, tout est démonté, mais toujours en essaim. Tout le monde doit se préparer. C'est jeudi soir, vendredi soir ils doivent partir après le travail et j'ai mon scénario, mais il doit être diffusé samedi parce que c'est important, très important, urgent. Et voilà, voilà notre force et je réalise, que si c'est important ce scénario, alors il y a une solution. Et puis, je dis comme ça, mon Dieu, si ce scénario est important pour Toi, alors envoie-moi les gens maintenant, sans que j’aie à demander à quelqu'un, sinon je le fais toute seule. De toute façon, j'ai tellement envie de faire ce film, il faut que ce soit maintenant, sinon je fais un travail de nuit, mais sinon, envoie-moi les gens. Puis je m'assois, je commence ma première coupe, et j'entends le premier message, alors je vais sur le chat, ça dit : « Loïs, qu'est-ce que tu fais ? Je peux t'aider ? Qu'est-ce que tu fais ? » Signé Frauke. Je dis que je commence justement à produire un documentaire, j'ai vraiment envie de le faire. « Hé, nous voulons t'aider, Icke et moi, nous voulons t'aider. » Je donne la première, la deuxième partie du scénario. Et je veux continuer, alors le téléphone sonne de l'autre côté du studio, quelqu'un du centre de l'Allemagne, un ingénieur en bâtiment (l'autre était couturière, kiné). Il appelle, « vous avez besoin d'aide dans le studio de cinéma ? » Et je dis « C’est impressionnant ! Regarde ici, la quatrième partie, la cinquième partie. » Je m'apprête à retourner à ma sixième partie quand un autre message surgit du nord de l'Allemagne, un dentiste, Stefan ; il dit « Loïs, tu as besoin de mon aide ? » Il ne m'avait jamais contactée directement. « J'ai l'impression que je n'ai pas encore tiré tout le parti possible de ma semaine. » Je dis « C’est impressionnant ! Pour le scénario, il faut vérifier ceci et cela. Il faut encore coordonner les speakers. Tu t'en occupes ? » « Bien sûr. » Et j’abrège un peu. Le soir, ils sont onze à être venus de cette manière. Le film est prêt le soir même. Et je vais me coucher, ravie, j’ai du mal à m’endormir à cause de la joie. C'est le cas de tout le monde. Et c'est le principe dont j’ai parlé précédemment, travailler ensemble comme un seul corps. C'est ce que papa enseigne depuis des décennies. Nous sommes l'organisme, les membres du corps. Mais Dieu est la Tête qui vit tout cela. On peut aussi dire la force supérieure ou la bonne énergie. Chacun a ses mots, mais nous faisons l'expérience de la façon dont l'esprit vit le corps et chacun suit ces impulsions ou nous nous entraînons à suivre ces impulsions. Ce sont des bouffées de joie, la volonté pour faire des choses où tu penses : eh oh, mais c'est jeudi soir avant un grand rassemblement. Tu sens que j'ai de la joie. Tu réalises alors que c'est comme ça que fait le Seigneur. Encore un épisode, juste pour que tu comprennes un peu. C'était le Nouvel An, tout le monde voulait faire la fête. Et je me rends compte que nous avons fait des erreurs dans notre rétrospective annuelle. Quelque chose ne va pas dans le document texte, il manque une scène. Et je pense que j'ai besoin de quelqu'un pour vérifier le document texte, pour sauvegarder les sources. Dori d'Autriche, « Loïs, je ne peux pas faire le coupage du film mais tu as besoin de moi ? » Voilà, document texte. Et là, je réalise que j'ai besoin d'un monteur. Il manque la scène la plus importante, l'événement le plus important. Du côté de Nuremberg, Hanna dit « Je peux aider en quelque chose ? » C'est une monteuse. Et là, je n'ai fait que résumer… en une soirée, la fête du Nouvel An. C'était ma fête personnelle du Nouvel An, sans organisation. De ces domaines, toujours à la seconde, la bonne personne s'est présentée… Jusqu’à mon frère qui frappe encore, Loïs, tu as besoin de moi en ce moment ? Je dis, passe ce coup de fil et celui-là. C'est cette fantastique interaction, où chacun est à l'écoute de son intérieur. Où a-t-on besoin de moi, où est-ce que ça me fait plaisir ? Et une chose est un fardeau, l'autre un plaisir. Si je n'ai pas de plaisir, je ne participe pas. C'est le principe de Kla-TV. Et c'est comme ça que ça se passe, jour après jour. Présentateur : Vous pouvez constater, chers spectateurs, que cette femme est passionnée par ce qu'elle fait. Je suppose qu’avec cette activité ton père vit sa vocation. Loïs Sasek: Oui Présentateur : Et toi aussi, probablement. Ce n'était pas si facile de te faire venir à Linz. Beaucoup de rendez-vous. On aurait presque dit que nous devions produire l'émission de 2025. Car il y a de nombreux projets importants sur ton agenda. Parle-nous donc des prochains points culminants de Kla-TV. Sur quoi travaillez-vous en ce moment ? Loïs Sasek: Je dirais que le projet de loin le plus important que nous ayons actuellement est cet appel au réveil international concernant le traité de l'OMS sur la pandémie. Le vote aura lieu du 27 mai au 1er juin à Genève. Des délégués de 194 pays y participeront. Et il faut dire qu'ils sont en train de planifier un véritable coup d'État. Donc l'OMS et son directeur général, Tedros, devraient avoir tellement de pouvoirs qu'ils pourraient effectivement déclarer des pandémies. Ils veulent, comme avec un scalpel, castrer les États et « s’auto-autoriser ». Cela signifie qu'ils peuvent ensuite proclamer la vaccination, la quarantaine, les restrictions de liberté, comme ils le souhaitent. Quant au dossier Tedros, nous en avons déjà parlé. Nous avons également mis en lumière son passé criminel. Et c'est donc vraiment le super-désastre, cet homme. Et c'est pourquoi je dois dire qu'il s'agit actuellement du projet le plus important. C'est aussi parce qu'il n'y a pas d'instances de contrôle indépendantes. Vous avez aussi déjà rapporté sur AUF1 qu'ils veulent le monopole de la vérité et dire ce qui est juste et ce qui ne l'est pas. Éliminer la désinformation. Nous avons également créé une fiche d'information avec les faits les plus importants du texte du traité, l'on peut vraiment aller voir ses politiciens avec le libellé exact. On a ainsi de bons faits à discuter. Et là, chacun dans son pays peut aller voir les politiques et vraiment taper du poing sur la table pour que ce coup sournois soit dévoilé. Parce que, selon nous, c'est maintenant que ça passe ou ça casse. Et j'ai donc stratégiquement regardé la carte du monde pour voir dans quel pays on parle quelle langue, afin d'atteindre tous les pays. Parce que cela concerne tous les pays. Nous avons ensuite regardé quelles langues nous permettaient d'atteindre ces pays et nous avons vraiment lancé cette émission en 39 langues, de sorte que tous les pays stratégiques soient effectivement touchés, avec l'aide de nos traducteurs bénévoles. Et je profite de l'occasion pour vous encourager, chers téléspectateurs de Auf1, à insister et à dialoguer avec les politiciens. Sous l'émission, il y a un lien vers la fiche d'information, des flyers, des bases d'argumentation pour les gens du mainstream, pour les politiques. Et si vous avez des contacts, des amis ou des parents dans d'autres pays, attirez vraiment leur attention sur ce « roulement de tambour », sur cette émission importante. Le matériel est également traduit en d’autres langues. Nous travaillons jour et nuit. Mais vous pouvez vraiment prendre le matériel et le diffuser. Parce que je dis que c'est seulement ensemble que nous pouvons arrêter cette frénésie. C'est vraiment une super catastrophe mondiale, vraiment. Et là, nous devons absolument nous serrer les coudes et créer des synergies. Présentateur: L’utilisation de ce matériel, chers téléspectateurs, est explicitement autorisée. Car il s'agit de l'OMS et de ses projets, la diffusion est absolument autorisée. Parlons un peu de la famille Sasek. Si on fait quelques recherches : famille nombreuse, onze frères et sœurs. Est-ce qu'ils travaillent tous à Kla-TV ? Comment peut-on s'imaginer votre vie de famille, compte tenu de ce que vous faites ? Loïs Sasek : J'ai donc dix frères et sœurs, nous sommes onze en tout. La plus jeune a maintenant 20 ans. Et peut-être quelques mots sur l'histoire de ma famille : Mes parents sont très créatifs. Ils ont fait avec nous dès les premières années des petites pièces de théâtre, des comédies musicales, puis des tournées où chacun pouvait écrire une chanson chaque année, en fonction de ce qui le touchait. Nous avons aussi passé nos vacances de cette manière. C'était toujours sympa, nous faisions de la musique, chacun pouvait choisir un instrument. Ils ont toujours veillé à ce que chacun puisse s'épanouir, trouver et développer ses dons. Cours de chant ou cours de danse ou autre, ils ont toujours veillé à ce que nous puissions vraiment faire sortir ce qui est dans notre cœur et le mettre en pratique. Et c'est vrai que tout le monde a développé ses talents. Par exemple, ma sœur cadette, Ruth-Elpida, est une super compositrice. Elle fait de la musique de film et est auteur-compositeur de première classe, elle fait aussi de la musique pour Kla.TV et pour des longs métrages. Mon frère Elias est un génie dans le monde de l'informatique. Ce qu'ils réalisent avec toute l'infrastructure de serveurs qui se trouve derrière Kla-TV, avec toutes nos pages sur le web, c'est juste génial. Par exemple, lui et son équipe ont résisté à des attaques de hackers pendant neuf mois complets, jour et nuit. Des attaques de vrais professionnels. Ils ont mis des millions dans ce projet pour nous paralyser. Et là, Elias est tout simplement un prodige. Mon frère Jan-Henoch lui aussi, est très différent. Il est très doué pour la construction, l'électricité, la mécanique, la plomberie, la réfrigération, l’énergie solaire. Il s'occupe de toute la base et c'est tout à fait son truc. Ensuite, il y a Boasa, qui est une cuisinière passionnée et qui aime entretenir une maison, qui aime l'agriculture et la gastronomie. Tout cela se complète. Mais elle aime aussi venir au studio de cinéma, pour aider au montage. C'est tout simplement une œuvre familiale où chacun complète l'autre. Sulamith, ma sœur, et Andreas sont de vrais professionnels du graphisme, du montage et de l'édition de films. Ils forment des centaines de collaborateurs et organisent des stages. Anna-Sophia aussi, c'est une monteuse professionnelle. Mais elle est aussi, à mon avis, une chanteuse et une actrice vedette. Elle n'a donc rien à envier à Rihanna. Nos parents ont toujours su tirer le meilleur de nous. Noemi… oui, il y a beaucoup de frères et sœurs…c’est une couturière douée et une comptable et une intendante, c'est génial. Elle rédige aussi des textes pour nous ou rassemble des personnes. Stefan et Ramon sont à leur tour des personnes polyvalentes super talentueuses, dans tout ce qui est manuel, la menuiserie, le jardin, les espaces verts. Nous en avons besoin partout. Présentateur : J'espère que tu n'as oublié personne dans ta liste ! Loïs Sasek : Non, même pas. Je ne voudrais pas qu'un frère ou une sœur dise : Hé, pourquoi tu ne m'as pas nommé ? Et j'ai encore une bonne solution maintenant. Donc vraiment, des talents d'organisation sans fin. En tout cas, nous sommes impliqués les uns avec les autres. Et ici aussi dans ce livre « Le Seigneur des transformations », chacun a eu son mot à dire. On peut donc y lire encore un peu plus précisément comment chacun s'investit. Chacun a vraiment son mot à dire. On peut approfondir. Mais ce n'est qu'un petit aperçu de notre famille. Présentateur : Comment était-ce pour toi quand tu étais jeune ? Tu as tout de suite su que tu voulais entrer dans cette œuvre familiale. Tu es aujourd'hui directrice de production. Est-ce que cela a toujours été ton souhait ? Loïs Sasek : En fait, je voulais être la secrétaire de papa depuis mon plus jeune âge. Les professeurs et les élèves ont vraiment essayé de m'en dissuader. Mais ils n'y sont pas arrivés. C'était solide comme le roc. C'était tout simplement mon vœu le plus cher. J'avais remarqué que ce que faisait papa, je voulais le soutenir avec ma vie. Et c'est ce qui s'est passé. J'ai été la première à demander à papa si je pouvais participer à cette œuvre, à cette œuvre d’aide humaine, à l'œuvre de sa vie. Et ce n'était pas si simple. Il m'a dit… il m'a donné cinq semaines de réflexion. Tu sais, pour que je réfléchisse aux conséquences. Je n'ai pas de garanties, je n'ai pas de salaire. Tout peut s'arrêter du jour au lendemain. Et les diffamations, les persécutions. Et il m'a dit dès le début : « Si tu t'engages ici, tu auras des responsabilités. Tu ne peux pas te contenter de dire : ‘‘Au revoir, je m'en vais, je n'en ai plus envie’’ ». Cela veut dire cinq semaines de réflexion avec toutes les conséquences que cela implique. « Attends un peu, tu ne sais peut-être pas ce que tu dis maintenant. » Quelque chose comme ça, à 15 ans. Tu veux vraiment cela ? Et puis, je me suis décidée. Je savais ce que je voulais. Et c'était passionnant. J'ai alors déclenché comme une vague dans la famille. Puis l’aîné est venu voir papa et lui a dit que c'était la vision de sa vie. Il avait aussi réfléchi. Et à chacun papa a dit : "Maintenant réfléchis à toutes les conséquences. Tu ne peux pas faire ça comme ça, c'est un peu un engagement." Oui, et puis aussi tout le reste. On aurait pu faire carrière. Je veux dire, nous étions très bons à l'école, c’est vrai. Et c'est là qu'on prend la décision. Et puis en fait, l'un après l'autre, je dirais, ça s'est mis en place. Et comme des dominos. Et c'était particulier, parce que les experts en sectes avaient prophétisé que lorsque le premier aurait 18 ans, il prendrait la poudre d'escampette. Il allait s'enfuir. Mais c'est le contraire qui s'est produit. Quand le premier a eu 18 ans, ça a vraiment commencé. C'est-à-dire que l'un après l'autre, ils sont entrés de leur plein gré, ils ont convaincu papa qu’ils voulaient cela aussi. Ça signifie que nous avons tout construit ensemble pendant douze ans, au-delà de la date d'expiration que les experts en sectes nous avaient donnée. Ensemble, en tant que famille entière. Et puis les experts en sectes sont revenus. C'est très contre-nature. Cette cohésion qui se prolonge au-delà du temps familial. Donc, les experts en sectes ont toujours eu quelque chose à redire. Ce n'était jamais bien. Ensuite, ils ont même sorti de leur chapeau une vague médiatique, disant que mon frère Elias avait quitté la famille. C'était une véritable campagne de mensonges. Mon frère souffre encore de ce mensonge. Je dis seulement que quoi que nous ayons fait, cela n'a jamais convenu aux médias. Nous en revenons au sujet. Présentateur : Il faut aussi que nous reparlions tout de suite du sujet des sectes. Cela m'intéresse effectivement. Mais encore une question. Tu as dit que tu travailles sans salaire. Loïs Sasek : Non, ce n'est pas vrai non plus. Présentateur : Comment peut-on s'imaginer cela ? Tu dois bien recevoir quelque chose. Loïs Sasek : Mon salaire, c'est justement quand quelque chose réussit, comme je l'ai raconté auparavant. C'est le salaire le plus grand. Tu es au lit et tu réalises que tu es comblée. C'était tout simplement génial. C'est la récompense suprême quand tu réalises qu'après une action, c’est à celui qui dit le plus à l’autre : « Merci, merci, merci, merci. » Et je ne manque jamais de rien. C'est une relation avec Dieu. Et c'est une confiance jour après jour. Et justement, la semaine dernière, nous avons à nouveau reçu de la nourriture. Ça vient, ça part. Je veux juste dire que ce n'est pas sans salaire. Présentateur : Mais si tu vas de la Suisse en Autriche, il faut aussi faire le plein de la voiture. Et là, on a besoin d'argent. Comment faites-vous pour faire rentrer de l'argent dans votre caisse ? Loïs Sasek : J'ai dit que mon père était le meilleur modèle. Il donne l'exemple. Il donne, il distribue, il distribue. Et ainsi chacun fait ce qu’il a sur le cœur. Comme maintenant, la personne qui m'a conduite ici a dit : Hé ! je suis en vacances. Je peux te conduire ? Est-ce que je dois payer un chauffeur ? J'ai pu passer les cinq heures derrière à réfléchir à tes questions. Mais vous comprenez, j’aurais dû payer un chauffeur. Cela vient de l'intérieur. Et si Dieu est si grand qu'IL prend soin des oiseaux et donne les plus beaux vêtements aux fleurs, pourquoi ne serait-ce pas possible pour nous ? C'est ce que Jésus dit dans la Bible. C'est ce que nous vivons. Mais que ça ne stresse personne. Je dis que c'est simplement ce que papa montre en exemple. Le nouveau monde est sans argent. Nous nous donnons les uns aux autres de plein cœur. Et on reçoit toujours plus que ce qu'on peut donner. Présentateur : Qu'est-ce qui te fascine dans ton activité et qu'est-ce qui te motive ? Loïs Sasek : C'est cette interaction organique, c'est clair. Tu vois qu'il y a une intelligence supérieure qui gère tout cela. C'est pour moi une pure fascination. Cela ne concerne pas que nous. Je veux dire, AUF1, tous les mouvements de dévoilement qui poussent comme des champignons. Je sens vraiment qu'il y a une force derrière tout cela, c'est tout simplement génial. Et j'assiste à des miracles tous les jours. Et ce qui me fascine depuis l'enfance, c'est que j'ai constamment été témoin de la transformation de centaines de personnes. Je dis donc que les égoïstes sont devenus des personnes altruistes. Des gens avides sont tout simplement devenus avides de donner. Ou des gens qui se plaignaient, qui se disputaient, sont devenus tout à coup des gens pleins d’amour, doux, des bergers, des gens qui rassemblent, qui servent les autres. Et des personnes déprimées, découragées, mélancoliques sont devenues joyeuses et donnent tout le temps les meilleurs encouragements et des paroles pleines de foi ; des couples et des familles ont été restaurés. C'est ce qui me fascine beaucoup, parce que le changement commence dans son propre cœur. Dans tout ce mouvement que papa a lancé. Là où il y a de la jalousie, des disputes, de l'avidité, de la recherche de profit, ça commence toujours par soi. Je peux commencer tout de suite à changer le monde. Mais je sais que ça va jusqu'au bout du monde. Cette force, elle peut le faire. Et mon père est extrêmement authentique, parce qu'il montre l'exemple. Il a écrit 18 livres. Il a organisé des milliers de formations gratuites, où il est toujours question de la même chose, de cette force gigantesque qui est en jeu. Présentateur : Maintenant, il y a aussi de la résistance. Il y a de la diffamation. Tu as toi-même évoqué ce mot tout à l'heure. Tu as eu récemment une confrontation avec la télévision suisse. Comment cela s'est-il passé ? De quoi s'agissait-il ? Loïs Sasek : Il faut que je développe un peu. En fait je me suis déjà demandé pourquoi la RTS nous poursuivait. Et il y a toujours certains noms qui entrent en jeu : Georg Otto Schmid, Hugo Stamm. Toujours les mêmes noms. Et ces dernières années, j'ai réalisé que ce sont les mêmes personnes qui nous attaquent, mais qui banalisent ou protègent d'autres groupes, des gens accusés de véritables atrocités. Et là, on parle de milliers de victimes du monde entier qui ont survécu et qui commencent à parler de choses vraiment graves. D'une secte satanique, de l'idéologie satanique. Cela va jusqu'à des sacrifices cruels d'enfants, des abus rituels, la torture d'enfants, la torture d'enfants. Certains se demandent peut-être ce que je raconte maintenant… Je cite brièvement à cet endroit… je dois faire un bref développement. Le gourou sataniste Aleister Crowley dit dans son livre, il est public, « La magie en théorie et en pratique » volume 4, page 87 : « Le sacrifice de sang a toujours été la partie la plus observée de la magie. Pour obtenir le plus grand bénéfice spirituel, il faut donc choisir une victime qui possède la force la plus grande et la plus pure. Un enfant mâle d'une innocence parfaite et d'une grande intelligence est le sacrifice le plus satisfaisant et le plus approprié. Pour presque tous les buts, le sacrifice humain est le meilleur ». Alors, imagine si mon père avait écrit ça ! Bref, fermez la parenthèse. De nombreuses voix se sont élevées en Suisse pour dénoncer ce culte de sacrifices satanique. Le cas de Nathalie, par exemple. Beaucoup ont eu le courage de témoigner. Et c'est maintenant que ce Georg Otto Schmid revient sur le devant de la scène. Le même Hugo Stamm, la même RTS dans le même réseau. Tout cela relèverait de la théorie de conspiration. Ils tournent alors tout cela en ridicule. Ils ont ridiculisé les victimes et les témoins. Ah oui, et les quelques fans de l'Eglise de Satan, on n'a même pas besoin de s'en occuper. Donc tout à coup, les mêmes personnes qui diabolisent mon père, qui est pour moi la personne la plus chère, sont tout à coup très clémentes. Non, je n'ai pas peur, il n'y a rien. Et c'est là que j'ai sorti le documentaire, où j'ai commencé à montrer, à partir de toutes les informations rassemblées par ces victimes survivantes, les liens entre la RTS et tous ces cercles et le journaliste Robin Rehmann avec cette secte satanique, avec des faits, avec des preuves. Et c'est devenu passionnant. J'ai reçu une lettre de menace le dimanche juste après la diffusion, avec un ultimatum de deux heures, le dimanche, de retirer ça tout de suite avec des menaces de conséquences juridiques. C'était vraiment la chose la plus extrême que j'ai vécue. Et j'ai bien sûr continué à faire des recherches. J’ai ensuite brièvement retiré le documentaire. Présentateur : Ok, c’était ma prochaine question. Tu l'as retiré ? Loïs Sasek : Je l'ai retiré un temps. Elle était tellement menaçante, cette lettre. Je me voyais déjà derrière les barreaux. Et puis j'ai continué à faire des recherches et je me suis rendu compte que tout était bien réel. C'était encore bien plus que ce que j'avais rapporté. Ils ont alors déjà fait la fête, ils ont écrit à tous ceux qui l'avaient encore. C’était sûr, elle l'a retiré. Vous devez aussi le retirer ! Retirez-le ! Retirez-le ! Bittel-TV aussi, tous, retirez-le. Et puis je suis revenue avec un droit de réponse à cette lettre de menace et le film. Re-upload a relancé l’histoire, avec encore plus de faits [www.kla.tv/26446]. Et chaque fait a été une nouvelle fois prouvé. Et puis cette vidéo est passée à 1,86 million de vues et a été partagée. Puis le calme est revenu dans la forêt. Je n'ai plus jamais entendu parler de la RTS. Ça m'a laissée très perplexe. Mais ce que je veux dire… ma conclusion de tout ce que j'ai tiré. Des gens justes et honnêtes comme mon père, on les calomnie et on les criminalise de la pire des manières. Et j'ai l'impression que c’est pour ne pas avoir l'idée de creuser un peu là où se déroulent les véritables crimes. Voilà où j'en suis actuellement. Parce qu'alors les chrétiens disent que ceux-là sont très méchants et qu'ils prient jour et nuit. Mais je ne pense pas qu'il y ait un danger venant d'eux, mais plutôt de ce genre de personnes, comme ceux de ces médias. Et là, je dois revenir à mes recherches sur le satanisme. J'ai le sentiment que nous devons regarder qui tire les ficelles au sommet. Et je me souviens d'Albert Pike, un sataniste avéré. C'était un franc-maçon du 33e degré et le fondateur de la secte de Satan. Et attention, c'était aussi un général de brigade et un grand commandant, donc l'officier le plus haut gradé de l'armée. Et un document important a été révélé, c'était en 1891, qui dit comment il avait planifié les trois guerres mondiales. Documenté et organisé. Première Guerre mondiale, je résume brièvement. Le pouvoir du tsar doit être brisé en Russie, le pays doit être transformé en forteresse du communisme athée. La Seconde Guerre mondiale. Elle doit naître des différences entre fascistes et sionistes, afin de détruire le nazisme et de renforcer le sionisme politique. L'objectif de la Deuxième Guerre mondiale aurait été la création de l'État d'Israël. La troisième guerre mondiale doit être déclenchée entre les sionistes politiques et les Palestiniens, c’est-à-dire les dirigeants du monde islamique. Cela nous semble probablement familier, c’est ce qui se passe en ce moment. Et je veux juste attirer l'attention sur le fait que nous devons regarder là où les crimes se produisent réellement. Et c'est ce que confirme le sataniste Aleister Crowley, à nouveau dans son livre que j'ai mentionné précédemment, où il dit que la planète entière doit être baignée dans le sang. Cette grande guerre doit être menée, car il s'agit d'une opération de magie de la plus haute importance. Il peut écrire cela ouvertement, personne ne le regarde, aucun média n'écrit quoi que ce soit. Imagine si mon père avait écrit ça. « Nous devons baigner la planète dans le sang. » Présentateur : Ton père a été exposé à de nombreuses diffamations. Comment percevais-tu cela quand tu étais enfant ? Première partie de la question, mais ce qui nous intéresse bien sûr aussi, comment ton père a-t-il surmonté cela ? Il a été traité de complotiste, de gourou de secte, de négationniste et Dieu sait quoi d'autre. Ça affecte forcément un être humain. Comment as-tu vécu cela ? Tu as certainement dû entendre des choses de la part de tes camarades de classe à l'école. Et comment vivais-tu cette situation avec ton père pendant toutes ces années ? Y a-t-il eu des moments, des moments de déception, de frustration ? Loïs Sasek: Bon, je commence par la deuxième question. Cela fait presque partie du quotidien, ces points zéro où l'on est parfois ému aux larmes face à toute cette injustice. Mais mon père me montre l'exemple de manière vraiment gigantesque : dans ces moments où il est au point zéro, où on ne peut que pleurer, où on est impuissant, à terre, il s'enfuit toujours auprès de Dieu et il sait qu'il y a une justice et qu'il y puise la foi. C'est un homme debout qui a survécu à tout cela. Je pourrais raconter histoire sur histoire. C'est pourquoi il est mon plus grand modèle, car il ressuscite toujours dans ces points zéro de la faiblesse, de l'impuissance, et ne perd jamais la foi en Dieu et il est toujours dans la foi. Et moi-même, tu m'as encore demandé comment je le vivais. C'est évidemment difficile. Nous avons des œufs sur les vitres, des voitures rayées, on voit des doigts d’honneur ici et là, nous avons déjà été cambriolés deux fois, un feu a été allumé dans notre maison, des attaques également contre notre famille, des pneus ont réellement été crevés, des vis dévissées, ce qui a failli coûter la vie à toute la famille une fois. C'est aussi écrit ici, c'est aussi un miracle que ça ne soit pas arrivé. C'est grave, même la diffamation à l'école. Je veux dire, toute la calomnie, ils ont aussi lu le journal. J'ai même été frappée par les garçons, j'étais vraiment rejetée. Mais ce que j'ai trouvé encore pire, ou presque, ce n'est pas seulement ça, c'est que depuis mon adolescence, on a fait du lobbying pour que je m'oppose à mes parents. Toujours recrutée, « Sors de là, viens ici, sauve-toi ! » Même la RTS elle-même, je veux dire Evelyn Falk de la RTS, m'a dit : « Viens, viens nous aider, viens chez nous ! » C'est tentant sur le moment, je veux dire, les Suisses paient de bonnes piges, on peut réussir là-bas, non ? Mais je trouve ça assez cru que tout le monde, enfin tout le monde, que certaines forces, certaines personnes ont toujours essayé de nous diviser, de nous attirer hors de la famille. Et je me suis dit que je voulais que le monde sache qui était vraiment mon père, qui était vraiment ma mère. J'ai aussi fait un exposé en 2010, que l'on trouve sur le site de l'AZK, où j'ai fait une déclaration à propos de papa. J'ai dit, hey papa et maman, ils nous embrassent matin, midi et soir, ils ont leur cœur pour nous. On ne se couche jamais avec des tensions. Tout est toujours réglé. Je n'ai jamais connu la colère. J'ai tout déballé, aussi pour être une voix pour eux. C'est ainsi que j'ai géré la situation, parce que je veux témoigner que nous avons vécu le paradis sur terre. Je veux témoigner du fait que nous n'avons jamais laissé le soleil se coucher sur une quelconque dispute, sur un quelconque désaccord. Ce sont pour moi, je pense, les meilleurs parents du monde et le monde doit le savoir. Et c'est ainsi que j'ai géré tout cela. Je veux être une contre voix, c'est pour ça que je suis venue ici. Présentateur : Maintenant, tu as presque anticipé une réponse à une question, mais je veux quand même la poser à nouveau. Car si on fait des recherches, on trouve aussi le sujet de l'éducation. Et on dit de ton père qu'il agit avec une main très dure, et c'est ce que l'on peut lire sur certains sites Internet, qu'il considère la punition des enfants comme une condition préalable pour en faire des gens bien. Comment as-tu vécu cela quand tu étais enfant et adolescente ? Loïs Sasek : Tout d'abord, tût, tût, bip, bip, mensonge, ce n'est pas vrai. Considérer la punition des enfants comme une condition préalable pour devenir quelqu'un de bien, c'est une idiotie totale, une foutaise. Mon papa n'a jamais dit ça et n’a jamais appelé à le faire. Cela n'a jamais été le cas. Je n'ai jamais connu la violence, ni de la part de maman ni de papa. J'ai toujours vécu des relations affectueuses. Jamais de colère, jamais de punition sous le coup de l'émotion, jamais. Mais justement, les médias ne veulent pas l'entendre, et je dois donc raconter un petit épisode, comme avec la RTS qui fait une interview lors d'une de nos manifestations avec Georg Otto Schmid à nouveau. Et je me dis, j'ai 17 ans, c'est mon moment, je peux dire directement devant la caméra ce qu'il en est vraiment. Et puis il dit devant la caméra : « Là, il faut corriger les enfants et briser la volonté ». Et j'ai tout de suite dit, « c'est faux, attendez, mon père est l'homme le plus adorable, je n'ai jamais connu la colère, je n'ai jamais connu la violence avec lui. » J'ai tout dit à la caméra, directement devant la caméra de la RTS. Le caméraman comme ça dans tous les sens, la réalisatrice était déjà comme ça, c'était un peu une ambiance spéciale. Et j'ai pensé que c'était enfin réussi. Voix et contre voix. Les gens pourront le voir par eux-mêmes. Présentateur : Est-ce que ça a été diffusé ? Loïs Sasek : Et puis, la déception n'a pas tardé, parce que je me suis promenée autour du hall. Un peu plus tard, je vois les deux personnes dans une niche cachée refaire l'interview, sans moi. Bien sûr, ça n'a jamais été diffusé. On sait donc que ce n'est pas souhaité. Et pour tous ceux qui justement font des recherches, et même toi en bon lanceur d’alerte, on tombe sur ces mensonges, je voudrais simplement dire que les médias ne sont pas intéressés par ce qu'il en est vraiment, mais c'est aussi visible publiquement. Mon papa a écrit un livre, « Éduque avec une vision ». C'était aussi toujours le point fort. Nous avons aussi fait toute une tournée familiale où nous avons vraiment consacré des chansons entières à ce thème. Chacun a pu dire comment il le vit. Tout le monde peut y accéder. Et tu n'y trouveras rien de ce qui y est écrit de mauvais. Mais je voudrais dire quelque chose à ce sujet, car cela préoccupe aussi tout le monde. Éduque avec une vision est pour moi le mot-clé. Vision. Parce que c'est ainsi que l'on pourrait résumer l'éducation de mes parents. Parce que papa nous a toujours dit qu'il s'agissait de puissances. Donc dehors, les guerres, la corruption, l'exploitation, ce sont des puissances obscures. Et elles frappent aussi à notre cœur dès le plus jeune âge. Et tout ce qui se passe à l'extérieur, à grande échelle, commence ici, dans le cœur. Les disputes, la jalousie, le vol. Et la vision a toujours été, la vision de vaincre le mal dans mon cœur et ensuite aussi dans le monde entier. Et Dieu en moi peut et veut vaincre le mal. Et Il a aussi besoin de nous pour cela. Il ne peut pas le faire tout seul. Il a besoin de réceptacles. Et il n'y a pas de différence entre vaincre un petit mal dans mon quotidien et vaincre un grand mal. Dans les deux cas, il faut une force surnaturelle. Dans les deux cas, il ne suffit pas que je veuille faire quelque chose de bien. Et c'est ainsi qu'ils nous ont éduqués. C'est ainsi que je l'ai vécu. Et nous sommes toujours conduits à la maturité, afin que nous puissions nous rendre compte nous-mêmes que c'est mal. Ah, c'est la guerre ! C'est une petite action terroriste. Et je dois vraiment dire que papa ne nous a pas éduqués avec des théories du yin et du yang, du genre « voilà le mal et le bien, il faut les maintenir en harmonie et tout ira bien ». Parce que le mal, même s'il ne représente que 10 %, fera toujours la guerre au bien, le volera, l'opprimera, l'asservira. Donc cette théorie du yin-yang, ce n'est pas notre façon d'être éduqués, parce que c'est aussi comme ça dans une famille. Tu ne peux pas dire « oui, bon, un petit voleur, qu'il nous vole, le reste est bien ». Tu n'as plus la paix familiale. Nous devons vaincre le mal. C’est pourquoi notre devise familiale a toujours été le repos tout autour et la paix pour tous. Et c'est pourquoi, lorsqu'il y avait quelque chose, nous nous asseyions souvent pendant des heures, jusqu'à ce que tous aient la joie, jusqu'à ce que tous soient libres de l'intérieur et aient la paix. Et c'est effectivement à cause de la calomnie que mon père a été placé en détention provisoire. Il a été interrogé et nous avons tous été retirés de l'école et examinés immédiatement pour rechercher de traces de maltraitance, dans le cadre de cette vague. Et cela s'est avéré être une tempête dans un verre d'eau. Ils ont dit, c'est une tempête dans un verre d'eau, vous avez une paix céleste ici, si tout le monde était comme vous, nous n'aurions plus de travail. C'est ce que dit la police, ce que disent ces autorités. Et je dois dire que oui, ils n'auraient plus de travail, mais en ce moment, elle a beaucoup de travail, la police. Ils doivent intervenir dans les écoles, de plus en plus. Je tiens cela de sources directes d’enseignants, parce que les enfants ne connaissent effectivement plus de limites, plus rien. Ils ne sont plus éduqués, ils font des émeutes, ils sont violents et alors, les policiers sont là, ils n'ont pas une petite baguette en bambou avec eux, ils ont leur équipement avec eux et les enseignants sont en burnout. Ils ne peuvent plus gérer ces enfants. Alors, encore une petite remarque à ce sujet : Cette idéologie selon laquelle il n'y a plus de limites. Tout est permis. Plus rien n'est bon ou mauvais. Tu es autant femme qu’homme et toutes les nuances entre les deux, il n'y a plus d'orientation là-dedans. C'est un phénomène assez nouveau pour moi aussi. Et, tu comprends, ce « plus de tabous, plus de limites », je dis que c'est comme si tu disais que les vaches n'ont plus besoin de clôture barbelée, parce que ça les pique ; elles peuvent maintenant courir dans la rue et même s'il y a des morts quand on heurte les vaches, c'est quand même de la violence. Il ne doit plus y avoir de limites. Je veux juste dire que je trouve que cette idéologie, selon laquelle il n'y a pas de frontières, est aussi quelque chose de tout à fait nouveau, et donc vous pouvez me suivre, tu peux me suivre, dans ce que je veux dire. Présentateur : Oui, oui, c'est vrai. Je voulais parler du livre. En faisant des recherches, on trouve que tu as publié il y a quelques années déjà, avec tes frères et sœurs Simon et David, un livre intitulé : « Maman, s'il te plaît, châtie-moi. » Est-ce quasiment le mode d'emploi de ce que tu viens de dire, il faut aussi poser des limites ? Tout d'abord, ce titre fait froncer les sourcils. Loïs Sasek : Alors tout d'abord, ce titre est une citation, une citation provocante d'un événement où une fillette de onze ans est venue voir Papa au bureau en pleurant. Elle nous a vus nous les enfants, mais elle s'est aussi vue elle-même et a dit : « Regarde, tes enfants peuvent être gentils. Tes enfants peuvent faire le bien. Moi, je ne peux pas. Je dois toujours faire le mal. Je dois toujours être en désaccord. Je ne peux jamais obéir. Ma maman, elle non plus, n'intervient jamais. Elle ne me donne pas de limites. » Et en larmes, elle a effectivement supplié Papa de demander à sa maman si elle pouvait, elle aussi, dans ces moments-là, prendre une baguette. Papa a donc repris cela et nous a donné l'occasion de dire comment nous vivions le fait qu'une limite soit parfois fixée à petite échelle. Prenons l'exemple de la petite mauvaise herbe : tu la tires, elle est arrachée, petit geste, disons, mais seulement dans des situations exceptionnelles où c’est nécessaire. Petit voleur, petit geste. Grand voleur, ça ne marche plus. Les dealers, les braqueurs de banque, les menteurs, les petits menteurs, les grands menteurs, les politiciens, peu importe, tu ne peux plus les arracher rapidement. C'est là que nous avons eu la chance de pouvoir en parler un peu. Simplement comment nous vivons cela et que nous n'avons jamais connu de colère, jamais de relation non résolue. Mais justement, on en fait tout un plat, cette petite baguette de bambou est le seul problème que nous ayons encore sur cette terre ! Cette baguette, qui était une pratique courante depuis des siècles, des millénaires, qui marquait parfois une limite dans des cas extrêmes. Et c'est exactement ce que je dis, pourquoi les satanistes ont-ils leur plus grande fête le jour de l'éducation non-violente ? Parce que c'est là que naissent les grands diables. Si tu ne donnes pas de limites, « dis et fais ce que tu veux. Va où tu veux. » C'est de là que se forment les petits, c'est là que se forment les diables. Nous avons simplement parlé de nous, de nos camarades d'école, de ce à quoi ça ressemble quand tu es assis en pleurant et que tu réalises que tu ne peux pas faire le bien : « Je suis coincé dans la drogue. J'ai un petit ami après l'autre. Je suis esclave du plaisir, du péché. J'aurais aimé que quelqu'un me montre une limite quand c'était petit. » Et c'est là que je dois dire que nos parents l'ont fait. Mon papa l'a avoué. Je veux dire que la petite baguette était encore normale pendant des siècles. Maintenant, c'est une nouvelle idéologie. C'est ce que je voulais dire avant, que tu fais ce que tu veux. J'ai envie de prendre ton portefeuille. C'est cette idéologie-là. Je peux faire ce que je veux et quand je le veux. Mais cette idéologie ne marche pas, parce que tu as alors un problème, parce que je vole ton portefeuille. Tu comprends, il y a toujours un contexte. Et c'est là que je dis que Papa en parle ouvertement. Mais pourquoi en fait-on tout un plat ? C'est pourquoi j'en ai parlé avant, alors que tout le monde a le sentiment que la petite baguette est le plus gros problème que nous ayons encore, ils lâchent leurs bombes, mutilent leurs gens. Et personne ne regarde. Tu peux suivre un peu ? Présentateur : Oui, bien sûr. Je fais partie de cette génération. Je suis encore de la génération où papa et maman utilisaient de temps en temps la main. Et il y en a eu quelques-unes sur le derrière. Ma maman utilisait toujours la cuillère en bois. Et même si d'autres prétendent le contraire, je pense que ça ne m'a pas nui. De temps en temps, ça me faisait du bien. Aujourd'hui, on parle de ne plus faire ce genre de choses. Loïs Sasek : Oui, mais justement, je recommande aussi vraiment le livre, parce que la manière dont nos parents nous ont éduqués est tellement fantastique. Toujours expliqué, regarde, si ça continue comme ça, si tu fais ça maintenant, qu'est-ce que ça signifie pour ton entourage ? Qu'est-ce que ça signifie pour ton frère, si tu le voles ? Qu'est-ce que cela signifie ? Et c'est ainsi que mon frère a expliqué, raconté dans le livre comment il a commencé à voler dans la caisse. Et toujours en se faufilant, il a continué à voler. Puis il a commencé à voler à l'école. Il a volé les stylos des élèves. Et il est devenu de plus en plus sombre, de plus en plus chargé. A la fin, il n'avait plus de bonnes notes mais de mauvais résultats. Il n'allait plus du tout bien. Et comme il le dit ensuite, comme c'était libérateur, de voir simplement cette limite : « ce n'est pas bon », ou autre chose ; je dois finir l’histoire, il s'est tenu devant la classe, il a dit, je vous ai volés, je suis désolé, il a pleuré. Dans la classe, ils étaient tous fous de joie. Là tu réalises que le bien est à nouveau le bien, que le mal est à nouveau le mal. Ou parle d’action sous faux drapeau, nous avons eu cela une fois dans notre famille, deux ont joué avec le feu, puis le tapis a brûlé. Et puis, « merde, maintenant, c'est fichu. » Ensuite, les deux, c'est-à-dire les aînés, ont imaginé de mettre ça sur le dos de la sœur cadette. Et ensuite, la jeune sœur a subi ce petit acte de terrorisme sous faux drapeau, c'était ça, n'est-ce pas ? Mais ça a bien sûr été découvert. Tout le monde était content et a dit que ce n'était pas bien. Ce n'est pas bien. Il ne faut pas le refaire, sinon, ça prend de l'ampleur. Et c'est aussi comme ça dans le livre, un petit voleur, un grand voleur, un braqueur de banque. Mais je peux juste dire que mes parents nous ont donné une éducation fantastique. Il n'y a jamais de colère, comme je l'ai dit, jamais un mot méchant, jamais. Et moi-même, je ne me souviens même pas d'avoir reçu un coup de baguette de mon papa. Moi aussi, j'ai écouté. Tu vois ce que je veux dire ? Présentateur : Bon, quittons à nouveau la situation familiale des Sasek. Faisons un pas de plus. Parlons un peu de cette vidéo dite « Roulement de tambour ». C'est une idée que tu as eue et qui traite de sujets particuliers. Quelle est l'idée sous-jacente ? Dis-le à nos téléspectateurs. Loïs Sasek : Donc l'idée est de booster particulièrement une vidéo, que tout le monde la diffuse en même temps et que nous la mettions en même temps dans toutes les langues que nous pouvons, pour qu'il y ait un effet boule de neige. Et c'est comme le traité sur les pandémies de l'OMS, dont j’ai parlé, où nous demandons à tous ceux qui le peuvent de télécharger sur leurs canaux, de partager aussi, parce que cela donne un effet boule de neige, où en quelques jours nous pouvons atteindre des nombres à six, sept, huit chiffres si nous nous unissons tous. Et là, je souhaite aussi une collaboration entre les différents acteurs de la sensibilisation, où nous disons ensemble que nous allons nous en sortir, comme avec ce traité de l'OMS sur la pandémie. Il y a déjà des manifestations à Tokyo, en Espagne, en Hongrie, il y a de la résistance partout, même dans différents pays africains qui ne veulent plus de ce traité. Vous voyez, nous sommes déjà en train de percer ici, et je pense qu'ensemble, en tapant ensemble sur le tambour, nous pouvons faire bouger beaucoup de choses, si tout le monde saute sur l'occasion. Présentateur : Nous avons maintenant ce Digital Services Act, auquel nous sommes également confrontés sur AUF1. Comment gérez-vous cela ? Avez-vous une stratégie pour échapper à la censure ? Loïs Sasek : En fait, depuis douze ans, il y a douze ans, parallèlement à Kla-TV, nous avons commencé à mettre en place un réseau Express Main à Main, c'est-à-dire complètement indépendant d'Internet, de personne à personne infopool.info, c'est une feuille avec des informations au recto et au verso, sous forme abrégée chaque semaine. Et c'est là que nous tissons depuis douze ans déjà ce réseau, où nous nous mettons physiquement en relation. Donc on sort de l'anonymat, on ne se contente pas d'être un tel ou un tel 777, mais on connaît l'adresse postale, l'adresse, le numéro de téléphone de chacun. Et c'est déjà le point fort chez nous, où je vous demande à vous aussi, spectateurs, de sortir de l'anonymat, de vous donner mutuellement votre adresse et votre numéro de téléphone. Vous pouvez, si vous le souhaitez, vous mettre en réseau avec nous. Il est important de se mettre en réseau avec les pays, c'est le lien www.kla.tv-vernetzung, pour que l'on sache les uns des autres, et que le collaborateur le plus proche de chez vous vous contacte. On sait alors, ah tu habites là, ah cool, en cas de censure tu reçois de moi le journal ou l'émission et nous devons déjà nous concentrer pleinement sur cela, parce que nous avons déjà été vraiment supprimés, bloqués sur X plateformes. C'est justement lorsque nous avons franchi la barre du million que le couvercle est tombé, c'est la première priorité pour moi. Présentateur : C'est la dernière ligne droite de notre édition d'aujourd'hui de Spielmacher AUF1, qui sera un peu plus longue que d'habitude. La question qui t'est posée à nouveau concernant les modèles, y a-t-il eu des modèles dans ta vie, je suppose ton père, mais y a-t-il eu des modèles qui t'ont inspirée dans ton activité de directrice de production, de modératrice ? Loïs Sasek : Oui, papa, maman, Zita, Daniela, Ruth, Bettina, ce sont nos combattants de première ligne, ils ont survécu aux tempêtes les plus violentes ; on peut pour moi les placer juste à côté des personnages les plus éminents de la Bible, si on reste simplement ferme à travers de telles tempêtes, ce sont mes modèles. Présentateur : Que signifie le bonheur pour toi dans ta vie aujourd'hui, en tant que jeune femme de 36 ans ? Loïs Sasek : La vie avec Dieu. Présentateur : Si tu ne pouvais souhaiter qu'une chose aux gens, qu'est-ce que ce serait ? Loïs Sasek : Qu'ils vivent ce que je vis tous les jours, mais ils peuvent aussi le faire s'ils veulent. Je ne veux pas non plus seulement faire passer le bacon par la bouche ou le nez. On peut donc aussi s'inscrire pour devenir actif chez nous, si on veut voir comment se passe l'interaction organique, comme je l'ai dit. Il y a tellement de domaines dans lesquels on peut s'impliquer, mais j'aimerais que tout le monde puisse vivre cela, c'est fascinant pour moi, oui. Présentateur : Si Loïs Sasek a quand même un mauvais moment à passer, si une mauvaise nouvelle est arrivée, si elle est parfois contrariée, comment fais-tu pour te sortir de cet état et te ramener au bonheur ? Loïs Sasek : Je vais prier, j'en parle à Dieu tous les matins aussi, je le fais toujours pendant au moins une heure, simplement pour avoir un appui en Dieu, parce que sinon je ne peux pas du tout supporter tout ça. S'il le faut, je pleure auprès de Lui, on peut s'appuyer sur Lui, c'est la relation que Papa et Maman nous ont donnée en exemple, c'est un tel réconfort, un apport de force, de confiance, cela donne infiniment d'amour, c'est clairement mon refuge pour moi. Présentateur : Pour conclure cette émission, j'aimerais que tu sois une sorte d'oracle pour nous, comment le monde va-t-il évoluer dans les prochaines années ? Loïs Sasek : Donc, la lumière est toujours plus forte que les ténèbres, la vérité est toujours plus forte que le mensonge et le bien l'emporte toujours sur le mal. Mais la vitesse à laquelle cela se produit ne dépend que de nous, car la lumière a besoin d'un corps, la vérité a besoin d'un corps, le bien a besoin d'un corps. Et si nous ne sommes pas un corps pour refléter ces qualités, si nous ne sommes pas porteurs de cette puissance gagnante de Dieu, rien ne va, c’est ma conviction. Mais si nous nous mettons en réseau, si nous sommes le corps qui reflète ces bonnes qualités, alors je dis que Babylone tombera en une heure, comme il est écrit dans la Bible. Et c'est mon espoir, ma foi, que nous y parviendrons ensemble. Présentateur : Chers téléspectateurs, si vous n'êtes pas allés au culte aujourd'hui, vous êtes excusés d'avoir regardé cette émission, car il y avait aussi quelque chose de divin ici dans cette émission, grâce à la visite de Loïs Sasek de Kla-TV. Je te dis un grand merci d'avoir été à ma disposition pour cette émission. Transmets également les meilleures salutations de l'équipe d'AUF1 à ta famille. Nous vous soutenons volontiers dans votre travail. Nous pourrions peut-être forcer un peu la coopération, car j'ai déjà découvert l'un ou l'autre parallèle dans la vie d'Ivo Sasek et de Stefan Magnet. Tous deux sont des combattants de la résistance qui se font tirer dessus de tous les côtés, et il se pourrait qu'une sorte de coopération, d'approfondissement de la collaboration, ait un sens. Merci de tout cœur. Chers téléspectateurs, j’ai une demande : Partagez cette émission ! N'hésitez pas non plus à aller voir sur Kla-TV. Formons ensemble un corps qui veille au bien et fasse tomber Babylone, pour conclure avec les mots de Loïs Sasek. Merci de votre attention. Je vous souhaite le meilleur. À la prochaine fois.
de Lois S.
Le plan directeur pour 3 guerres mondiales - Albert Pike https://unwiderlegbarefakt.wixsite.com/wahrheitsiegt/post/ein-brief-von-albert-pike-aus-dem-jahr-1871-enth%C3%BCllt-den-plan-der-illuminaten-f%C3%BCr-den-3-weltkrieg
https://www.youtube.com/watch?v=zX7jT0-GUAM
https://de.wikipedia.org/wiki/Albert_Pike
Le guide du sataniste Aleister Crowley sur les rituels magiques et les sacrifices humains www.invisiblehouse.org/pdf/liber004_3.pdf
Le sataniste Aleister Crowley explique la signification énergétique des sacrifices humains www.extremnews.com/meinungen-kommentare/d141443d58abee
Vous voulez devenir actif, aider et vivre la vie organique en direct ? Alors inscrivez-vous à l'adresse suivante : https://www.kla.tv/aktiv-werden.
Vous êtes intéressé(e) par le livre ou l'oratorio « Éduque avec vision » : https://www.sasek.tv/fr/books/vision
https://www.sasek.tv/search.php?search_lang=3&browser=3&sort_type=29
Autobiographie d'Ivo Sasek et sa famille : https://www.sasek.tv/fr/books/wandlung-teil2
Curieux de savoir comment se déroule une déconstruction en essaim en 30 minutes ? https://www.antizensur.info/azkmediacenter.php?mediacenter=conference&topic=10&id=169