18ème AZK Discours de clôture d'Ivo Sasek : des remèdes contre la peur

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15.01.2023 | www.kla.tv/24770

Wow, quelle chanson à nouveau, merci à la famille Ebert et à toute l'équipe. Quelle chanson, quelle conclusion digne, incroyablement belle. C'était une journée fantastique. Merci encore une fois très sincèrement à tous les intervenants pour votre courage, votre courage de lion. Merci à tous les techniciens. Vous avez vu combien de centaines de techniciens ont travaillé pendant des mois rien que pour cette journée. Pendant des semaines, des centaines de personnes ont été constamment au travail. Merci pour tous vos grands investissements. Et regardez, c'est le nouveau monde, parce que personne n'a demandé d'argent pour cela, oui. Le nouveau monde est sans argent et c'est pourquoi ce jour est devenu possible. Mais je voudrais encore rappeler quelque chose, maintenant à la fin. Et plus précisément au tout début. Aujourd'hui, c'est la 18e AZK que vous avez vue. Quand j'ai parlé d'organiser la première AZK, j'ai discuté avec différentes personnes. Et vous savez quelle était l'opinion générale - et là, je parle des lanceurs d’alerte. A l'époque, un bon lanceur d’alerte avait peut-être 30 ou 50 personnes dans sa réunion. Ils disaient : « Tu ne peux pas en rassembler plus, ça n'intéresse pas les gens. » Et ensuite, on en rajoutait une couche. Puis ils m'ont dit : « Ivo, si tu veux faire ça, à grande échelle, c'est impossible. Tu ne pourras jamais rassembler plus de 300 personnes sur ces sujets. » Puis ils m'ont dit, et c'était le pire, c'était le troisième coup de poing dans la figure, ils m'ont dit : « Et si tu le fais, alors tu seras mort, en très peu de temps. » C'était l'opinion courante parmi les lanceurs d’alerte de l'époque. Il y avait tellement de peur, vous savez, qui s'installait. A la première AZK, nous avons parlé et agi. Quand elle a été finie, un homme est aussitôt venu me voir, il s'est mis devant moi, m'a regardé et m'a dit : « Vous savez quoi, Monsieur Sasek, maintenant je suis curieux de savoir combien de temps il vous reste à vivre. » Je te le dis, c'étaient de vrais encouragements - au départ, oui. Et maintenant, regarde ça. L'AZK s'est développée, des millions de personnes l'ont vue. Chaque intervenant de l'AZK, après son intervention, a eu un démarrage comme une fusée, dès les premiers. Ils ont appelé après, ils ont dit : « Ivo, avant j'avais 50 personnes, maintenant je suis passé à des centaines de milliers en quelques semaines. » Partout, il s'est passé la même chose, tu vois. Et ça s'est transformé en millions. Est-ce que vous croyez que nous pouvons continuer ainsi, oui ?! Aussi vrai que je me tiens ici et que je suis encore en vie, nous irons encore plus loin. Et je veux vous dire encore une chose : il se peut qu'un jour on tire une balle sur moi. Bien qu'à la télévision suisse, l'une des plus hauts chefs là-bas de l'émission Rundschau est venue me voir et m'a dit : « Monsieur Sasek, nous ne ferons pas de vous un martyr. » Ils savaient que ça exploserait d'autant plus après. Mais je vous le dis, même s'ils font un martyr pour la cause - ce que j'ai encore entendu seulement aujourd'hui, je préfère mourir dans la foi que de continuer à vivre dans le doute, vous le savez ? Ce serait un honneur pour moi, tu comprends, ce serait un honneur, oui. Vous savez, ils m'ont tué d'une certaine manière. La diffamation, dans ce sens-là, ils ont raison. Depuis que je fais ces choses, la diffamation a fait le tour du monde. J'ai eu des centaines de batailles médiatiques depuis que j'ai fondé l'AZK, à cause de l'AZK avant tout, oui. La diffamation, on m'a assassiné à mille et une reprises. Mais vous savez quoi, nous nous relevons simplement et rappelons la vie. Nous invoquons la vie plutôt que la diffamation, et nous continuons. Nous continuons à avancer, encore et encore. S'ils nous tuent, ils nous tueront, mais je vais te dire une chose : ils tueront tous ceux qui ne sont pas à leur place. Nous l'avons suffisamment compris maintenant. Nous n'avons pas besoin de le répéter. Mais je dis que je suis fier de vous, de tous ceux qui ont parlé sans crainte aujourd'hui, qui ont nommé le cheval et le cavalier, qui n'ont tout simplement pas eu peur et qui ont ainsi risqué leur vie. Mais si nous n'avons pas peur, nous aurons fait la meilleure contribution possible à ce monde. Et je souhaite que l’intrépidité de ces personnes, tous ceux que vous avez vus ici, avec tous ceux qui ont investi, soutenu, je souhaite que cette intrépidité se propage à vous tous. Que vous y alliez avec la même intrépidité et que nous nous multipliions. Je ne peux que le répéter : Devenons lumière, car la lumière triomphe des ténèbres. Ce qui s'est passé dans l'obscurité, cette conspiration de cette secte, de cette secte sataniste, je vais dire de cette secte maçonnique sataniste, pour que le cheval et le cavalier soient encore plus précisément nommés. Je dis qu'elle s'est développée pendant des siècles dans l'ombre, dans notre dos. Et il y a des coups d'État, le FEM, un exemple typique en Suisse, que la Constitution a été sapée ici, des actes de guerre criminels, cela ne pourrait pas être pire. Et nous disons que la lumière est l'antidote des ténèbres. Devenons lumière. Je le dis pour la dernière fois : Allez tous ensemble, ne cessez jamais d'éclairer, ne les laissez pas vous mentir en disant que le temps du dévoilement est terminé, que nous devons maintenant nous sauver nous-mêmes. Allez dans le monde entier et proclamez ce que vous avez entendu. Répandez-le comme vous l'avez entendu, et c'est là que nous nous répétons, c'est là que la boucle est bouclée. Je dis encore une fois merci, merci, merci à tous pour tout ce que vous avez apporté. Nous vous aimons. Nous l'avons fait par amour et nous vous saluons de tout cœur et vous souhaitons le meilleur dans tous les pays où vous êtes. Dieu vous aime. Soyez avec Lui et Il est avec vous. Au revoir.

de i.s.

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